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Dim, Avr
SENETOILE NEWS

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Après avoir fait parler son cœur, le chef de l’Etat a mis hier sa raison avant tout, et demandé à ses différents collaborateurs de travailler à améliorer les indicateurs du Sénégal sur le Doing Business.

Il y a à peine une semaine, on avait vu un Macky Sall vindicatif, qui, la bave littéralement aux lèvres, s’en prenait en des termes très durs aux rédacteurs du rapport Doing Business, qui classe les pays selon leurs efforts en matière d’attractivité de l’investissement. En présence de M. Makhtar Diop, le vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique, le chef de l’Etat n’a pu se retenir et déclaré à quel point il avait eu «beaucoup de regrets lorsque j’ai lu le dernier rapport Doing Business 2014 de la Banque mondiale où, véritablement, ce qui a été noté est aux antipodes de l’ambition que j’ai pour ce pays».

Dans la saga des dossiers de Karim Wade, ancien ministre d’Etat sous le régime de son père, le Président Abdoulaye Wade, que nous avons entamé dans notre édition d’hier, mercredi 6 Novembre 2013, sur l’Agence nationale pour l’organisation de la conférence islamique (Anoci), le fameux plan Takkal qui visait à régler « définitivement » la crise énergétique dans le pays tout en épargnant le pays et l’économie des longues coupures intensives de la Senelec, figure en bonne place. Le projet piloté alors par Karim Wade aura été un autre scandale financier qui aura englouti une bonne part du budget national sans que le problème ne soit réglé et dans des conditions de mal gouvernance inédites.

Ils n’apportent qu’un peu moins de 25 milliards, mais placent leur entreprise, qui construira avec leur matériel, et se feront rembourser la totalité de leur mise, avec des intérêts. Qui parle de partenariat gagnant-gagnant ?

Dans quelles conditions le marché de construction du futur Centre international des conférences a-t-il été attribué à l’entreprise turque Summa Turizm Yatirimciligi A.S. ? 

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Tous les jours retrouvez la revue de presse complète en audio et en Wolof sur Senego diffusée sur la radio Zik FM présentée par Ahmed Aïdara le 06 novembre. 2013. Écoutez

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La nouvelle dérive sexuelle à la mode dans des clubs privés au Sénégal c’est de faire l’amour devant un public qui vous regarde après une séance relevée de danse du tam-tam ou « leumbeul ».

Le lieu prisé de rendez-vous de ces scènes sexuelles privées est la station balnéaire de Saly Portudal située au sud de Dakar. La danse du tam-tam ou « leumbeul » est une danse très rythmée qui peut se révéler très sexy avec les déhanchements subjectifs des danseuses aux fesses rebondies.

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Le Doyen des juges a finalement suivi l’avocat général de la Chambre d’accusation qui demandait l’application du «principe de la solidarité» en faveur de Abdoul Aziz Diop et Cie. Le Libéral et ses coinculpés dans l’affaire des produits phytosanitaires recouvrent ainsi la liberté, en attendant le procès.

La Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Dakar a ordonné hier, la mainlevée du mandat de dépôt contre Abdoul Aziz Diop et Ibrahima Diallo, ainsi que Serigne Ly, inculpés dans  l’affaire des produits phytosanitaires du Plan Jaxaay. Les deux anciens directeurs de cabinet successifs de l’ex-ministre de l’Habitat et de la Construction, Oumar Sarr, sont donc libres, après quatre mois de détention préventive.

La Cour de justice de la Cedeao a rejeté la requête introduite par les avocats de Hissein Habré, demandant la suspension des poursuites contre leur client. Elle s’est déclarée hier incompétente et a jugé la demande irrecevable.

Rien ne semble plus entraver la cadence de la machine judiciaire dans l’affaire Hissein Habré. La Cour de justice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) a rejeté hier la requête introduite par des avocats de Hissein Habré. Elle visait la suspension des procédures dont fait l’objet leur client devant les Chambres africaines extraordinaires, Tribunal spécial créé suite à un accord entre le Sénégal et l’Union africaine. Il a inculpé le 2 juillet 2013 Hissein Habré pour crimes contre l’humanité, crimes de guerre et tortures. 

SALY : Le président de la République, Macky Sall, a procédé, hier, à l’inauguration officielle de l’Institut Diambars qui a fêté son 10ème anniversaire dans ses locaux, à Saly. L’occasion pour le chef de l’Etat d’appeler les autres clubs à s’inspirer de l’expérience de cette structure.

Le chef de l’Etat, Macky Sall, a été, hier, l’hôte de marque de l’Institut Diambars, à l’occasion de la célébration des 10 ans du club. A cette occasion, le président de la République a d’abord vivement félicité les promoteurs, Saër Seck, Patrick Viera, Bernard Lama et  Jimmy Adjovi Boco, qui ont eu à lancer le projet. 

Sénégal

La Cour de justice de la Cedeao a rejeté la requête introduite par les avocats de Hissein Habré, demandant la suspension des poursuites contre leur client. Elle s’est déclarée hier incompétente et a jugé la demande irrecevable.

Rien ne semble plus entraver la cadence de la machine judiciaire dans l’affaire Hissein Habré. La Cour  de justice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) a rejeté hier la requête introduite par des avocats de Hissein Habré. Elle visait la suspension des procédures dont fait l’objet leur client devant les Chambres africaines extraordinaires, Tribunal spécial créé suite à un accord entre le Sénégal et l’Union africaine. Il a inculpé le 2 juillet 2013 Hissein Habré pour crimes contre l’humanité, crimes de guerre et tortures. 

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En plus du refus de leur client de répondre désormais aux convocations de la Cours de répression de l’enrichissement illicite (Crei), le collectif des avocats de Karim Wade revient à la charge pour mettre à nu les incohérences de la démarche de la juridiction. Une affaire qui est loin de connaitre son dénouement si l’on sait que l’ancien ministre d’Etat, ministre des Infrastructures, des Transports aériens, de la Coopération internationale et de l’Energie, est rattrapé par sa gestion dans plusieurs dossiers notamment celle de l’Agence nationale pour l’organisation de la conférence islamique (Anoci). Les rapports de l’’Inspection générale d’Etat (Ige) et l’Agence de régulation des marchés publics (Armp) ont fait état d’une pluie de marchés de gré à gré à coûts de milliards. Un véritable scandale financier.