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Ven, Nov

Abdoulaye Wade, un manipulateur unique dans son genre

Les propos discourtois de Abdoulaye Wade à l’encontre du Président de la République, Monsieur Macky Sall, témoigne encore une fois de la volonté d’un homme dépaysé qui essaie de rallier les populations sénégalaises à sa cause personnelle qui est la libération de son fils, Karim Wade. Comme il a eu à le faire lorsqu’il était à la tête du pays, Abdoulaye Wade pense que la justice est un moyen de coercition que le président de la République peut user et abuser à sa guise pour condamner et blanchir qui il veut, sans une autre forme de procès. Il ne réalise toujours pas que le Sénégal a changé de mains et qu’il est en train d’être gouverné selon les principes de l’Etat de droit. Ce qui laisse entendre qu’en aucune manière, le président Macky Sall ne peut s’immiscer dans les affaires pendantes devant la justice. 

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«NDEUP généralisé» de la presse Sénégalaise

Besoin factuel d’une purification et d’un « NDEUP généralisé » de la presse Sénégalaise dans tous ses compartiments. Le chantage, le prosélytisme et le « BASHING » systématique exercés sur la personne de CHEIKH AMAR doivent cesser immédiatement, puisque injustes et injustifiés. Une presse comme celle de SOULEYMANE JULES DIOP est à bannir définitivement au Sénégal.

Force est de savoir que la majorité de nos concitoyens n’ose plus consulter un journal, ni visualiser une télévision Sénégalaise. Pour la bonne et simple raison que le niveau de la presse Sénégalaise est devenu de nos jours très bas et souffreteux. 

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Sénégal - Macky Sall, Calif à la place de Khalifa

C'était en tout cas un bon budget...de guerre que celui de l'emprunt obligataire de la municipalité de Dakar. Mais Macky Sall, qui se veut Calif à la place de Khalifa Sall, a fait intervenir la puissance de l'État, mettant des partenaires continentaux (Uemoa) et internationaux (Usaid) dans l'embarras. Pour trente jours. 

Pour la quatrième fois en l'espace de trois ans, l'État du Sénégal est entré en conflit ouvert avec le maire de Dakar Khalifa Ababacar Sall. Et comme toujours, ces querelles sénégalo-sénégalaises se passent sous l'œil de la communauté internationale. Mais cette fois-ci, la crise semble avoir atteint une autre dimension puisqu'elle met en l'Union monétaire ouest-africaine et l'agence américaine d'aide (Usaid) et la fondation Bill Gatesdevant la frilosité du gouvernement sénégalais. 

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Article 34 du Code pénal: Karim Wade fait-il peur ? (Leral)

On est entré, sans aucun doute, dans le dernier tournant du procès opposant l’Etat du Sénégal à Karim Wade et Cie. A la suite du procureur spécial, près la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI), les avocats de l’Etat ont demandé que l’article 34 du code pénal soit appliqué à Karim Wade. Cet article interdit, en tout ou en partie, l’exercice de droits civiques comme le vote ou l’éligibilité. Une requête qui peut amener à penser que le fils d’Abdoulaye Wade est devenu un adversaire politique redoutable que l’on cherche à écarter de joutes électorales futures.

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Ça vole bas, Mame Abdoulaye!

A se demander si on est toujours dans le débat politique. Surtout lorsque l’on s’autorise à parler des origines des personnes, de leurs familles, de leur père, de leur mère, bref, d’un passé propre à chaque individu et dont certains traits sont confondus ou même tus par décence, au profit du vivre-ensemble auquel nous nous sommes tous engagés, en tant que citoyens d’une nation. 

Au Sénégal, il y a des risques que les fondements de l'Etat-nation volent en éclats si la classe politique s'autorise de tels écarts de langage qui n'honorent ni leurs auteurs encore moins leurs vis-à-vis. Il est évident que les derniers propos tenus par l’ancien chef de l’Etat, inquiètent au plus haut niveau, s’ils ne suscitent des interrogations légitimes : jusqu’où est-on prêt à aller pour obtenir la libération d’un fils jugé pour enrichissement illicite ? 

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Pourquoi l’annonce du référendum comme ci-après et en 2016, par le président de la République?

 « Les sénégalais seront appelés aux urnes en 2016 pour se prononcer sur la réduction ou non du mandat du président Macky Sall de 7 à 5 ans. »

Cette annonce, telle  qu’elle est intitulée plus haut, supposerait  que la raison fondamentale de ce référendum est effectivement, la réduction du mandat présidentiel. Alors que ceci n’est qu’un élément, qui  est justement compris et réglé dans un ensemble global cohérent, que constituent les réformes institutionnelles souhaitées, avec une nouvelle constitution que nous propose la CNRI, présidée par le Pr Amadou Makhtar Mbow. 

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Revue des facettes et des péripéties du procès de Karim Wade (Par Babacar Justin Ndiaye)

Il n’est pas convenable, pour un citoyen nanti d’esprit hautement républicain, de parler d’une affaire encore pendante devant la justice, à fortiori, de faire le procès d’un procès en cours. Voilà pourquoi, un chroniqueur chroniquement imbu de respect pour l’institution judiciaire, s’astreint au laconisme. A contrario, il est lui est loisible d’être loquace sur les facettes qui ont frappé les observateurs ou les péripéties qui ont peiné beaucoup de personnes indissociables du peuple au nom duquel le droit est dit ;  et la justice est distribuée. Du coup, les deux débats sur l’existence ou l’inexistence, la légalité ou l’illégalité de la CREI, relèvent de la casuistique, et sont volontiers laissés aux orfèvres du droit ou aux jésuites des lois. Focus sur les faits qui ont marqué – et de quelle manière ? – les longs mois du procès de l’ancien ministre d’Etat et non moins fils du Président Abdoulaye Wade.      

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Sénégal - Mais où est donc passée la Génération du Concret ? (leral)

Le grand absent du procès pour enrichissement illicite opposant Karim Wade à l’Etat du Sénégal est sans nul doute la Génération du Concret. Cette association, créée en 2006 par Karim Wade et Abdoulaye Baldé, est aux abonnés absents depuis le début du procès. La plupart des co-prévenus de Karim Wade n’était pas des membres actifs de ce mouvement politique qui a fait couler beaucoup d’encre et de salive entre 2006 et 2012.

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Nuages sur Le Sénégal

Deux déclarations le même jour, l’une du président de la République, l’autre du ministre chargé de la Sécurité publique ouvrent de sombres perspectives sécuritaires et économiques pour le Sénégal.Quelle est la réalité de la crise économique et sécuritaire qui menace le Sénégal ? Comment, malgré le plan « Sénégal émergent » et la diplomatie qui s’est déployée autour de la paix et de la sécurité en Afrique, une attaque terroriste est dans le domaine du possible, comme l’affirme un ancien chef d’État-major général des armées, avec une série de conférences tournant toutes autour de la sécurité dans le continent ?

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Une ''crise de l'amour (Ou le ''printemps de la passion'') - Un Signe de la ''fin des temps'' (akhirou zamân) !!! A quel Saint se vouer ?

Autant le terme ‘’amour’’ est devenu banal, autant il est énigmatique ; et on perdrait tout son latin sans pouvoir l’appréhender véritablement ; oui, l’amour sous-entend une communion entre deux personnes – mais aussi entre une personne et son Créateur ou avec son prochain d’une manière générale (qu’il s’agisse d’une personne, d’un animal ou d’une chose) ; il s’agit véritablement d’une relation ‘’spirituelle’’ - un ‘’signe divin’’ , preuve évidente de l’omnipotence et de l’omniscience d’Allah, au même titre que la création des cieux, le sommeil, etc. ; oui, autant de preuves pour les ‘’gens qui réfléchissent’’, comme l’enseigne explicitement le Coran :

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APR - L’USURPATEUR DE LIMOGES !!!!

 

 

 Communiqué de presse de la section APR du

Limousin-Poitou-Charentes / France

 

L’USURPATEUR DE LIMOGES !!!!

Dans le cadre de ses activités, la Section APR du Limousin-Poitou-Charentes  (LPC) s'est réunie le 22 février à Limoges.

La Section APR du LPC a attentivement analysé la situation politique, particulièrement depuis la mise en place de la DSE/France le 8 novembre 2014 à Asnières en région parisienne. 

La Section  LPC condamne avec la plus grande fermeté la volonté manifeste d’un USURPATEUR qui se présente comme étant le représentant de la section lors des  rencontres et réunions de la DSE à Paris.

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Affaire DSK : La manière de faire l’amour peut-elle constituer un délit ?

Dominique Strauss-Kahn (DSK), prédateur chevronné ou séducteur mal compris ? Cette question doit être traitée par le juge dans l’affaire dite du Carlton, dans laquelle DSK est poursuivi pour proxénétisme aggravé devant le tribunal correctionnel de Lille en France. Pour retenir la responsabilité de DSK, l’accusation tient une logique périlleuse pour la gente masculine, comme pour les femmes : Le fait d’être rude avec sa partenaire peut permettre de déduire que vous saviez qu’elle est prostituée.

DSK ne doit pas être accablé parce qu’il est libertin.

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La démocratie est un artefact au Sénégal

Le parti cartel Benno Bokk Yakaar est la pire tromperie de toute l’histoire politique Sénégalaise. La transhumance d’INNOCENCE NTAP NDIAYE vers le parti au pouvoir n’est ni « par amour », ni « par gentillesse », ni « pour les beaux yeux de Macky Sall », ni « pour l’intérêt du peuple sénégalais ». C’est plutôt pour rejoindre le festin du parti cartel Benno Bokk Yakaar et retrouver ses avantages et privilèges perdus (DEUKBI GOORÉ DAFFÉ DIÉKH). Cette coalition n’est là que pour son propre intérêt et non pour l’intérêt du peuple Sénégalais. Désormais, le peuple Sénégalais ne peut plus d’une manière irénique, accepter l’inacceptable ni excuser l’inexcusable. Cette association politique est une coquille vide et n’a plus de raison d’être dans le paysage politique Sénégalais (Wade a été battu en 2012, et les autres partis ont assez soutenu Macky Sall pour le redressement du pays). 

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