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Jeu, Nov

Pourquoi "deuk bi Macky" - Par Mamadou Oumar Ndiaye

Le Sénégal va-t-il, pour la première fois de son existence, connaître des émeutes de la faim ou, à tout le moins, une révolte contre l’impécuniosité ?


Même si cette perspective n’est pas souhaitable, elle est en tout cas à craindre.

Jamais, en effet, le pays n’a manqué à ce point d’argent et jamais nos compatriotes n’ont été à ce point fauchés. "L’argent ne circule pas" est la rengaine qui revient le plus souvent dans les conversations. Et le plus inquiétant c’est que des gens qui étaient à l’abri du besoin en sont réduits aujourd’hui à tendre la main. Un billet de 10.000 francs représente une fortune pour eux.

Les couches moyennes se sont effondrées, si bien qu’il n’existe plus que des très riches et des pauvres. Les industries, quand elles ne ferment pas leurs portes en déversant dans la rue des centaines de travailleurs, tournent au ralenti et doivent des arriérés de salaires à leurs employés. 

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Hurricane Wade - Par Ibra Pouye

Encore lui, bigre ! Il est de retour, et chez nous encore ! On le croyait enterré et disparu de la scène politico-médiatique depuis la cinglante défaite qu’il a subie lors du pugilat électoral de 2012 qui l’avait opposé à un de ses enfants formés sur les braises du Sopi, en l’occurrence Macky Sall. Cette litanie de mots n’émane pas de moi mais de ceux qui croyaient le pape du Sopi mort de sa belle mort politique.

En politique, la bête ne meurt jamais, elle renaît toujours de ses cendres même enfouies profondément. La terreur est là, prête à entrer en action et à découdre avec le régime en place qui est resté très aphone durant le retour de Wade à Dakar où le peuple, déçu des deux ans du régime lui a déroulé un tapis bleu ciel. Oust du balai ! 

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Conflit de génération en entreprise et guerre de positionnement – Par Yacine Bodian

Beaucoup d’administrateurs pensent que le meilleur moyen de régner, c’est de diviser ; ils jouent alors avec le personnel, usant de stratégies toujours machiavéliques pour créer un environnement conflictuel, tendu et fragile. Seulement, lorsque l’union, oxygène d’une entreprise, est prise en otage, la communication est sacrifiée, la productivité est au rabais et, peu à peu, la connaissance s’effrite laissant place au pilotage à vue. Tout ce beau monde est perdant, les seuls gagnants sont les personnes qui se servent de l’entreprise sans la servir.

 

C'est toujours avec beaucoup d’enthousiasme ou d’assurance que des diplômés intègrent une entreprise pour y trouver divers employés, ayant chacun sa personnalité, son éducation et ses ambitions ; et, parmi ceux-ci, des frustrés et des mécontents qui pensent ne plus rien avoir à perdre. Les conflits entre nouveaux et anciens ne sont pas rares et réduisent le rendement au détriment de l’entreprise. 

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Affaire Karim Wade : Le Sénégal otage d’une guerre interminable de succession - Par Kadialy Diakhité

Qu’est-ce que le Président WADE veut encore ? C’est une question que beaucoup de sénégalais se posent. En outre, ce sont les partisans, les souteneurs et surtout les fanatiques de l’ancien chef de l’Etat sénégalais qui devraient particulièrement se poser cette question. Ils découvriraient qu’ils sont instrumentalisés, non pas pour une cause nationale, mais pour le « meilleur fils » au Sénégal. Car, contrairement à ce qu’il a déclaré à RFI, ce n’est pas le Sénégal et les sénégalais avec leurs problèmes, encore moins le sort de son fils emprisonné, qui le font s’agiter ainsi. On peut même penser que la libération immédiate de Karim n’est pas l’objectif premier de ce ramdam politicomédiatique. 

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[VIDEO] UNE CONTRIBUTION DÉCISIVE DE SERIGNE ABDOU AZIZ SY DABAGH POUR LE PARACHÈVEMENT DE LA MISSION DE SERIGNE BABACAR SY (Mission de rétro confirmation du Mahdi).

[VIDÉO] UNE CONTRIBUTION DÉCISIVE DE SERIGNE ABDOU AZIZ SY DABAGH POUR LE PARACHÈVEMENT DE LA MISSION DE SERIGNE BABACAR SY (MISSION DE RÉTRO CONFIRMATION DU MAHDI).

Il s’est passé beaucoup de choses, depuis le rappel à Dieu, du Vénéré Khalife,  relevant d’une fatalité, en rapport avec l’avènement du Mahdi annoncé par le Prophète (PSL) et qui, selon Cheikh Ahmad TIDJANI Chérif, sera son disciple et le rétro confirmera ; et tout cela est lié à une programmation divine immuable et très complexe que votre serviteur a l’insigne privilège d’élucider, plus de cinquante ans après. En effet, selon  le Prophète, le Mahdi devait être caché pendant une longue période, puis révélé ultérieurement par un confirmateur chargé d’apporter les preuves décisives. Ainsi,  selon le dessein d’Allah, la mission de Serigne Babacar Sy qu’il avait confiée à Serigne El Hadj Madior CISSE (en 1955) devait ressurgir de plus belle après les  khalifats de Serigne Abdou Aziz SY Dabagh et de Serigne Mansour SY Boroom Daara-dji – Un véritable miracle que l’on pourrait apparenter à celui de Jonas (Yoûnous) !!!

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PRESIDENT SALL, SI VOUS PERMETTEZ… PAR ABDOULAYE ROKHAYA WANE, Parlons à la société civile

Au Sénégal, comme dans le reste du continent, on ne s'interroge que trop rarement sur le type d'Etat qui pourrait nous mener à l'émergence. Questionnement d'autant plus essentiel qu'aucune des approches de développement adoptées, jusqu'ici, ne nous a permis de : «diversifier et de transformer nos économies,  ni d'enregistrer des taux de croissance réguliers et soutenus, encore moins de réaliser des  niveaux de développement social élevés».

 

 

Au Sénégal, comme dans le reste du continent, on ne s’interroge que trop rarement sur le type d’Etat qui pourrait nous mener à l’émergence. Questionnement d’autant plus essentiel qu’aucune des approches de développement adoptées, jusqu’ici, ne nous a permis de : «diversifier et de transformer nos économies,  ni d’enregistrer des taux de croissance réguliers et soutenus, encore moins de réaliser des  niveaux de développement social élevés». C’est le constat fait par la  Commission économique africaine qui recommande aux pays du continent de promouvoir l’Etat développementaliste. Qu’est ce à dire ?
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Babacar Justin Ndiaye : « Wade est une croisée d’un tigre et d’un renard »

Des politologues et autres observateurs de la scène politique sénégalaise tentent d’analyser la nouvelle donne politique avec le retour de Me Abdoulaye Wade au Sénégal. Parmi eux, Babacar Justin Ndiaye qui estime sur les ondes de Sud FM que « Me Wade est une croisée d’un tigre et d’un renard».

Pour expliquer l’acte politique et le coup médiatique de Me Abdoulaye Wade, hier, le politologue, Babacar Justin Ndiaye emprunte le vocabulaire de la jungle, en plaçant la personnalité politique de Me Wade dans la croisée des deux animaux redoutables de la jungle : le tigre et le renard.   «Me Abdoulaye Wade est une croisée du tigre et du renard : tigre pour sa combativité et le renard pour sa ruse ». 

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Opinion/Bécaye Blondin Diop : Wade ou le retour du looser prodigue

Opinion/Bécaye Blondin Diop : Wade ou le retour du looser prodigue

iGFM - (Dakar) "L'effervescence médiatique que suscite le retour annoncé d'Abdoulaye Wade au Sénégal après deux années d'absence consécutive à sa défaite à l'élection présidentielle de 2012 scelle le retour non pas de "l'enfant prodige" mais bien celui du looser prodigue !" Une contribution de Bécaye Blondin Diop, architecte.


Au delà du pouvoir de nuisance maléfique dont il est indéniablement doté, ce retour constitue son ultime baroud d'honneur au peuple sénégalais qu'il a floué puis trahi après 26 ans d'opposition et 12 ans d'une gestion calamiteuse des affaires publiques et maîtrisée des "affaires privées" ( son fort) ! Bien qu'on ne puisse contester le bond qualitatif opéré en termes d'infrastructures majeures parfois inachevées (Aéroport International Blaise Diagne) et inégalement réparties sur l'ensemble du territoire, nous regrettons le prix exorbitant que le peuple sénégalais et les contribuables ont dû payer pour les voir émerger...
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Le tocsin d’un bail cauchemardesque avec la coalition Benno Bock Yaakaar !

Ma première lecture est que le peuple sénégalais semble tourner le dos à la coalition "Benno Bock Yakaar" au milieu d'un bail cauchemardesque, engagé depuis un certain soir du 25 mars 2012. Certes, c'est le cas de le dire, la rupture est amorcée entre le peuple et cet ordre politique régnant, engoncé d'une exaltation éhontée des délices et privilèges du Pouvoir et d’ un partage léonin des ressources de l'Etat, mais sans pour autant, basculer sur les paroles et sirènes séditieuses d'Abdoulaye Wade, pour des manifestations factieuses contre le régime en place. Parce que la démarche " restitutionniste" de Wade pour une préséance oligarchique passée, ne trouve pas d'échos favorables dans une République qui se respecte, pas plus que, ce "fascisme démocratique" qu'entend imposer Macky Sall.

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La lutte, sport traditionnel sénégalais, ne se pratiquait pas avec frappe ni violence !

C’est un amalgame ou plutôt une confusion volontaire monstrueuse, que les adeptes de la lutte avec frappe ou militants de la violence gratuite, entretiennent pour dénaturer totalement la beauté de ce sport noble dans le vrai sens du mot. Il est inadmissible et dangereux du point de vue de la culture cette tentative d’ancrer dans l’esprit  des générations actuelles et futures, que cette lutte-là avec frappe, est notre sport national. C’est  archi faux ! Ce que nous voyons de plus en plus aujourd’hui au Sénégal, et que des promoteurs de lutte tentent de nous présenter pour des combats de lutte sénégalaise, est une falsification inacceptable d’une partie de notre culture, par une pâle copie des combats de gladiateurs romains.

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MAITRE WADE, UN CATALYSEUR PROVIDENTIEL DE L’INCONTOURNABLE DIALOGUE POLITIQUE ?

Deux ans après sa cuisante défaite, l’énigmatique  Président Abdoulaye WADE revient avec une mobilisation extraordinaire qui a véritablement surpris la quasi-totalité des observateurs  et experts (politologues, sociologues, psychologues, etc.) ; on continue d’épiloguer sur ce phénomène, et jusqu’à ce jour, personne n’est arrivé à fournir une explication satisfaisante, encore moins de prévoir les lendemains politiques de notre pays, tant les conséquences sont nombreuses, imprévisibles et complexes. Et tout cela augure une nouvelle ère politique particulièrement opaque et ténébreuse. Ainsi, WADE a indéniablement ajouté de la complexité à la perplexité qui régnait déjà en maître absolu dans un monde ayant perdu ses repères (moraux et éthiques), et véritablement en perdition.

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Retour de Wade à Dakar : C'est quel peuple qui l'a accueilli?

Beaucoup de commentateurs de l’arrivée de Wade n’ont pas hésité à déclaré que c’est le « peuple » qui l’a accueilli massivement, subjugués qu’ils ont été par   son  ampleur. Ils y ont vu, l’expression la plus évidente  du « mécontentement du peuple envers le pouvoir «  du Président Macky Sall, exactement comme Wade voudrait le faire croire.

 Mais pourquoi confondre un accueil massif de Wade à l'expression d'un mécontentement populaire envers le régime en place? 

N'est il pas plus adéquat de se rappeler, qu'il y a tout juste deux ans, il avait récolté plus de 900.000 voix au second tour de la Présidentielle!

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LA TIDJANIYA, INEVITABLEMENT A L’AVANT-GARDE DU DIALOGUE ISLAMO CHRETIEN !!! [VERS LE PARACHEVEMENT DE LA MISSION DE SERIGNE BABACAR SY (MISSION DU MAHDI) !!!].

Si beaucoup de sénégalais se réjouissent du niveau et de la qualité du dialogue islamo chrétien dans notre pays, d’autres y voient un certain brouillage des frontières et souhaitent que ce dialogue soit mieux balisé et le contenu harmonisé, quand on sait qu’il diffère selon les objectifs visés, les missions assignées et les niveaux de maîtrise théologique. Il convient donc d’en montrer clairement les véritables enjeux, surtout en cette ‘’fin des temps’’ (âkhirou zamân), où tous les Textes Sacrés (Coran, Hadith, Thora, Evangile) convergent sur le retour du Messie ; dès lors le verdict sera forcément fatal, du fait d’une antinomie indéniable au plan doctrinal, entre Islam et Christianisme ; oui, Jésus ne peut pas appartenir à la fois aux chrétiens et aux musulmans ; c’est évident, mais cela n’exclut guère une cohabitation harmonieuse entre les deux communautés.

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