Sénégal - Un débat sur la parité et la laïcité s’impose !!! [un préalable incontournable a l’émergence !!!].
La loi sur la parité considérée par les féministes comme une avancée majeure dans leur lutte pour l’augmentation de la représentativité des femmes au sein des instances de décisions ; par contre, pour les religieux, il s’agit d’un véritable recul – Telle est la position de l’Islam. En effet, le Coran fait état, explicitement, des limites psychologiques de la femme (43. L’Ornement : 18 – Az-Zukhruf) ; c’est ce qui explique, en autre, que Dieu n’a pas choisi une seule femme sur les 124.000 prophètes(16. Les Abeilles : 43 – An-Nahl). En effet, Dieu - le Tout-Puissant - a créé la femme comme telle, avec une certaine distorsion mentale qui la prédispose à l’égarement si elle n’est pas sous la tutelle d’un maître, quelque soit son âge, sa capacité financière ou son degré d’instruction - Dieu fait ce qu’Il veut, favorise qui Il veut ; Il est l’Omniscient, le Sage.
(34) Les hommes ont autorité sur les femmes, … .(4. Les Femmes : 34 – An-Nisâ’) … (228) … Quant à elles (les femmes), elles ont des droits équivalents à leurs obligations, conformément à la bienséance. Mais les hommes ont cependant une prédominance sur elles. Et Allah est Puissant et Sage.(2. La Vache : 228 – Al-Baqarah) … (253) … Allah fait ce qu’il veut ! (2. La Vache : 253 – Al-Baqarah).
C’est ainsi, que la femme musulmane hérite la moitié de la part de l’homme (4. Les Femmes : 11 – An-Nisâ’) ; C’est ainsi aussi que le témoignage d’un homme équivaut, à défaut, à celui de deux femmes :
(282) Ô les croyants ! Quand vous contractez une dette à échéance déterminée, mettez-la en écrit ; … Faites-en témoigner par deux témoins d'entre vos hommes ; et à défaut de deux hommes, un homme et deux femmes d'entre ceux que vous agréez comme témoins, en sorte que si l'une d'elles s'égare, l'autre puisse lui rappeler. … Et craignez Allah. Alors Allah vous enseigne et Allah est Omniscient.(2. La Vache : 282-283 – Al-Baqarah)
LIBRE PAROLE Evolution du paysage universitaire sénégalais
En arrivant à la tète du département ministériel de l’enseignement supérieur, selon Abdoulaye SEYDI, M. Niane a trouvé une maison mal en point soumise aux soubresauts politiques et une lourde machinerie administrative.
Conscient qu’il s’était engagé dans une voie difficile, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche s’est très tôt impliqué à fond dans les affaires de son département à problème et a commencé à présenter des projets répondant aux préoccupations des Sénégalais (amélioration de la qualité de l’enseignement supérieur, amélioration de la gouvernance universitaire, amélioration de l’utilisation des TIC dans les différentes universités, amélioration de l’efficacité interne et le renforcement des liens avec le marché du travail pour les étudiants).
«Il faut faire une remontrance au président de la République…»
L'OBS - Candidat à la nouvelle commune de Niomré sous les couleurs du Rassemblement des écologistes sénégalais (Res), Moubarack Lô est revenu sur la probabilité d’un report des Locales. Pour lui, certes «l’administration a commis l’erreur d’avoir pris un décret d’application d’une loi qui n’est pas encore promulguée, mais cela ne peut influer sur les résultats qui sortiront des urnes».
La probabilité d’un second report des élections locales prévues le 29 juin prochain est agitée par la classe politique. En déplacement durant le week-end à Louga, dans son fief politique, Moubarack Lô, ancien Directeur de cabinet adjoint du président de la République, par ailleurs candidat à la nouvelle commune de Niomré (département de Louga), s’est prononcé sur cette question. «J’espère que le report ne se fera pas. Les gens sont fatigués. Depuis un an, l’on prépare les Locales. Elles ont été reportées une première fois, car elles devaient se tenir au mois de mars», a dit l’économiste. Qui argumente : «Des décrets ont été pris.
Sénégal - 2600 listes de candidatures au plan national pour les locales 2014, c’est de la farce et non la démocratie !
« Tout excès est nuisible. »
Monsieur le président de la République, le souci de légitimité ne doit pas prendre le dessus sur celui de l’efficacité, de la transparence, de la tranquillité, de l’ordre, etc. Visiblement, vous tenez malgré tout à organiser ces locales contre vents et marées avant l’application des réformes de la CNRI, dans le seul souci de vous conformer à sa date de tenue prévue par le calendrier républicain. C’est une grave erreur d’insister, et de ne pas tenir compte des conséquences qui peuvent découler de ces élections, pour des raisons évidentes. Car son impréparation, au plan matériel et financier est manifeste et saute aux yeux de tout le monde maintenant.
Le scénario et le timing de Wade pour libérer son fils.
Depuis son retour triomphal à Dakar, Wade s’est rendu compte, amèrement, de l’échec de son scénario initial qui consistait à surfer sur l’accueil populaire qui lui a été réservé, pour enclencher une dynamique de tension politique et sociale en mesure d’obliger le Chef de l’Etat Macky Sall, à négocier avec lui, pour préserver son pouvoir.
Il a, à cet effet, effectué une démonstration de force dans le sillage de sa visite à Touba, dans l’espoir d’y décrocher un soutien.
Mais c’est à Touba même, où il reçut, contrairement à ses attentes, sa première « douche froide » en entendant le Khalife Général lui demander d’œuvrer à la préservation de la paix et de la stabilité du pays.
C’est ce même appel qu’il a reçu en cœur chez tous les autres Chefs religieux, musulmans et chrétiens, pour lui rappeler ses responsabilités dans le « maintien de la paix et la stabilité du pays ».
Ibrahima Sène: Que vient faire au Sénégal, le ministre français de la "guerre en Afrique" ?
Demain, Dimanche 11 Mai 2014, Le Drian, Ministre Français de la Défense effectue un voyage dans notre pays pour, « officiellement rendre visite aux « Eléments Français Stationnés » au Sénégal, et s’ « entretenir avec notre Ministre des Forces Armées ».
Cependant, le contexte sous régional dans lequel s’effectue cette visite autorise à se demander, à quelle fin ?
En effet, Le Chef de l’Etat avait signé avec son homologue Français, Sarkozy, un « Traité instituant un Partenariat en matière de coopération militaire entre la République Française et la République du Sénégal » le 18 Avril 2013, avec un délais « d’un an pour définir les emprises » devant être mises, par le Sénégal, aux « Eléments Français en Station ou en Transite » dans notre Pays.
Voilà déjà, le 18 Avril 2914, un an que ce délai a expiré pendant que les Sénégalais ignorent tout de ce « Traité de partenariat », et que la France est de nouveau en « guerre » en République Centre Africaine, alors que celle engagée au mali, avec l’Opération Serval, est en train d’être officiellement clôturée, mais, en pratique, elle continue de se dérouler sous nos yeux.