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Ven, Nov

Djibo Kâ: « Moustapha Niass était mon encadreur (…) Je le considérais comme un demi- dieu de par son courage physique et intellectuel »

Djibo Kâ est revenu sur les relations qu’il a entretenu avec Moustapha Niass. Le président de l’URD a démenti les allégations de Abdou Diouf, sur la supposée gifle que lui aurait infligé Moustapha Niasse. Et plus encore, Djibo révèle que avoir admiré Moustapha Niass. « Moustapha Niass était mon encadreur d’abord quand j’étais étudiant. Je le considérais comme un demi- dieu de par son courage physique et intellectuel. Je pensais que Niasse pouvait tout faire. Il m’a formé. Je ne sais pas pourquoi nos rapports se sont détériorés. Il y avait des clans partout. On a dépassé tout cela maintenant », a expliqué Djibo Kâ dans les colonnes de l’Observateur.

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Vie publique, succession au pouvoir, Constitutions en Afrique,... : Diouf revisite ses Mémoires

378 pages pour raconter ces trahisons, ces petits secrets du Palais, ce jour du 19 mars, ses hommes comme Niasse et Tanor. Abdou Diouf n’a pu taire aussi, dans ses Mémoires publiées par le site afriqueconnection.com, «les calomnies et autres incroyables contrevérités» dites sur lui et sa famille. Le secrétaire général de la Francophonie sortant lance ainsi le sommet qui le verra passer le témoin. 

Niasse n’avait pas accepté la nomination de Tanor

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Sénégal - Aboubacry Mbodj, SG de la Raddho, à propos du procureur Alioune Ndao : «Il y a eu beaucoup de dérives dans ses interventions»

En marge de la réunion annuelle de la Coalition panafricaine des organisations de la société civile des Etats membres de l’Union africaine, le secrétaire général de la Raddho a été interpellé sur le limogeage du procureur spécial près la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) Alioune Ndao.

Aboubacry Mbodj, qui dit ignorer les raisons de cette décision prise par les autorités, estime qu’«il y a eu beaucoup de dérives dans ses interventions». «Quand il a été question d’interdire à des militants du Pds de sortir du territoire, ces derniers ont saisi la Cour de la Cedeao qui a rendu une décision pour dire que c’est une violation par rapport à la liberté d’aller et de venir parce que le Sénégal a ratifié le Protocole de la Cedeao pour la libre circulation des personnes et des biens», dit-il. 

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Rencontre avec... ...Henry Demba l’enfant de Kafountine au cœur des polders

  Les voyages servent souvent à cela aussi. Au gré des rencontres, à la sortie d’un aéroport, le soir, au cours d’une petite ballade, il vous arrive de tomber sur une personne connue ou non. Loin de chez vous. Loin de chez lui aussi. Et, les premiers contacts souvent improvisés, peuvent mener à toutes les surprises quand l’histoire de l’un comme de l’autre se rencontrent et se mélangent. La nostalgie et le désir de partager l’emportent sur le reste et le coeur se met à vibrer pour raconter la vie d’ici et d’ailleurs. Comme dans un conte l’on parle de ses parents, de ses premières rencontres, de ses décepti

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Ahmet Khalifa Niass- « Les banques du Sénégal doivent donner de l’argent à la fondation Servir le Sénégal »

iGFM -  l’Invité du jour (Dakar) Ahmed Khalifa Niass  dans cet entretien sur la dernière déclaration générale du nouveau Premier ministre, la marche interdite de l’opposition du 21 novembre et l’affaire de la Fondation Servir le Sénégal entre autres.

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Seydi Gassama sur la manif' de l'opposition : "S'il y a mort d'homme, Macky Sall et Abdoulaye Daouda Diallo seront tenus pour responsables"

L'interdiction de toute manifestation à Dakar, dans la période allant du 10 novembre au 5 décembre, révulse les organisations de défense des droits de l'Homme du Sénégal. Ces dernières y voir une manière de confiscation des libertés dans un pays où le droit à la manifestation est garanti par la Constitution. 

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Sénégal - Pr Mamadou Diouf : «l’interdiction de la manifestation de l’opposition ne repose sur aucun principe démocratique»

Le Pr Mamadou Diouf soutient sur les antennes de Sud Fm que « l’interdiction par le gouverneur de Dakar, la marche de l’opposition ne repose sur aucun principe démocratique».


Il trouve cette décision de «regrettable», car elle «interdiction» est une restriction de liberté fondamentale dans une démocratie. «Interdire une manifestation pour le Sommet de la Francophonie n’est pas une raison valable dans une démocratique», argue-t-il.

«De grandes rencontres du genre du Sommet de la Francophonie, avec la présence des médias internationaux, sont mis à profit par les partis ou coalitions d’opposition d’un pays pour manifester contre le pouvoir en place, une façon de montrer à la face du monde, ses failles. Cela se passe dans tous les pays démocratiques», explique-t-il. 

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Bamba Dièye, sur le meeting du PDS et Cie : «Cette interdiction constitue un recul démocratique»

L’ancien ministre Cheikh Bamba Dièye est pour une autorisation du rassemblement du Parti démocratique sénégalais et de ses alliés prévu ce 21 novembre. «Cette interdiction, constitue un recul des principes démocratiques pour lesquels nous avons tous tant combattus et pour lesquels 14 Sénégalais ont perdu la vie en 2012.

Elle est une atteinte à la Constitution, à la loi et à la jurisprudence», a déclaré le leader du Fsd/Bj dans un document rendu public hier. Pour lui, «l’honneur d’un homme politique, c’est sa constance dans ses principes et il n’est pas honorable d’avoir une lecture restrictive et partisane de la loi». 

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Makhtar Diop, vice-président de la banque mondiale pour l’Afrique «Nous avons mis 326 milliards CFA dans la lutte contre Ebola»

MAKTAR DIOP

L’OBS- Quels sont les risques économiques si la transition dérape au Burkina Faso ? Quel est l’impact économique de l’épidémie Ebola sur l’Afrique de l’Ouest ? Le Sénégalais Makhtar Diop, 54 ans, est le vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique. L’ancien ministre de l’Economie et des Finances explique aussi pourquoi il renonce à la présidence de la BAD, la Banque africaine de développement.

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