L’actualité de ces dernières semaines aura été un déclic obligeant à s’interroger sur les meilleurs voies et moyens de conduire, à bon port, nos ambitions de développement économique et social.
C’est d’abord la levée de boucliers autour de la signature du contrat de concession du terminal vraquier du Port (Môle 8) au français Necotrans, pour une durée de 25 ans et avec des investissements prévus de polémique avait accompagné l’attribution du terminal roulier (Môle 2) à un autre groupe français, Bolloré, pour également 25 ans, avec un engagement d’investissements de 64 milliards.