À la surprise générale, les soldats gabonais, parmi lesquels la garde républicaine, ont renversé, ce mercredi 30 août le régime de Ali Bongo qui venait tout juste d’être déclaré vainqueur à l’issue de l’élection présidentielle gabonaise.
Les Putschistes ont ainsi porté à la tête du pays un certain Brice Oligui Nguema. Ce dernier était le chef de la garde présidentielle. En d’autres termes, le nouvel homme fort du Gabon était chargé de la protection du chef d’État Ali Bongo.
Directeur Général de la Caisse des Dépôts et des Consignations depuis février 2023, Mamadou Mame Boye Diao qui n’a jamais été ministre, garde une liberté de ton que personne n’a au sein de l’Apr.
Les prévenus Nd. Gaye et El Hadji M. Sarr respectivement chauffeur de taxi et plasticien ont comparu devant la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar ce lundi 14 août 2023 pour répondre des faits de coups et blessures volontaires ayant entraîné une incapacité temporaire de travail de 21 jours pour le premier et 14 jours pour le deuxième. Ils ont tous écopé de 3 mois de prison assortis de sursis en guise d'avertissement.
Il y a à craindre dans cette longue attente du candidat de Benno Bokk Yaakaar. Macky Sall, habitué à provoquer des séismes dans sa coalition peut bien surprendre son monde. Fort dans l’art de déjouer les divinations et à anéantir les espoirs, le chef de l’Etat, fort de sa carte blanche pour désigner le candidat de BBY en 2024, peut bien provoquer une tempête dans sa coalition.
A sept mois de l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024, l’on se demande encore qui sera le candidat de la mouvance présidentielle. Ajouté à cela, le principal opposant Ousmane Sonko, est emprisonné le 31 juillet dernier pour différents délits.
L’élection présidentielle de 2024 s’annonce assez paradoxale. D’un côté, cela tient au fait qu’à sept mois des joutes électorales, la mouvance présidentielle est toujours en quête d’un candidat consensuel et malgré la charte signée mardi dernier au sein de Benno Bokk Yaakaar, rien ne présume que le candidat qui sera choisi par Macky Sall et Cie fera l’unanimité au sein de la coalition, tant les oppositions sont frontales.
Dans une affaire intrigante de jeu politique, des candidats issus du centre et du nord du pays ont employé une stratégie controversée pour tenter de manipuler le président Macky Sall en leur faveur. Plus de 20 marabouts ont été importés dans le but de marabouter le chef de l'État, espérant ainsi orienter son choix en leur direction. Cependant, cette manœuvre soulève des interrogations quant à la pertinence de tels actes et met en lumière des considérations égoïstes plutôt que l'intérêt national.
Le porte-parole du Khalife Général des Mouride a assuré à la réunion du comité régional de développement présidé par le ministre de l’intérieur, Antoine Félix Abdoulaye Diome.
L’avocat franco-espagnol, défenseur de l’opposant sénégalais Ousmane Sonko, a été brièvement détenu à Dakar, inculpé pour attentat, complot, diffusion de fausses nouvelles et actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique.
La décision du président Macky Sall de dissoudre le parti de son principal opposant, Ousmane Sonko, apparaît comme un des signes du raidissement du pays, qui se revendique pourtant comme un modèle démocratique.
Alors que la multiplication des coups d’Etat militaires en Afrique de l’Ouest ébranle les fragiles édifices démocratiques issus de la décolonisation, la décision du président sénégalais, Macky Sall, annoncée le 3 juillet, de ne pas briguer un troisième mandat lors de l’élection présidentielle de février 2024, avait résonné comme un soulagement et un signe de responsabilité politique. Un mois plus tard, M. Sall risque de compromettre le capital de sympathie qu’il s’était alors acquis, en prenant une mesure grave, rarissi
Dans un communiqué publié sur le réseau social tweeter quelques heures après la confirmation de l’arrestation par les autorités mauritaniennes et la décision d’extrader au Sénégal, les avocats de Me Branco sont montés au créneau pour dénoncer cette décision. « Aucun avocat ne devrait être inquiété en raison de l’exercice de sa profession, ou qu’il soit dans le monde et qui que soit son client. Il en va de la sauvegarde des droits de la défense. La remise en liberté de notre confrère Juan Branco s’impose ! », ont martelé Me François Gibault, Me Luc Brosselet, Me Alexandre Ursulet et Me Robin Binsard.
Coordonnateur de l’ex-parti Pastef à la Médina et membre de la direction de ladite organisation politique, Ousseynou Ly a été interpellé hier. Pour l’heure, aucune information relative aux raisons de son arrestation n’est encore connue.
Le député Oumar Cissé de Taxawu Sénégal a profité de son temps de parole ce samedi à l’Assemblée nationale pour appeler ses collègues à œuvrer pour une élection présidentielle inclusive où Ousmane Sonko, Karim Wade et Khalifa Sall vont participer.
Le député Yewwi a, considéré que le dialogue devrait être poursuivi au niveau de l’Assemblée afin de permettre à tout Sénégalais le désirant de participer à la prochaine présidentielle du 25 février 2024.
Le chroniqueur de Walftv, Sérigne Cheikh Bara Ndiaye est depuis vendredi au service de réanimation de l’hôpital Principal de Dakar. Son état de santé s’est dégradé à cause de la grève de la faim qu’il observe depuis son arrestation.
Dans une affaire qui suscite de nombreuses interrogations, Juan Paulo Lopez BRANCO, visé par un mandat d'arrêt international émis par le Juge d'instruction du 2e cabinet du Tribunal de grande instance de Dakar (TGID), se montre énigmatique et résiste à toute coopération depuis son arrestation.
Après trois retours de parquet, la responsable des jeunesses patriotes de Tambacounda est placé sous mandat de dépôt par le juge d’instruction du tribunal de Grande instance de Tambacounda.
Fatima Zahra Wagué a rejoint 20 de ses camarades de parti dont le coordonnateur départemental Abdou Mbacké Samba en prison.
Un incident survenu à New York, avec l’expulsion d’un militant du Pastef, l’accusant de tous les maux, a été largement relayé par ses détracteurs et les réseaux sociaux. Face à la presse, Khalifa Sall, le leader de Taxawu Sénégal, a remis les pendules à l’heure, soulignant que malgré ses malentendus avec le leader de Pastef, Ousmane Sonko reste son petit-frère : « c’est mon petit-frère. Ce n’est pas parce qu’il y a des problèmes que je ne vais pas dire la vérité : on a de très bonnes relations».
Dans sa livraison de ce vendredi, le quotidien L'Observateur a révélé, dans le détail, les résultats de l'enquête ouverte par la Brigade mixte de Louga sur l'accident ayant causé la mort de 24 personnes. Les enquêteurs ont fait des découvertes renversantes qui ont permis l'arrestation du propriétaire du bus et du vendeur de tickets. L'accident tragique survenu mercredi 28 juillet dernier, à l'entrée de la ville de Louga et ayant causé la mort de 24 personnes et une quarantaine de blessés, vient de livrer ses premiers secrets. Les éléments de la Brigade mixte de Louga en charge de l'enquête qui ont commencé les auditions quelques heures après la survenue du drame, ont dans un premier temps, auditionné les rescapés.
Les migrants au nombre de 79 avaient dans un premier temps été sauvés par un bateau container battant pavillon russe avant d’être transférés à la marine marocaine, a souligné le Consul.
Poursuivi pour huit chefs d’accusation, le leader de Pastef Ousmane Sonko a été placé sous mandat de dépôt, hier, et acheminé à la Maison d’arrêt et de correction de Sébikotane. « Le Témoin » quotidien est convaincu qu’Ousmane Sonko sera le prisonnier politique le plus encombrant du régime finissant du président Macky Sall. Encombrant par sa taille politique, encombrant par sa cote de popularité et encombrant par ses ambitions à l’horizon 2024.
Remis en scelle au nom du dialogue national, après les contraintes liées au code électoral à la suite de leur déboires judiciaires, Khalifa Sall tout comme Karim Wade vont pouvoir se représenter pour briguer le suffrage des Sénégalais. C’est ainsi, dans le même sillage Barthélémy Dias, a appelé à l’endroit ses amis socialistes à se retrouver autour de la candidature de Khalifa Ababacar Sall à l’élection présidentielle de février 2024.
Avec le désistement de Macky, le Ps, l’Afp, le Pds seront convoités par ses anciens responsables, qui ont toujours été pressentis comme les futurs héritiers. Sur la route de 2024, Khalifa, Gackou et Idy vont vouloir faire main basse sur l’électorat de leurs anciens partis, qui ne sont pas prêts à aller à cette élection à cause du délai très court.
Ce jeudi, Ousmane Sonko a accordé un entretien en visioconférence à France 24. L’occasion pour le leader de Pastef de réagir sur le sujet qui fait l’actualité ces derniers jours : la décision de Macky Sall de ne pas se présenter pour la présidentielle de 2024. A la question de savoir s’il est ouvert à une discussion avec Macky Sall autour d’une table pour apaiser la tension, le leader de Pastef n’a pas fermé la porte, non sans fixer de conditions.