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05
Mar, Nov

Il n’y a pas encore de cas de fièvre ébola confirmé ni suspect au Sénégal. Néanmoins, les services de prévention sont-ils en alerte maximum pour veiller au grain. C’est en substance les assurances données hier par le ministre de la Santé et de l’Action sociale, qui faisait face à presse, suite aux rumeurs de cas enregistrés par le Sénégal et relayées à travers les réseaux sociaux.

Le ministre de la Santé et de l’action sociale ne trouve pas drôles,  alors pas du tout, les propos relayés à travers les réseaux so­ciaux et selon lesquels, le Sénégal aurait déjà enregistré son premier cas de fièvre ébola. Awa Marie Coll Seck trouve cette farce de mauvais goût et n’a nullement caché hier, au cours d’une conférence de presse, sa détermination à combattre l’infiltration du mal au Sénégal. «Il n’y a pas de cas de fièvre ébola confirmé ni de cas suspect, enregistré au Sénégal», a-t-elle d’emblée affirmé, pour rassurer l’opinion.

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Le 8 septembre 2012, la vie de Cheikh Yérim Seck basculait dans une sombre histoire de viol prétendument commis sur l’étudiante Ndéye Aïssatou Tall, fille du magistrat Boubou Diouf Tall. Il a clamé son innocence, mais les collègues du père de son accusatrice l’ont condamné à 3 ans de prison, puis, après appel, à deux années de détention carcérale. Aujourd’hui, depuis le début de cette année 2014, il est en liberté conditionnelle, a repris ses activités et même s’en est approprié de nouvelles. Il a traversé cette épreuve avec dignité et courage, et surtout avec une extrême lucidité, celle dont Réné Char disait « qu‘elle était la brûlure la plus proche du soleil ». La lucidité et l’humilité comme viatiques de renaissance ? C’est en tout cas un homme rempli de sérénité et apaisé que Dakaractu est allé rencontrer en son domicile conjugal. Entretien exclusif et respectueux des conditions de sa liberté justement conditionnelle. Voici les confessions sans concessions de Cheikh Yérim Seck.

Dakaractu : Monsieur Seck, bonjour. 15 mois privé de détention, c’est long. Comment les avez-vous passés ?

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Pour barrer la route au virus Ebola-La frontière Sénégalo-mauritanienne fermée à Podor

iGFM (Dakar) Décidément le virus Ebola hante la conscience des autorités mauritaniennes et Sénégalaises. Elles viennent de couper le cordon ombilical qui lie leur pays au Sénégal.  Ces autorités  ont décidé de fermer la frontière au niveau du fleuve Sénégal. Au micro de nos confrères de la Radio futurs médias (RFM), des personnes, interrogées suite à cette décision, s'interrogent sur la durée de cette mesure de fermeture de la frontière. En attendant d'avoir une réponse à cette question, le calme plat règne en maitre au niveau du débarcadère de Podor (Ville du Sénégal).


Tapa TOUNKARA

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ELECTIONS LOCALES - «Y en a marre» bat campagne contre la candidature de Alioune Sall à la mairie de Guédiawaye

L'OBS - Le mouvement «Y en a marre» s'érige en défenseur de la ville de Guédiawaye en rejetant systématiquement la candidature d’Alioune Sall, frère du Président Macky Sall, à la mairie de Guédiawaye. Malal Talla, porte-parole du jour, n’y est pas allé par quatre chemins. Il déclare que la morale ne peut même pas accepter que quelqu’un qui ne vit pas ou qui ne paie pas les impôts dans une localité, vienne briguer le suffrage des habitants de cette localité. «Il faut que les politiques  apprennent à respecter les populations», peste-t-il. Avant d’appeler celles-ci à refuser le parachutage. «Nous ne sommes plus dans les années 50, mais bien en 2014, où les populations sont éveillées», rappelle-t-il. 

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Le Mouvement du 23 juin (M23) veut l’adoption intégrale de l’avant-projet de Consti­tution proposé par la commission Mbow. Con­vaincus par deux des membres de la Cnri, Mamadou Lamine Loum et Moussa Mbaye, Mamadou Mbodj et Cie envisagent de mobiliser les populations pour l’adoption du document.

Un 23 juin bis est en gestation au M23. Cette fois le slogan sera : «Touche pas à mon avant-projet de Constitution!» C’est une idée a gitée, hier, par certains membres du M23, lors d’une conférence sur les recommandations de la Com­mission natio­nale de réforme des institutions (Cnri).

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Me Doudou Ndoye n’a pu tenir sa conférence publique sur la Crei, hier, au Terrou-bi parce que, selon les organisateurs, l’hôtel était occupé par la majorité qui fêtait l’An 2 de Macky Sall. Ce mercredi aussi, après Mimi Touré, c’est Aminata Tall qui y livrera le bilan de l’alternance du 25 mars.

Il n’y a pas finalement eu de télescopage au Terrou-bi hier. Le deuxième anniversaire de l’alternance devrait être célébré de deux manières. La majorité qui dressait son bilan et l’opposition qui voulait sans doute dénoncer la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) par une conférence animée par Me Doudou Ndoye pour le compte du Parti démocratique sénégalais (Pds) notamment, puisque la demande de couverture a été envoyée par Mayoro Faye. La position de Me Doudou Ndoye, démissionnaire de la Commission de réforme foncière pour «manque de moyens», selon lui, est connue. Dans un entretien avec Le Quotidien, il avait assimilé la traque des biens mal acquis à une «inquisition». 

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DAKARACTU.COM- A cause du discrédit jeté sur la deuxième mise en demeure sollicitée par le Procureur Spécial de la Crei et qui émane de "faits nouveaux" portant sur la découverte de 99 milliards de francs, la Commission d’instruction (Ci) a demandé à y voir plus clair. Une expertise bancaire a été ordonnée et l’expert vient de déposer son rapport. La Ci invite les avocats de la défense à venir au plus vite prendre connaissance des conclusions de l’expert. Le temps presse. 
  
A moins d’un mois de l’expiration de la deuxième mise en demeure de Karim Wade, c’est le branle bas de combat au niveau de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). La Commission d’instruction (Ci) de la Crei accélère la cadence pour boucler son enquête dans ce dossier qui tient en haleine tout le pays. D’ailleurs un rapport définitif vient d’être déposé sur la table du juge Cheikh Ahmed Tidiane Bèye. 

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L'apparition de l'épidémie de fièvre virale hémorragique dénommée Ebola  qui sévit en République de Guinée Conakry voisine, a poussé la Mauritanie a fermé depuis mardi dernier ses frontières avec le Mali  mais aussi le Sénégal, soit tout  le long du fleuve Sénégal, exceptés Rosso et Diama.

Depuis mercredi matin, les autorités mauritaniennes ont fermé tous les points de passage situés le long du fleuve Sénégal  sur 1 790 km, qui constitue la frontière naturelle entre la Mauritanie et le Sénégal, excepté les points d’entrée au niveau de Rosso et Diama.

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DAKARACTU.COM Le secrétaire Général du Parti socialiste Ousmane Tanor Dieng a révélé qu’il n’était pas d’accord avec la méthode de fonctionnement de la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI) et que l’on gagnerait plus à aller vers un consensus dans les méthodes de fonctionnement. 
 « On ne peut pas mettre une institution  sur place basée sur la polémique, sinon il y aura un désaccord permanent. Il faut un consensus mais je ne suis pas d’accord avec la méthode avec laquelle marche la CREI. » Selon Ousmane Tanor Dieng la médiatisation qui a entouré les affaires soulevées par la CREI ont empêché la médiation pénale « on retrouvait souvent les procès-verbaux dans la presse. Cela a empêché le Sénégal de mettre en place des médiations pénales et de rentrer dans ses fonds», a-t-il dit. 

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L’Etat du Sénégal et l’Agence française de développement (Afd) ont signé hier, trois conventions de financement d’un montant global de 85 milliards de francs Cfa. Début de matérialisation des engagements de la France pour la mise en œuvre du Pse, cet argent sera investi dans le développement agricole de Podor, l’éducation en Casa­mance et le prolongement de l’autoroute à péage jusqu’à l’aéroport international Blaise Diagne.

Au Groupe consultatif de Paris, la France s’était engagée pour un montant de 282 milliards de francs Cfa en ce qui concerne la mise en œuvre du Plan Sénégal émergent (Pse) pour la période 2014-2017. L’Agence française de développement (Afd), le bras financier de la coopération française, vient de donner hier un début de concrétisation à ses promesses, en signant trois conventions de financement avec l’Etat du Sénégal, pour un montant de 85,6 milliards de Cfa. «Ce chiffre repré­sente plus du tiers des engagements financiers de la France pour accompagner la mise en œuvre du plan Sénégal émergent», s’est réjoui le ministre de l’Economie et des Finances, Amadou Ba, à l’issue de la signature. 

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La Commission d’instruction de la Crei a un agenda chargé. Mercredi, elle a confronté Pape Abdou Diassé d’Abs et deux autres cités comme étant des actionnaires de ladite société. Pierre Agboba, lui, a été entendu hier, en attendant Karim Wade et Bibo Bourgi qui boucleront cette phase d’instruction.

C’est le compte à rebours pour la phase d’instruction du dossier de Karim Wade, qui devrait soit bénéficier d’un non-lieu soit être renvoyé devant la cour. La Com­mission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) a entendu mercredi Pape Abdou Diassé. Ce dernier a été confronté avec des actionnaires, sur le papier, d’Abs. Il s’agit de Fatou Babou, concierge de l’immeuble Abs, propriété de la famille Bourgi et Véronique Manga, do­mestique de la maman de Pape Mamadou Pouye, camarade de classe de Karim Wade au Cours Sainte Marie de Hann. 

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Macky Sall au pouvoir, sa méthode pour conquérir Thiès qui s’apparente à celle de Wade et qui «va le perdre», l’absence du Sénégal de son leader Idrissa Seck, les départs «naturellement regrettables» de Rewmi des minis­tres Oumar Guèye et Pape Diouf, du vice-président Youssou Diagne, de la notaire Me Nafissatou Diouf, etc. Yancoba Diattara évoque toutes ces questions dans la première partie de cette interview. Le jeune maire de fait de Thiès demeure convaincu que la capitale du Rail reste une forteresse imprenable pour son parti, Rewmi. En gravissant Les Marches du Quotidien, Diattara a lâché ses certitudes et ne s’est pas embarrassé de convenances… politiques pour cracher ses vérités à ses adversaires du parti présidentiel et leur leader, le Président Macky Sall. Entretien…    

Idrissa Seck se porte-t-il bien ?

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Jrnee Mond eauPlusieurs organisations de la société civile ont demandé, hier, à l’Etat du Sénégal d’améliorer la gouvernance de l’eau et de procéder à la hausse des financements pour l’accès des populations au liquide précieux. Le déficit du financement est d’ailleurs évalué à près de 500 milliards de FCfa. Le plaidoyer a été fait à  la veille de la célébration de la Journée mondiale de l’eau prévue ce samedi 22 mars 2014.

Le droit à l’eau est-il menacé ? La question peut paraître provocatrice, mais elle constituait, hier, la lame  de fond du débat sur le liquide précieux animé par plusieurs organisations de la société civile, sous l’égide du bureau régional de WaterAid. Les spécialistes sont d’avis que le Sénégal a presque atteint l’objectif global de l’accès à l’eau potable en milieu urbain. Pour ces derniers, il est temps de concentrer des efforts sur la qualité et d’avoir un regard critique sur les tarifications. Abordant le principe relatif à la transparence, Fatou Jagne de l’Ong Article 19  affirme que celui-ci est relatif à la qualité et à la tarification. 

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