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Dim, Nov

investi candidat à la présidentielle par les fds de Babacar Diop, Idrissa Seck repose l’issue du scrutin sur la jeunesse

Idrissa Seck de Rewmi a été investi, ce dimanche 23 décembre, par les Forces démocratiques du Sénégal (Fds) comme candidat à la présidentielle du 24 février 2019. La cérémonie d’investiture qui s’est déroulée à la Place de la Nation, à Dakar, a permis à l’ancien Premier ministre de renouveler sa confiance à la jeunesse sur laquelle reposerait l’issue de l’élection du 24 février prochain. L’ancien Premier ministre et patron de Rewmi, Idrissa Seck, a été officiellement investi hier, dimanche, candidat  à l’élection présidentielle du 24 février prochain.  L’investiture de l’ancien maire de Thiès a été effectuée par le biais d’un méga-meeting des Forces démocratiques du Sénégal (Fds) de Babacar Diop, ancien militant socialiste proche de Khalifa Sall et ex-patron des Jds.

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Idrissa Seck déambulant avec un exemplaire du Coran à Pikine, ce qui s'est réellement passé

Les dames de compagnie ont encore repris du service. Toujours en mission commandée pour des sinécures, elles se  servent encore et sans vergogne d'une image du président Idrissa Seck le Coran en main pour en faire les choux de leurs Unes en versant dans la calomnie, le colportage et la médisance comme elles savent le faire. 
  
 Pitié à ces travestis qui font honte à cette noble corporation dont la quintessence n'est rien d'autre qu'informer juste et vrai.  Une certaine presse qui ne fait que dans le dilatoire. 
  
 ‎Pondre un article sur un honnête citoyen sans aller à la source ou en avoir la moindre preuve de ses allégations ça ne se passe qu'à Ndoumbelaan où "Tout ce qui plaît à son excellence, Dieu le veut ". 

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Idrissa Seck charge encore Macky Sall : "Je trouve indigne le traitement qu’il a réservé à Wade"

Idrissa Seck poursuit de plus belle ses attaques contre le Président Macky Sall. En déplacement à Porokhane hier, pour les besoins du Magal de cette cité, le leader du parti Rewmi s’en pris au chef de l’Etat. En effet, il a accusé ce dernier de détruire les leaders politiques du Sénégal, prenant l’exemple sur l’ancien Président Abdoulaye Wade et le maire de Dakar Kkhalifa Sall.

"Je suis attristé que le président de la République utilise l’institution judiciaire pour combattre et écraser des adversaires politiques. Un tel comportement visant à détruire les leaders politiques qui auraient pu servir le pays, le continent, est une démarche tout à fait inacceptable.

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Sénégal - Arrestation des jeunes partisans de khalifa Ababacar Aall les femmes khalifistes exigent leur libération sans délais

 En conférence de presse hier, mercredi 23 janvier, les femmes khalifistes ont exigé la libération sans délais des jeunes partisans de Khalifa Ababacar Sall arrêtés dans la nuit du lundi 21 au mardi 22 janvier dernier par la Division des investigations criminelles (Dic)

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Succession de Macky Sall à la présidentielle de 2019 Idrissa Seck esquisse sa feuille de route

En séminaire avec les cadres de son parti au cours du week-end, à Saly, Idrissa Seck, le leader de Rewmi et candidat à la succession de Macky Sall, a lancé les bases de sa gouvernance, si bien évidemment, il est porté à la tête du pays au soir du 24 février 2019.  Dans un discours séquencé, parfois même railleur, ou aussi anecdotique, le patron des «Oranges» a décliné quelques pans d’une feuille de route devant être soumis au crible des cadres du Rewmi et du citoyen lambda.

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Sénégal : Macky Sall-Idrissa Seck, déjà la guerre avant la Présidentielle !

L’ancien Premier ministre sous Abdoulaye Wade, Idrissa Seck et le Président du Sénégal, Macky Sall, se livret une guerre sans merci, où tous les coups semblent permis. Selon toute vraisemblance, le chef de l’Etat a pris l’option de répondre aux coups de son ancien camarade de parti.

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Sénégal - Avenir politique : "Khalifa et Karim ne sont pas morts politiquement

Le Conseil constitutionnel a arrêté la liste définitive des candidats retenus pour la présidentielle du 24 février 2019 sans Khalifa Sall et Karim Wade, respectivement de "Taxawu Senegaal" et du Parti démocratique sénégalais (Pds). Toutefois, selon des analystes politiques, ces leaders gardent leur chance de pouvoir briguer les suffrages des Sénégalais lors des joutes électorales de 2024.

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Idrissa Seck : " Je lance un appel solennel au Président Macky Sall, un maoïste devenu libéral, pour qu’il libère le prisonnier politique Khalifa Sall"

Lors de son discours prononcé à l’Assemblée Générale du réseau libéral Africain le samedi 03 Mars 2018 à Accra, Idrissa Seck a lance "un appel solennel au Président Macky Sall, un maoïste devenu libéral, pour qu’il libère le prisonnier politique Khalifa Sall".

 

Je voudrais commencer par vous remercier de m'offrir l'opportunité d'un pèlerinage sur cette terre du refus et du panafricanisme, cette terre de Kwame Nkrumah. Cet immense Africain qui a brisé les chaînes mentales et appelé notre continent à s’émanciper du sentiment du dominé comme du ressenti de celui qui a perdu toute emprise sur son propre avenir.

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Macky Sall répond à Idrissa Seck à propos de l'accord bilatéral sur le gaz signé avec la Mauritanie

Accueillant son homologue Geoge Weah en visite amicale au Sénégal, le président de la République, Macky Sall en a profité ce matin au Palais, pour clore le débat sur l’accord signé récemment entre le Sénégal et la Mauritanie, suite à la lettre ouverte qu'Idrissa Seck a écrite sur la question.

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Rabat d'arrêt : Le Conseil constitutionnel démonte Khalifa Sall

Rejetant la requête formulée par Khalifa Sall, qui a axé sa ligne de défense sur le caractère suspensif du rabat d'arrêt, le Conseil constitutionnel a brandi des arguments quant à l'interprétation faite sur la définition de cette notion.

"S'il est avéré que le rabat d'arrêt peut être formé contre l'arrêt de la Cour suprême, il ne peut pas être assimilable à un deuxième pourvoi en cassation qui aurait pour objet d'amener les chambres réunies, compétentes pour en connaitre, à exercer un contrôle normatif ou disciplinaire sur l'arrêt rendu par l'une des chambres de la Cour suprême, qu'il suffit, pour s'en convaincre, de se référer aux dispositions de la loi organique n°2017-09 précitée, qu'il résulte des articles 52 et suivants de cette loi que le rabat d'arrêt ne peut être introduit que si le requérant fait état d'une erreur de procédure qui ne lui est pas imputable et qui a une incidence sur la solution du litige", rétorquent, d'emblée, le Conseil constitutionnel à Khalifa Sall.

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