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Dim, Nov

Création de "Grand Parti-Suxali Senegal" : Malick Gackou entendu par la police

C'est La Tribune qui file l'info. Vingt quatre heures après la création de sa formation politique, "Grand Parti", Malick Gackou a été convoqué, hier, au commissariat central de Guédiawaye.

L'ex-numéro 2 de l'Alliance des forces du progrès (AFP) est arrivé sur les lieux, selon le journal, aux environs de 15 heures avant d'en ressortir vers 16 heures. Il était accompagné d'autres personnes. Il s'agit de Diao, son ami intime, du trésorier du "Grand Parti et du Dr Kane. 

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Me Babou: "Malick Gackou n'arrive pas à la cheville de Macky Sall"

"Il ne sera ni premier, ni deuxième, ni troisième, ni quatrième à l'élection présidentielle de 2017. Il y a une grande différence entre ce que rapportent les médias et la réalité du terrain politique. Malick Gackou a encore du chemin à faire pour se hisser au niveau des grands leaders nationaux", a estimé Me Babou

A ses yeux, le leader politique exclu de l'Alliance des Forces de Progrès a préparé son départ de l'AFP car il a amené avec lui une grande frange de ce parti.

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Invalidation de la candidature de Karim Wade : Oumar Sarr tire sur le Conseil constitutionnel et annonce des réponses judiciaires et politiques

Le Conseil constitutionnel a provisoirement invalidé les candidatures de Khalifa Sall et de Karim Wade en perspective de la présidentielle de février prochain. Une mesure dont les motivations ne convainquent pas leurs mandataires qui se sont signalés sur les lieux dès l'annonce de la publication de la liste provisoire des candidats ce lundi 14 janvier. Les deux candidats ont été rattrapés par leurs démêlés avec la justice et se sont vu refusés par le Conseil constitutionnel leur droits civiques.

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Examen de la candidature de Karim Wade par le conseil constitutionnel Oumar sarr étale ses suspicions

Oumar Sarr,  le Secrétaire national adjoint du Pds, est formel. Malgré la ferme conviction de son parti que Karim Wade peut valablement briguer les suffrages des Sénégalais lors de la prochaine présidentielle, il ne faudra pas trop compter sur le Conseil Constitutionnel au vu de ce que cette institution a montré lors des dernières élections législatives.

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Réaction – Les enseignants libéraux sur leur candidat : «Karim est de nationalité exclusivement sénégalaise»

Réaction – Les enseignants libéraux sur leur candidat : «Karim est de nationalité exclusivement sénégalaise»

Réaction – Les enseignants libéraux sur leur candidat : «Karim est de nationalité exclusivement sénégalaise»

Par Dieynaba KANE – Le débat sur la nationalité de Karim Wade n’a pas sa raison d’être. C’est en tout cas ce que le Secrétariat national des enseignants libéraux a fait savoir en substance dans un communiqué. Ces militants du Pds ont tenu à préciser que leur candidat à la Présidentielle de 2024 «est  présentement de nationalité exclusivement sénégalaise».
Voulant montrer que rien ne peut empêcher Karim Wade de se présenter à la prochaine élection, les enseignants libéraux soutiennent qu’il «est en règle avec le fisc avec l’obtention d’un quitus fiscal en 2019, année depuis laquelle il n’a exercé aucune activité professionnelle sur le territoire national». Dans la même veine, ils ont rappelé que le fils du Président Abdoulaye Wade «n’est nullement concerné par les modifications du Code électoral issues du dernier dialogue national, car il est redevenu électeur et éligible depuis le 20 août 2020».

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Présidentielle 2019 : Le député Mor Kane met en garde le pouvoir contre toute tentative d'écarter Karim Wade et fustige l'absence des femmes

Karim Wade n'a pas eu de soucis avec la phase des parrainages. Par contre, le candidat déclaré du Parti démocratique sénégalais n'est pas à l'abri d'un rejet de son dossier pour des causes liées à ses démêlés judiciaires. Député du parti démocratique sénégalais, Mor Kane met en garde le pouvoir contre toute tentative d'écarter le candidat du PDS.

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Sénégal, Conflit entre Macky Sall et Karim Wade : Mohammed VI du Maroc en médiateur

Alors que le retour de Karim Wade, candidat à la Présidentielle de 2019, au Sénégal, est soumis à des conditions exigées par le Président Macky Sall, le roi du Maroc, Mohammed VI jouerait les bons offices pour éviter que les choses ne s’embrasent.

A Dakar,

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Karim Wade sur l’invalidation de sa candidature : «La bataille juridique et politique ne fait que commencer»

Les sept « Sages » du Conseil constitutionnel ont publié, hier, la liste définitive et non « provisoire »  des cinq candidats retenus pour l'élection présidentielle du 24 février prochain. Sauf surprise, l'ex-maire de Dakar, Khalifa Sall, et l'ancien ministre Karim Wade ont été écartés de la course à la magistrature suprême. 

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Macky Sall a sollicité Interpol pour empêcher Karim Wade de participer à la campagne électorale - URGENT : La lettre des avocats de Karim Wade à Interpol

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Monsieur le Secrétaire général,

Nous sommes les conseils de M. Karim WADE ancien ministre d'État de la République du Sénégal, désigné par le principal parti d'opposition, le Parti Démocratique Sénégalais (PDS), comme candidat à l'élection présidentielle dont le premier tour aura lieu le 24 février 2019.

Nous avons appris que les autorités sénégalaises sont intervenues auprès de vos services en vue d'obtenir à l’encontre de M. WADE la diffusion d'une « notice bleue », qui est dépourvue de tout fondement pertinent et qui répond exclusivement à des considérations politiques.

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Madické fait face, Karim s’efface-Wade victime de son double-jeu autour du plan B

Une lettre attribuée à Me Abdoulaye Wade blanchit Madické Niang. « Enterrons ce qui ne doit plus être dans nos relations qu’un regrettable incident qui se situe maintenant derrière nous », supplie la missive aux relents d’armistice. De Idrissa Seck à Pape Diop, toutes les victimes de ce qui était appelé le « Projet de dévolution monarchique du pouvoir » n’ont pas eu ce privilège. Ils ont été tous maudits dès le premier choc et déshérités à vie. 
En réalité, Karim Wade a reculé devant la popularité subite de Me Madické Niang. Il est conscient que ce dernier ne peut être pris en défaut sur le terrain du loyalisme. De nombreux responsables du Parti démocratique sénégalais, ayant vieilli sous le harnais, sont en phase avec l’avocat qui porte le combat de tous ceux légitimistes qui ne veulent pas d’une nouvelle Génération du Concret pour incarner le plan B. 

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