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A l’étape de Sédhiou de sa campagne électorale avant-hier, samedi 9 février, le candidat de la coalition Madické 2019 a réaffirmé son engagement à réformer les institutions pour réduire le train de vie de l’Etat. Madické Niang a aussi déclaré que la paix en Casamance sera la priorité de son projet de société dénommé «Jam ak Khéwel».
A son arrivée ce samedi à Sédhiou, Me Madické Niang candidat de la coalition Madické 2019 a décliné sa feuille de route conforme à son projet de société intitulé Jam ak Khéwel : « nous allons gouverner autrement ce pays. Nous allons gouverner par la vérité, par la dignité, le courage et l’honneur. Jamais, nous ne succomberons face à des menaces ou à des intimidations. Notre projet de société est intitulé Jam ak khéwel. Nous nous élèverons contre toutes les formes d’injustice. Le meilleur socle de la paix, c’est le respect des droits et de la démocratie. Il s’agit de faire en sorte que chaque citoyen se sente mieux ».
Et de poursuivre, sous les ovations nourries de ses militants, « la région sera dotée de tous les services sociaux de base depuis la santé jusqu’à l’éducation, la formation, l’appui aux activités génératrices de revenus pour les jeunes et les femmes. Je vous promets de transformer Sédhiou ».
S’exprimant au sujet de la paix en Casamance, Madické Niang relève que son premier chantier sera la Casamance. « Notre projet de société qui s’appelle Jam ak khéwel est en mesure de régler le problème de la Casamance. La paix y sera définitive car nous allons discuter de manière sincère. Nous allons engager de grands chantiers au niveau de la Casamance pour qu’il n’y ait plus de frustrations, que vous ayez tous conscience que vous appartenez à un même Sénégal et vous avez les mêmes droits sur les ressources du Sénégal ».
Sous les applaudissements nourris et cris de joie de ses militants et sympathisants dans l’aire de jeu du terrain de handball, L’ancien compagnon de Me Abdoulaye Wade de rappeler l’impératif et la plénitude du droit des populations dans la répartition des ressources publiques. « Vous avez nécessairement le droit de rappeler que nous sommes tous égaux devant la loi. C’est une révolution que j’ai commencée depuis la déclaration de ma candidature. Il n’y aura plus d’instrumentalisation de la justice ni de gestion clanique. Au niveau de l’administration, je compte faire un appel à candidature pour certains postes. Il n’y aura plus de gouverneurs, seuls les préfets suffisent. Cela permettrait à chacun de disposer de la même chance, c’est un Sénégal nouveau », a-t-il fait cas avant de poursuivre son chemin en direction du sud.