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Jeu, Nov

Recrudescence de la violence armée en Casamance quand le bois nourrit le grand conflit trentenaire

 L’exécution, samedi dernier 6 janvier, de 13 jeunes dans la forêt de Bayotte (7 km au Sud de Ziguinchor) par une quinzaine d’hommes en arme, avec en cause une opération de coupe de bois, remet du sable dans la machine du processus de paix en Casamance. Même si le mystère persiste toujours sur l’identité de leurs bourreaux, il reste clair que le nœud gordien de ce massacre reste la lancinante question de l’exploitation du bois vert. Dans la région de Sédhiou, tout comme dans toutes les collectivités locales sur la bande frontalière avec la Gambie, le mal est profond. Les complicités ont fini d’infecter élus, chefs de villages, agents forestiers (…) sous l’emprise des multinationales basées en Gambie.

Tuerie de Boffa : La situation était prévisible dans la localité

On en sait davantage sur la tuerie dans la forêt de Boffa Bayottes. Les 13 coupeurs de bois tués par des hommes armés. Selon la Rfm qui a contacté des personnes bien au fait de la situation, révèlent que la tragédie qui vient de se passer, n’était pas si imprévisible qu’on peut le croire.

Tout serait lié à un vaste système d’exploitation commercial du bois de teck de la forêt classée des Bayottes. Ce trafic de bois a conduit depuis quelques semaines, à la mise sur pied de comités villageois de surveillants pour chaque localité et un comité inter – villageois regroupant les villages directement concernés. 

Parti Socialiste : Qui sont les autres exclus par le Bureau politique

Le Bureau politique du PS a exclu du parti 65 personnes. Une liste dans laquelle on retrouve des personnes connues telles que Khalifa Sall, secrétaire national à la vie politique, Sg du département de Dakar, Barthélémy Dias secrétaire national adjoint à la vie politique , Aïssata Tall Sall, Sg Union régionale de Saint-Louis, Idrissa Diallo maire de Dalifort, Bamba Fall, Sg coordination de la Médina, Palla Samb, Sg coordination Fann Point-E, Aminata Diallo, Présidente des femmes de Grand Yoff.

Affaire Cheikh Gadiaga : Pourquoi Amadou Bâ n’a pas répondu à la convocation des enquêteurs ?

Amadou Bâ fait partie de la longue liste des victimes du duo Cheikh Gadiaga-Moïse Rampino. Le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan devait être entendu par les enquêteurs, hier. Mais aux dernières nouvelles, nous avons appris qu’il n’a pas déféré à la convocation. Les raisons ? Seul lui et les enquêteurs qui ont clôturé l’enquête et déféré les mis en cause devant le Procureur, peuvent apporter la réponse.

Révélations de Clédor Sène sur l’or de Sabadola : le gouvernement dément et précise ce qu’il a fait pour les populations

Clédor Sène, dans un entretien accordé à Dakaractu ce jeudi, a déclaré que l’Etat du Sénégal a vendu le pourcentage de 10 % qui lui revient de droit dans le capital de la société d’exploitation de l’or de Sabadola.

La Direction des Mines et de la Géologie (DMG), à travers une note reçue par la rédaction ce samedi, précise que l’Etat du Sénégal détient jusque-là sa part relative aux 10% des actions non diluables au capital social de la société d’exploitation de l’or de Sabadola »

Sénégal - UN PROF, UN COLLÉGIEN, UN INGÉNIEUR, DES ÉTUDIANTS... Comment ils sont devenus Jihadistes?

Le profil de certains mis en cause est intriguant. Pour ne pas dire que parfois, il n'y a qu’un pas à franchir entre le bien et le mal. La preuve par Oumar Yaffa, extradé de la Mauritanie en même temps que les membres de la cellule de Mohamed Ndiaye dit Abu Youssouf. Avant de basculer dans le camp du mal, Oumar Yaffa était professeur en Science et Vie de la terre (SVT). Abdou Aziz Diallo qui avait rallié Boko était étudiant à licence de Géographie à l’UCAD, Abdou Diallo dit Abu Diendal, élève au Collège de Rosso, Ibrahima Diallo élève coranique, Alioune Badara Sall dit Imam Ali ingénieur en génie civil...

La famille d'Alioune Ndao réagit : "L'imam recouvrera la liberté si…"

Après deux ans et 2 mois de détention (il est sous mandat de dépôt depuis le 26 octobre 2015), l'imam Alioune Badara Ndao et plusieurs autres personnes comparaitront devant la chambre criminelle du tribunal de grande instance de Dakar, ce mercredi 27 décembre 2017. Ils seront jugés pour terrorisme.

À quelques jours de cette audience spéciale, la famille de l'imam est montée au créneau pour interpeller les magistrats en charge du dossier.

Dans un entretien téléphonique avec Seneweb, son frère cadet, Ablaye Ndao, porte-parole de la famille, soutient que l'innocence de son frère sera démontrée le jour du procès.

Affaire Khalifa Sall : les raisons du changement dans la composition du Tribunal

 Le changement de la composition du tribunal chargé de juger Khalifa Sall et ses co-prévenus n’est pas passé inaperçu. Le banc du ministère public est occupé par le Procureur de la République, Bassirou Guèye en personne, en lieu et place de son substitut Aly Siré Ndiaye qui avait siège à l’audience du 14 décembre.

Du côté du siège, le juge Malick Lamotte a présidé la séance. Magatte Diop qui avait présidé la première audience devient assesseur, comme il l’a été au procès de Karim Wade. Les autres assesseurs ont aussi cédé leurs places. Ce changement est loin d’être un fait de hasard.

200 milliards FCFA d’Aminata Touré : Amadou Tidiane Wone interpelle Antoine Félix Diome, agent judiciaire de l’Etat et ex-substitut du procureur à la CREI

L’ancien ministre de la Culture, Amadou Tidiane Wone a interpelé Antoine Félix Diome, agent judiciaire de l’Etat et ex-substitut du procureur auprès la CREI (Cour de répression de l’Enrichissement illicite), pour faire toute la lumière sur l’affaire du recouvrement de la traque des biens mal acquis et de la reddition des comptes suite aux 200 milliards FCFA annoncés par Aminata Touré, l’ancien Premier ministre et ministre de la Justice.
 
«Amath Dansokho avait déclaré que plus de 4000 milliards ont été dilapidés au Sénégal.

2017 : l’année où l’Afrique a déclaré la guerre au Cfa / La France sur la défensive

Une certaine Afrique des révolutionnaires brûle le F Cfa au propre comme au figuré. Cette monnaie qui, de par la perception de ses farouches détracteurs, est un vestige de la colonisation, a suscité une vive polémique durant cette année 2017. Année qui a enfanté une nouvelle conscience panafricaine contre la France. Cette dernière refuse d’être la dernière-née d’Egypte et refile la patate chaude aux chefs d‘Etats africains. Ceux-ci ont-ils le tempérament impétueux de Sékou Touré qui quitta la zone près de 60 ans plus tôt ?