Khalifa Sall a-t-il été vendu et déjà condamné par ses "amis" ? ( Marvel )
Ce que l’on peut appeler « l’affaire Khalifa Sall » est objet de toutes les passions depuis quelques temps, et son issue pèsera semble-t-il sur la configuration des élections présidentielles de 2019. Dossier judiciaire pour les uns, dossier politique pour les autres. Probablement les deux à la fois lorsque l’on écoute certaines interventions qui donnent des pistes probantes .
Sénégal – Affaire Khalifa Sall : polémique entre la mairie de Paris et le parti de Macky Sall
Alors que le procès de Khalifa Sall, qui devait s'ouvrir ce jeudi, a été reporté au 3 janvier prochain, le dossier est au cœur d'un bras-de-fer entre le Conseil de Paris et l'Alliance pour la République (APR), le parti de Macky Sall. En cause : la création d'un « Observatoire international des maires en danger » qui doit aboutir à la création d'un statut de protection pour les élus « injustement » poursuivis devant la justice.
Visite de l’émir du Qatar au Sénégal : Karim Wade au menu ?
Cheikh Ben Hamad Al Thani, l’émir du Qatar est au Sénégal. Cette visite, calée depuis des mois, entre dans le cadre d’un périple du 20 au 24 décembre dans plusieurs pays africains. Mais cette visite au Sénégal a un goût très particulier. Karim Wade, le candidat déclaré du Pds, est en exil au Qatar.
Affaire Khalifa Sall : Les vérités de Me Ousmane Sèye
Me Ousmane Sèye n'est pas de ceux qui pensent que le procès de Khalifa Sall est politique. Il soutient que le maire de Dakar est poursuivi pour des faits prévus par le Code pénal. Il était l'invité du Grand jury ce dimanche. Extraits.
Intox
"Il y a beaucoup d'intoxication et de désinformation dans cette affaire. Un procès politique concerne une personnalité politique avec des délits politiques et des juridictions politiques. Ce qui n'est pas possible au Sénégal. Même la Haute Cours de justice n'est pas une juridiction politique.
Bamboula à la BCEAO : La banque accorde un prêt de 52 milliards de F Cfa à son personnel
En 2016, la dette du personnel de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), contractée auprès de l’institution, a été de 52 milliards de F Cfa. Et dire que les agents de la BCEAO ont les plus gros salaires à l’intérieur de ces Pays moins avancés (Pma), zone de focalisation du phénomène de l’émigration clandestine, dont on n’a pas fini de parler avec la vente de migrants africains en Libye. On comprend mieux pourquoi le gouverneur de la banque, M. Thiémoko Koné, qui a approuvé une telle décision, s’est empressé de monter au front, médiatiquement s’entend, quand la bande à Kémy Séba a voulu jeter du sable dans le couscous.