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Jeu, Nov

Babacar GAYE, ancien chef d’Etat-major général des armées «ce n’est pas par la force qu’on règle des situations de crise»

L’ancien Chef d’Etat-major général des armées sénégalaises, le général Babacar Gaye, a animé hier, jeudi 21 décembre, le cours inaugural de la troisième promotion du Centre des hautes études de défense et de sécurité (Cheds) couplée à la remise des diplômes à la deuxième promotion de cet institut. Abordant le thème des Opérations de maintien de la paix des Nations Unies (Onu), il a souligné la nécessité de réformer ces missions des casques bleus de l’Onu afin qu’elles soient beaucoup plus capables de répondre aux défis sécuritaires actuels.  «Il y a une capacité d’autocritique des Nations Unies qui est remarquable. J’ai souligné combien la problématique des opérations de maintien de la paix tournaient autour de l’emploi de la force et de l’évolution des conflits. 

Ouverture de l'Aibd : LSS, un aéroport pour hôtes du Président ?

«Le 7 décembre 2017 à 12 heures, tout avion qui est dans le ciel et qui veut venir à Léopold Sédar Senghor (LSS), atterrira à l’Aibd. Tout avion ayant atterri à Léopold Sédar Senghor décollera de LSS. Mais le 8 décembre à 12 heures, il est supposé que tous les avions qui seront à Léopold Sédar Senghor auront décollé.

L’émir du Qatar à Dakar : quelles implications sur la coopération sénégalo-saoudienne?

Sur fond de crise avec l’Arabie Saoudite, le Qatar consolide les bonnes relations qui l’unissent au Sénégal depuis le magistère de Léopold Sédar Senghor avec la visite de l’émir Cheikh Ben Hamad Khalifa Al-Thani à Dakar prévue demain. Toutefois, il est nécessaire de s’interroger sur les implications de cette visite relativement à la coopération sénégalo-saoudienne, dès lors que dans cette guerre froide où on compte ses amis en Afrique entre Ryad et Doha, celui qui cherche à plaire aux deux parties est souvent soupçonné de double-jeu.

 

En 2015, le Sénégal avait prévu d’envoyer 2100 soldats au Yémen, en soutien à l’Arabie Saoudite, dans le cadre de l’opération Redonner l’espoir initiée contre les milices houthistes (chiites), bras armés de l’Iran. A l’époque, la donne qatarie ne s’était pas encore invitée dans les relations historiques entre les deux pays.
Le principe : « L’ami de mon ennemi est mon ennemi », étant aussi une loi d’airain en relations internationales, depuis quelque temps, Dakar est obligé de choisir son camp entre le Qatar et l’Arabie Saoudite, tête de pont d’une coalition de pays membres du Conseil de coopération du Golf hostiles au Qatar, qui aurait, entre autres chefs d’accusation, commis le « crime de lèse-majesté» de se rapprocher de l’adversaire commun chiite.

Pourquoi avoir peur de perdre le pouvoir quand on n’a jamais redouté de l’avoir ?

Une certitude : Macky Sall ne redoutait aucunement, ni le pouvoir en soi, ni de l’avoir. En témoignent, d’une part, ses slogans de campagne électorale : « Une gouvernance sobre et vertueuse », « La patrie avant le parti », etc. Et, d’autre part, son programme de gouvernement : Le fameux « yoonu yokkute » (littéralement, le « chemin du véritable développement »)

Maniées avec dextérité par la coalition ‘‘Macky 2012’’, ces armes entre autres armes politiciennes avaient alors généré chez les militants et les sympathisants de Macky Sall une outrecuidance certaine, tandis que son « yoonu yokkute » devait supplanter tous les programmes de gouvernement concurrents. 

Birahim Seck se prononce sur le rapport de l'Ofnac: "L'Ofnac refuse de prendre ses responsabilités"

"Tout ce que l'Ofnac dit dans le rapport était déjà connu par les Sénégalais. Chaque année, le Forum Civil publie un rapport sur l'indice de perception de la corruption, afin de mesurer le niveau de la corruption au Sénégal. Tous les deux ans, "Transparency International" publie également un rapport sur le baromètre des secteurs les plus corruptogènes en Afrique et au Sénégal. Les secteurs cités par le baromètre de "Transparency International" sont souvent : la sécurité publique, la justice et le monde politique.

Khalifa Sall a-t-il été vendu et déjà condamné par ses "amis" ? ( Marvel )

Ce que l’on peut appeler « l’affaire Khalifa Sall » est objet de toutes les passions depuis quelques temps, et son issue pèsera semble-t-il sur la configuration des élections présidentielles de 2019. Dossier judiciaire pour les uns, dossier politique pour les autres. Probablement les deux à la fois lorsque l’on écoute certaines interventions qui donnent des pistes probantes .

Sénégal – Affaire Khalifa Sall : polémique entre la mairie de Paris et le parti de Macky Sall

Alors que le procès de Khalifa Sall, qui devait s'ouvrir ce jeudi, a été reporté au 3 janvier prochain, le dossier est au cœur d'un bras-de-fer entre le Conseil de Paris et l'Alliance pour la République (APR), le parti de Macky Sall. En cause : la création d'un « Observatoire international des maires en danger » qui doit aboutir à la création d'un statut de protection pour les élus « injustement » poursuivis devant la justice.

Visite de l’émir du Qatar au Sénégal : Karim Wade au menu ?

L’émir Cheikh Ben Hamad Khalifa al Thani est attendu à Dakar aujourd’hui, pour une visite aux relents diplomatique et économique. Mais il ne fait aucun doute que Karim Wade sera au menu des discussions entre le Président Macky Sall et l’homme fort de Qatar qui héberge depuis plusieurs mois, le fils de l’ancien président Wade, exilé de force par le régime en place selon ses souteneurs. 

Cheikh Ben Hamad Al Thani, l’émir du Qatar est au Sénégal. Cette visite, calée depuis des mois, entre dans le cadre d’un périple du 20 au 24 décembre dans plusieurs pays africains. Mais cette visite au Sénégal a un goût très particulier. Karim Wade, le candidat déclaré du Pds, est en exil au Qatar. 

Affaire Khalifa Sall : Les vérités de Me Ousmane Sèye

Me Ousmane Sèye n'est pas de ceux qui pensent que le procès de Khalifa Sall est politique. Il soutient que le maire de Dakar est poursuivi pour des faits prévus par le Code pénal. Il était l'invité du Grand jury ce dimanche. Extraits.

Intox
"Il y a beaucoup d'intoxication et de désinformation dans cette affaire. Un procès politique concerne une personnalité politique avec des délits politiques et des juridictions politiques. Ce qui n'est pas possible au Sénégal. Même la Haute Cours de justice n'est pas une juridiction politique.

Bamboula à la BCEAO : La banque accorde un prêt de 52 milliards de F Cfa à son personnel

En 2016, la dette du personnel de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), contractée auprès de l’institution, a été de 52 milliards de F Cfa. Et dire que les agents de la BCEAO ont les plus gros salaires à l’intérieur de ces Pays moins avancés (Pma), zone de focalisation du phénomène de l’émigration clandestine, dont on n’a pas fini de parler avec la vente de migrants africains en Libye. On comprend mieux pourquoi le gouverneur de la banque, M. Thiémoko Koné, qui a approuvé une telle décision, s’est empressé de monter au front, médiatiquement s’entend, quand la bande à Kémy Séba a voulu jeter du sable dans le couscous.