Account
Please wait, authorizing ...
Not a member? Sign up now
×

Sidebar

21
Jeu, Nov

Démission de l’armée : pourquoi refuser à un capitaine sénégalais ce qu’on accorde à un général français ?

La démission, puis l’arrestation, devant les locaux de Dakaractu, du capitaine Mamadou Dièye défraie la chronique. Il y a deux écoles qui s’affrontent à ce sujet : certains pensent que le Saint-Cyrien a tort de claquer la porte, d’autres imputent la faute à l’autorité qui n’a pas réservé de suite à la demande qui lui a été adressée à cette fin, malgré plusieurs relances. 
Au Sénégal, les lois étant souvent inspirées par la France, au pays de Marianne, la démission spectaculaire de l’ex-chef d'état-major des armées Pierre de Villiers, qui dénonçait au mois de juillet 2017 les coupes budgétaires sur le budget de la Défense, était une première sous la Ve République. Comme l’est celle du capitaine Dièye de 1960 à nos jours. Le général français avait même écrit un livre, publié en novembre 2017, pour revenir sur les raisons de son départ. Cela n'avait pas suscité une levée de boucliers de la part des Français soucieux de savoir où va leur argent. 

Crime passionnel, crime maléfique : qui sont ces Sénégalais qui tuent hors de chez eux… ?

Ils, ces migrants hommes et femmes, ont quitté le Sénégal en quête d'un ailleurs plus clément, en vue d'une vie plus remplie pour eux et leurs proches. Puis en un instant, parfois au bout d'un long processus voire d'un plan froidement éxécuté, tout a basculé dans...l'horreur.

Faut-il y voir dans ces bribes d'histoires, un mal-être profond révélé au terme d'un face-face sans fard avec eux-mêmes, dans le froid matérialisme de ces sociétés occidentales où l'individu est un et tout à la fois ? Ou la rupture d'un équilibre malmené par les contradictions intimes qui se sont faites jour dans leur pays d'origine et transportées tel un maléfique coffret dans leur pays d'accueil qu'ils ont ouvert, expulsant rancoeur, vengeance, rituels maléfiques et folie ... A moins que ce ne soit tout simplement des hommes et des femmes dont on dira faute de pouvoir comprendre les motivations, à défaut de les admettre, " c'était écrit" !

La vérité sur les 50 000 lampadaires solaires de Fonroche

(Par Amadou DIOUF an-news.com) –

D’aucuns avaient rué dans les brancards pour crier au scandale à propos du marché des lampadaires solaires confié à Fonroche – Environnement urbain. Les plus audacieux avaient lié l’octroi de ce marché à la visite au Sénégal d’Emmanuel Macron qui aurait pesé de tout son poids pour faire tomber le contrat dans l’escarcelle de l’entreprise française. ANN est en mesure de vous dire, après enquête, que tout cela n’est que pure vue de l’esprit. Mais on ne peut s’empêcher de s’étonner du silence du Directeur général de l’Agence nationale pour les énergies renouvelables (ANER) face à cette entreprise de désinformation alors qu’il gardait par devers lui, les informations que nous dévoilons ici.

Laser du lundi : Un bon hélicoptère, un bon équipage, un gros gâchis et une réelle tragédie (Par Babacar Justin Ndiaye)

La commission d’enquête travaille. Elle déblaye un monticule d’énigmes autour de l’épave et cherche des réponses au geyser de questions que couvrent la boue et les palétuviers du cirque aquatique qui baigne le village de Missirah. Evidemment, un faisceau de questions, parmi d’autres, ciblent l’hélicoptère abîmé et concernent l’équipage décimé par l’accident. Sans préjuger des conclusions provisoires et des résultats définitifs des investigations en cours, un observateur averti peut – dans les limites de ce qu’il sait – se faire l’avocat de l’appareil détruit et de l’équipage défunt.

Fréquentées par des Sénégalais présumés jihadistes : Que représentent Abadam, Gwoza et Sambisa pour Boko Haram ?

Abadam, Gwoza et Sambisa. Il ne se passe pas un jour au procès de l'Imam Ndao et de ses co-accusés sans que ces trois mots ne soient rabâchés. Presque tous les accusés qui sont déjà passés devant la barre ont eu à prononcer ces noms pourtant méconnus de beaucoup de leurs compatriotes. Les accusés qui ont eu à évoquer ces localités nigérianes l'ont fait en racontant le périple qui les a menés dans ce pays d'Afrique noire dont une partie est encore ou a été occupée par Boko Haram. Selon la plupart des récits servis à la chambre criminelle à formation spéciale, le voyage commence à Kaolack, à bord des bus de la société Sonef. Bamako, la capitale malienne constitue la première escale. La seconde, c'est Ouagadougou, au Burkina Faso avant que Niamey ne prenne le relais. De Niamey, les apprentis jihadistes qui ont nié devant la barre avoir caressé l'idée de grandir les rangs de Boko Haram, soutiennent avoir gagné Zinder et Diffa, toutes deux des villes nigériennes. La dernière localité du Niger à accueillir ces sénégalais à la recherche d'une terre “bénie” par Dieu se révèle être Abadam.

Mais, avec ces multiples naissances de mouvements, ne faudrait-il pas craindre le syndrome de la pléthore des partis politiques?

Il se pourrait bien que je me trompe peut-être. Mais, en tout cas, comme on le dit, si souvent, et qui est vrai : tout excès est nuisible. Par voie de conséquence, tout ce qui est excessif perd aussi sa valeur intrinsèque, voire son originalité. Ce que l’on appelle en wolof : « lu laaté laamb té lu ëp turu »  ou autrement dit : la surabondance d’un produit déprécie sa valeur réelle. C’est exactement, en ce moment, le cas des partis politiques, dans notre pays. Ils sont, incontestablement, pléthoriques. Et, ayant, presque tous, fait le plein de leur capacité, ils n’arrivent plus à recruter des militants. Bien au contraire, certains se désagrègent et deviennent même, quasiment, des coquilles vides ou quantité négligeable.

"Apologie du viol" : ces articles du code pénal qui encerclent le Pr Songudé Diouf

Même si le Professeur El Hadji Songudé Diouf a réitéré ses propos tenus dans l’émission Jakarlo vendredi dernier, dans la Section des infractions commises par tous les moyens de diffusion publique, le code pénal sénégalais reste catégorique quant à la répression de l’apologie du viol avec des moyens de diffusion publique: la radiodiffusion, la télévision. Leral.net vous propose des morceaux choisis

Le stand up de M. Bougane Gueye Dany à Diana Malary: le 3 avril 2018

D’emblée je voudrai préciser que je suis apolitique même si quotidiennement je côtoie des hommes et des femmes politiques dont je salue l’engagement au nom du peuple et pour le peuple.

C’est en tant que simple citoyen que j’écoute  les discours à la nation du chef de l’Etat en place et  les rections des acteurs  politiques et les membres actifs de la société civile. Cette année, ce 3 Avril 2018, le stand up de M. Bougane Gueye Dany à Diana Malary m’a beaucoup marqué. Comme vous pouvez le deviner je suis de Diana Malary. Désormais, nous sommes immagologiquement liés.

Apres avoir écouté son discours, je me suis posé une question légitime qui coule de source. Pourquoi  a-t-il choisi de faire son stand up devant le panneau nominatif de Diana Malary ?

Vendetta à l’italienne dans l’affaire Sarkozy : Karim Wade est-il en sécurité au Qatar ?

La chute de Mouammar Kadhafi est une saga où s’entrechoquent d’obscurs intérêts politiques, économiques et diplomatiques dans une « République des mallettes », qui emprunte à la mafia sicilienne ses codes.

A cet égard, les sous-entendus et non-dits de Ziad Takieddine, réputé proche de la famille Kadhafi, qui avertit les Sénégalais quant à d’éventuelles attaques terroristes en cas d’élection de Karim Wade, donnent froid dans le dos.

Pour mémoire, Kadhafi, puissamment armé par la Russie et blacklisté élément de l’Axe du Mal théorisé par George Bush, était le parrain de groupes subversifs, ayant repris service entre le Mali et l’Algérie. Bandes dangereuses qui peuvent être tentées aujourd’hui de renvoyer l’ascenseur.

8 mars - journée internationale de la femme - femmes malades mentales - entre viols, agressions sexuelles, grossesses, mauvais traitements… le calvaire des oubliées de la république

Les femmes déficientes mentales font souvent l’objet d’abus sexuels de la part de certains hommes véreux. Au Sénégal, les malades mentales errantes sont victimes de viols ou de toutes sortes de violences. Certaines d’entre elles sont même engrossées. En ce 8 mars, célébrant la journée internationale de la femme, Sud Quotidien s’est intéressée aux calvaires de  cette couche vulnérable et oubliée parce que n’étant protégée par «aucun texte», donc «sans droit». Elles errent dans les rues jour et nuit sans aucune protection. La triste réalité, c’est que la société passe sous silence ce phénomène au moment où des gens sans vergogne profitent de l’état de déficience mentale de ces femmes, sans défense, pour satisfaire leur sale besogne.