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L’université Assane Seck de Ziguinchor fait encore parler d’elle. Non pas pour des résultats satisfaisants mais pour un nouveau scandale après l’affaire des conteneurs.
L’évaporation de plus de 500 millions de francs CFA est au menu des programmes de ce début d’année. Et le Syndicat autonome des travailleurs de l’enseignement supérieur (SAES) qui soupçonne une main baladeuse qui serait derrière cette évaporation fait appel aux corps de contrôle de l’Etat.
«Nous demandons aux corps de contrôle de l’Etat, notamment l’IGE et l’OFNAC, d’ouvrir une enquête sur cette affaire afin de faire toute la lumière sur cet argent qui aurait été soustrait des caisses de l’Université », a lancé Malick FALL, repris par l’APS. Face à la presse, le secrétaire général du SAES a fait cette demande pour, indique-t-il, alerter afin «que les maigres ressources allouées à nos université soient gérées de façon rigoureuse ».
« C’est une question de bonne gouvernance puisque nous ne pouvons accepter que les ressources soient dilapidées », ajoute le syndicaliste.
WALFNet
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L’université Assane Seck de Ziguinchor fait encore parler d’elle. Non pas pour des résultats satisfaisants mais pour un nouveau scandale après l’affaire des conteneurs.
L’évaporation de plus de 500 millions de francs CFA est au menu des programmes de ce début d’année. Et le Syndicat autonome des travailleurs de l’enseignement supérieur (SAES) qui soupçonne une main baladeuse qui serait derrière cette évaporation fait appel aux corps de contrôle de l’Etat.
«Nous demandons aux corps de contrôle de l’Etat, notamment l’IGE et l’OFNAC, d’ouvrir une enquête sur cette affaire afin de faire toute la lumière sur cet argent qui aurait été soustrait des caisses de l’Université », a lancé Malick FALL, repris par l’APS. Face à la presse, le secrétaire général du SAES a fait cette demande pour, indique-t-il, alerter afin «que les maigres ressources allouées à nos université soient gérées de façon rigoureuse ».
« C’est une question de bonne gouvernance puisque nous ne pouvons accepter que les ressources soient dilapidées », ajoute le syndicaliste.
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