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Jeu, Nov
La Une de la Presse

La Une de la Presse (1514)

Pourquoi le transport aérien ne décolle pas au Sénégal 
Depuis les années 2000, le Sénégal connaît un taux de croissance soutenu de son Pib qui d’après les experts se situe entre 3 et 5%, loin tout de même derrière celui des pays dits émergents qui ont affiché des taux à 2 chiffres pendant plus d’une décennie avant de retomber à 5% en 2013. La vision des autorités sénégalaises à l’horizon 2015 / 2020 est de faire du Sénégal un pays émergent en le sortant du peloton de queue des 40 pays africains les moins avancés à l’échelle continentale et des 55 pays à l’échelle planétaire.

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·         Côte d’Ivoire : Et si Gbagbo était libéré ?

Si l’on en croit un de ses proches : « Il est en train de faire ses valises ! ». Laurent Gbagbo, accusé de crimes contre l’humanité lors des violences postélectorales, est depuis novembre 2011, retenu par la CPI, à la prison de Scheveningen, aux Pays-Bas. Il y a quelques mois encore, une libération de Gbagbo paraissait impensable. Pourtant, ses partisans espèrent que l’ancien président sera bientôt autorisé à quitter La Haye.  Mais ne vont-ils pas trop vite en besogne ? Découvrez l’enquête menée par Jeune Afrique entre Abidjan, Paris et la Haye.

Exclusif les généraux français au rapport

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Dans sa décision du 24 octobre 2013, la Cour suprême a ordonné l’annulation du marché accordé à Lucky Exports pour l’électrification rurale de 72 villages à hauteur de 14 milliards par l’Inde.

Le contentieux Lucky Exports et Angélique International (Ail) a connu son  épilogue ce 24 octobre à la Cour suprême. Les avocats de la société indienne (Ail) ont remporté une grande bataille judiciaire devant l’instance suprême de la justice sénégalaise en obtenant l’annulation de la décision  de l’Autorité de régulation des marchés publics (Armp). Le 27 mars 2013, l’Armp avait attribué un marché de 14 milliards de Francs Cfa à la société Lucky Exports pour l’électrification rurale de 72 villages sénégalais, financée par l’Inde, au détriment des sociétés indiennes, Angélique international, Kec et Oversas infrastructure.

 

Pour des raisons non encore  connu, le marché Sandaga a pris feu dans la nuit d’hier, vendredi. L’incendie qui s’est déclaré aux environs de 21 heures a donné du fil à retordre à des sapeurs pompiers matériellement démunis.  Il a fallu plus de trois heures d’horloge encore, pour circonscrire une bonne partie du feu.

 

Des poteaux électriques en feu, des cantines en flammes, de la fumée noire emplissant le ciel de Sandaga dont une partie du bâtiment a été consumée. C’est le spectacle apocalyptique que le marché mythique de Sandaga a offert dans la nuit du vendredi 25 au samedi 26 octobre dernier. Soit presque une semaine après sa fermeture provisoire décidée par les autorités pour raisons de sécurité.

Initialement annoncée pour ce vendredi, la pose de la nouvelle pièce de la conduite d’eau qui dessert Dakar depuis l’usine de Keur Momar Sarr, aura finalement lieu mardi prochain. Les responsables de la Sde qui donne l’information évoquent le sommet de la Cedeao qui s’ouvre ce jour, vendredi, à Dakar. Ce report diffère par la même occasion la pénurie d’eau de quatre jours que devait occasionner le remplacement de l’installation provisoire effectuée le mois dernier sur la conduite de Keur Momar Sarr (Louga).

Il est très remonté contre les autorités administratives de Dakar qui ont décidé de recaser les commerçants de Sandaga devant le Palais de justice de Dakar. A travers les vitres de son bureau niché au troisième étage du Palais de justice Lat Dior, Demba Kandji observe l’installation des tentes qui serviront de cantines. Impuissant ! Mais, le premier président de la Cour d’appel de Dakar  a décidé de sortir de sa réserve pour dénoncer cette décision et le fait accompli devant lequel les autorités judiciaires ont été mises.

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La police sénégalaise a encore fait parler d'elle, non en bien mais plutôt en mal. Ces hommes de tenue qui sont censés protéger les populations sont très souvent cités dans des cas de bavures entrainant mort d'homme, comme c'est  le cas récemment  avec le décès du jeune Ibrahima Samb, apprenti chauffeur de son vivant, à Mbacké. Des actes « odieux » décriés par les «droits de l'hommistes» qui exigent toute la lumière sur cette affaire.

C’est un Moustapha Diakhaté très détendu que nous avons trouvé hier à l’Assemblée nationale. Le président du groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar veut dépasser la crise qui vient de secouer son groupe notamment avec la rébellion de Cheikh Diop Dione et Mame Khary Mbacké. «L’homme du Président» évoque ses relations avec ses alliés, l’Acte 3 de la décentralisation et la vie parlementaire. S’il estime que ses alliés ne mouillent pas assez le maillot d’une part, le député Diakhaté pense que Macky Sall devrait prendre une année pour terminer les réformes avant d’organiser des élections.

Les partis de la majorité parlementaire ont été invités aux concertations sur l’Acte 3 de la décentralisation initiées par le chef de l’Etat et qui doivent aboutir au report des élections locales. Comment appréciez-vous cela ?

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En concentrant plus de 90% de ses crédits sur moins de 10% des clients les mieux servis, les banques de la place sénégalaise en particulier et celles de l’Union monétaire Ouest africaine(Uemoa) en général font courir un gros risque à la stabilité du système bancaire.

Avec 21 établissements bancaires depuis 2011, le Sénégal est le deuxième pays après la Côte d’ivoire à abriter le plus grand nombre de banques en activité dans l’espace Uemoa qui compte au total quelque 108 établissements bancaires. Si le nombre de banques affiche une stabilité par rapport à la situation de 2011, l'activité bancaire en revanche s'est plutôt renforcée au niveau de l’Union, avec l'implantation de 275 nouveaux guichets (agences, bureaux, etc), soit une progression de 15,9%, de même que le nombre de comptes bancaires qui a progressé de 4,2% pour s'établir à 8 242 594 comptes au 31décembre 2012.

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Le président de la République, Macky Sall démarre aujourd’hui, mardi les concertations avec les acteurs politiques et de la société civile sur les contours de l’Acte III de la décentralisation. Le communiqué du ministère de l’intérieur qui donne l’information précise que les rencontres entre le Chef de l’Etat et ces acteurs à la salle de Banquets du Palais de la République débutent ce mardi 22, à 10 Heures. Et les partis de la majorité présidentielle seront les premiers à passer à la table des concertations. Macky Sall a reçu hier, selon un communiqué de la présidence, des mains du président du Comité de pilotage, le professeur Ismaïla Madior Fall, le rapport sur la concertation en vue de la mise en œuvre de l'Acte 3 de la décentralisation.