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La Une de la Presse

La Une de la Presse (1514)

Sénégal   A moins de 20 mois de la présidentielle de 2017, le paysage politique sénégalais bruit de toutes ses forces avec des prétendants au fauteuil présidentiel déterminés à bouter hors du palais l’actuel locataire, en l’occurrence Macky Sall. Et même si tous les masques ne sont pas apparemment tombés, certaines candidatures peinent de plus en plus à cheminer dans l’ombre. En face de Macky Sall qui cherche à briguer un second mandat à la tête de l’Etat sénégalais, un trio de quinquas semble émerger progressivement, sous la houlette d’Idrissa Seck de Rewmi qui s’évertue, avec ses tournées nationales et sa rhétorique anti-Macky, à ré-oxygéner une opposition en mal de repères, dans sa conquête du pouvoir. 

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Sénégal

Plus de 250 partis légalement constitués pour moins de 13 millions de citoyens et seulement 05 millions d’électeurs : la prolifération des formations politiques a fini de relever le paradoxe du modèle démocratique sénégalais, même si cette profusion est loin d’être atypique dans le continent africain. Pis, ces partis presque tous dits «télécentres» continuent de pousser comme des champignons sur la base de motivations souvent nébuleuses, en gangrénant la vie politique et en transformant le paysage en une sorte de jungle politique où les pratiques occultes de financement se discutent la palme aux manœuvres sournoises de fusion, de ralliement, voire de dissolution avec les grands leaders politiques. 
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Sénégal   L’ambassadeur itinérant auprès du président de la République, Almamy Bocoum, est formel : la survie de  Bennoo Bokk Yaakaar dépendra des partis membres. Tant que les partis alliés de l’APR n’auront pas en effet déclaré leur candidature à la magistrature suprême contre Macky Sall en 2017, cette alliance a de beaux jours devant elle. Par ailleurs, le militant de l’APR s’est dit nullement ébranler par la tournée d’Idrissa Seck de Rewmi dans la région de Matam. Pour lui, l’ancien Premier ministre faisait plutôt du «tourisme». Dans l’interview qu’il a accordée à Sud Quotidien, il est aussi revenu sur le volet social du PSE. Entretien.  

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Khaf Sall sur le…
Kazu Rajab oblige, tous les chemins mènent de nouveau à Touba. La capitale du mouridisme est prise d’assaut, pas seulement par les fidèles, mais aussi par les hommes politiques à l’occasion de la commémoration de la naissance de Serigne Fallou Mbacké deuxième Khalife général des mourides. Hier le maire de Ndakaaru Khalifa Sall  a  rendu visite aux membres de la famille de Serigne Fallou, à Serigne Bass Abdou Khadre porte-parole du Khalife général des mourides et à Cheikh Abdou Gaindé Fatma, son ami chez qui il a d’ailleurs passé la journée. Khaf Sall a profité de l’occasion pour se prononcer sur quelques sujets d’actualité notamment le procès Habré. Il a salué la tenue à Ndakaaru pour la première fois en  Afrique, dit-il, d’un procès d’un ex-chef d’Etat africain.

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DINER DIAGNA NDIAYE, BOURGI ET MANKEUR : Karim Wade n’était pas à  l’ordre du jour
L’ avocat Robert Bourgi,  personnage influent de la Françafrique, a dîné dans un restaurant huppé des Almadies en compagnie de l’homme d’affaires Diagna Ndiaye, conseiller spécial du président de la République et Mankeur Ndiaye, ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur.

Siteu / Zarco le 13 juin
Après que la date du 17 mai a été changée pour cause de Kazou Rajab, Luc Nicolaï aurai t fixé le samedi 13 ju in pour le combat Siteu / Zarco. Le promoteur des Grands Evènements tient alors son évènement majeur.

Les contradictions de Tapha Guèye
Dans un entretien qu’il a accordé à nos confrères de Le Témoin, mardi dernier, Moustapha Guèye dit qu’il est d’avis que Gris Bordeaux attende le vainqueur de Mod’Lô / Bombardier, prévu le 25 juillet, en même temps qu’il souhaite un autre combat à son poulain avant la fin de la saison, pour se faire de l’argent. Est-ce possible, directeur technique ?

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Sénégal   De Léopold Sédar Senghor à Macky Sall, en passant par Abdou Diouf et Abdoulaye Wade, à des degrés divers, les proches du président de la République sont restés très présents dans la gestion de l’Etat. Le premier président du Sénégal avait son neveu Adrien Senghor à ses cotés en tant que ministre chargé de l’Equipement, alors que son successeur, lui, nommait son frère Maguette Diouf ministre de la République. Allant plus loin, Me Wade a excellé dans le népotisme ou «clanisme», pour parler comme certains, en impliquant toute sa famille dans la gestion de l’Etat. Le débat actuel porte sur la «dynastie» dite Faye-Sall au sommet de l’Etat, même si par ailleurs Alioune Sall, petit-frère de Macky Sall, maire de Guédiéwaye et patron de l’Association des maires du Sénégal, vient de rejeter le poste de président de l’Union des associations des élus locaux (Uael).  

Gambian news   L’infidélité des hommes est devenue un fait presque banal dans la société sénégalaise. Ces derniers trompent leurs femmes, chaque jour que Dieu fait. De nombreux témoignages corroborent cela. Dans ce dossier, Sud quotidien est allé à la rencontre de la société pour mieux cerner le phénomène de l’infidélité masculine. Lequel  conduit à des désastres tels que le divorce, disputes, instabilité du couple, entre autres. Sur les traces des «chasseurs » en quête d’affection perdue…  

Gambia   «Un vrai problème». C’est ainsi que le Président de la République, a qualifié la problématique la dépénalisation des délits de presse, car, estime-t-il, on ne peut pas punir une certaine catégorie de personnes et privilégier les journalistes. Macky Sall a tenu ce discours lors de la remise du rapport annuel du Conseil national de régulation de l’audiovisuel, hier, mardi 12 mai.    

Le président de la République, Macky Sall, a estimé hier, mardi 12 mai, que la dépénalisation des délits de presse constitue un vrai problème. «Je suis d’accord avec vous que l’adoption du Code de la presse permettait non seulement de réguler le secteur mais également de donner un meilleur traitement à la presse. Mais, la dépénalisation constitue un vrai problème. On ne peut pas punir une certaine catégorie de personnes et privilégier d’autres (allusion faite aux journalistes, Ndlr)», déclare le président Macky Sall qui recevait le rapport annuel 2014 du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) au palais de la République. 
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Sénégal   Dès son accession à la magistrature suprême en 2012, le chef de l’Etat, Macky Sall, dans le cadre de sa vision stratégique et ses orientations, avait procédé à la suppression de moult agences, dont l’Agence nationale de promotion du Tourisme (Anpt), ainsi qu’à l’instauration d’un visa payant pour l’entrée au Sénégal. Près de trois ans après, le Président a revu sa copie sur un certain nombre de dossiers dont sa  volonté affichée d’évaluer le coût du ticket de l’autoroute à péage.   «Le gouvernement s’est inscrit dans une logique de toujours rectifier quand les politiques qu’il initie ne trouvent pas un écho favorable chez les populations». Cette volonté de revoir sa copie chaque fois que c’est nécessaire, s’est traduite dans le dossier de l’autoroute à péage, avec cet appel du pied au directeur de Eiffage Sénégal, Gérard Sénac, Pour le président de la République, «il faudrait, à un moment donné qu’on évalue vraiment le coût…». Cette invite intervient au moment où les populations, dans des cadres informels, et même certains députés, vocifèrent sur la cherté de l’autoroute à péage.