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dimanche, 27 janvier 2019 15:01

Sonko – « Je ne répondrai qu’au Procureur »

GFM – (Dakar) Au moment où le président du groupe Parlementaire président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar (BBY), Aymérou Gningue, annonce la mise en place d’une commission d’enquête parlementaire pour tirer au clair l’affaire des 94 milliards opposant Ousmane Sonko et le directeur des Domaines Mamour Diallo, le président du parti Pastef, lui a répondu, samedi lors d’un meeting qu’il a organisé à Ziguinchor. « C’est de l’enfantillage, je ne répondrai qu’au Procureur s’il décide d’ouvrir la plainte que j’avais avait déposé » a dit Ousmane Sonko.

Publié dans POLITIQUE

Sénégal Ouvert depuis le 14 décembre 2017, pour un démarrage effectif des audiences le 23 janvier dernier, le procès contre le maire de la ville de Dakar, Khalifa Sall et ses co-prévenus, dans l’affaire de la caisse d’avance, a pris sa dernière ligne droite. En attendant le verdict du tribunal correctionnel de Dakar, dirigé par le juge Malick Lamotte et ses assesseurs, prévu le 30 mars prochain, Sud quotidien revient sur un procès aux mille facettes, qui a tant soit peu tenu en haleine le pays, depuis près de 2 mois. DE L’INTERNATIONALISATION DU PROCES DE Khalifa Sall

Publié dans La Une de la Presse

Sénégal

 S’il y a une personne qui a été beaucoup citée hier, c’est bien le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye. En terminant son réquisitoire, il a fait allusion à un livre sur les techniques de la plaidoirie et selon lequel l’avocat ne cherche qu’à flatter le tribunal dans son argumentaire. Une comparaison qui n’a pas plu aux avocats qui, à chaque prise de parole, se sont attaqués à cette appréciation du maitre des poursuites. Ala fin presque de son réquisitoire, le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye, en référence à un livre sur les techniques de la plaidoirie, a trouvé que ceux qui sont émus à la suite de l’argumentaire d’un avocat doivent comprendre que l’avocat n’est que dans son rôle qui est d’essayer de flatter le tribunal. Un argumentaire fustigé par le bâtonnier Moussa Félix Sow qui, en réponse à Serigne Bassirou Guèye, a dit qu’il n’y a aucune mise en scène dans ce qu’ils font. « Chacun ici fait son travail sérieusement », a-t-il répondu. « La flatterie, un mot dont le procureur a fait référence dans son argumentaire, qualifie les avocats comme de metteurs en scène », en a déduit Me Khassimou Touré qui trouve que les avocats ne sont pas des scénaristes. 

Publié dans JUSTICE

Sénégal

 L’avant dernier jour du procès relatif à la caisse d’avance de la mairie de Dakar a eu lieu hier, jeudi 22 février, à la salle 4 du palais de justice de Dakar. Dans cette ultime phase de la procédure, les avocats de la défense, Borso Pouye et Me Doudou Ndoye, ont apporté les «preuves» qui disculpent leurs clients. Reprenant la parole pour la réplique, l’agent judiciaire de l’Etat, Antoine Félix Diome, et les avocats de l’Etat sont revenus à la charge pour étayer toutes les accusations portées contre les prévenus. 

Publié dans La Une de la Presse

Celui qui œuvre a droit à un salaire et le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye veut mériter son salaire à la fin du mois. Le travail qu'il accomplit dans le cadre du procès de Khalifa Sall n'est, dit-il, pas un service rendu, mais une obligation, un devoir. Et "quel que soit le verdict", les cartes sont déjà servies et le maître des poursuites affirme qu'il "recevra son salaire sans un centime de moins".

Publié dans JUSTICE

Sénégal

 Les avocats de la défense ont clôturé hier, mercredi 21 février leurs plaidoiries dans le cadre de l’affaire de la gestion de la caisse d’avance de la mairie de Dakar opposant l’Etat du Sénégal au député-maire de Dakar, Khalifa Ababacar Sall et ses co-prévenus. À la barre, Me François Sarr et ses confrères ont réfuté toutes les charges retenues contre leurs clients en plaidant la relaxe. Ouvrant le bal des plaidoiries de la défense hier, mercredi 21 février, Me Ndèye Fatou Sarr a demandé au tribunal de relâcher son client, Khalifa Ababcar Sall ainsi que tous ses co-prévenus. À la barre, la robe noire a indiqué qu’aucune des infractions n’est établie et que le député-maire de Dakar est simplement victime d’une «orchestration» d’une «machination».

Publié dans La Une de la Presse

EnQuête - Une ordonnance rendue publique en exclusivité par EnQuête dans son édition du 3 juin dernier, rendait compte de la mise sous administration provisoire de Dubaï Port World.SA par la Commission d’instruction de la cour spéciale de l’enrichissement illicite (Crei).

Le cabinet d’expertise Comptable RMA, membre du réseau ’’Cabinets partenaires’’ qui occupe depuis quelques jours les devants de l’actualité avait été choisi pour assurer la délégation. Depuis vendredi dernier, l’affaire DP World refait surface. Selon des sources dignes de foi, le Procureur spécial près la CREI, Alioune Ndao, a demandé à la Commission d’instruction la levée de l’administration provisoire de DP World, au motif que l’administrateur provisoire n’a pas vu de mouvements financiers suspects vers des paradis fiscaux.

Publié dans JUSTICE