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Jeu, Nov

Afficher les éléments par tag : procès politique

Sénégal La récente sortie de feu Mamadou Diop, ancien maire de Dakar, pour disculper l’actuel maire, Khalifa Ababacar Sall, dans l’affaire dite de la caisse d’avance, les louanges de ses pairs de l’AIMF comme les nombreuses manifestations ou interventions de certaines autorités coutumières et/ou religieuses de ce pays, ne changeront rien au verdict. La décision du juge Malick Lamotte est tombée hier, vendredi 30 mars, au tribunal de Dakar et elle est sans appel. Elle condamne  Khalifa Ababacar Sall  à une peine de 5 ans d’emprisonnement ferme. Désormais coupable, selon le juge Lamotte, de « faux et usage de faux en écriture de commerce, de faux et usage de faux dans les documents administratifs et d’escroquerie portant sur les deniers publics », l’édile de Dakar, Khalifa Sall, n’a eu de cesse de clamer son innocence.

Publié dans La Une de la Presse

L'homme politique, fervent soutient du maire dakarois Khalifa Sall, condamné vendredi à cinq ans de prison, a été arrêté dans la soirée du 30 mars, après avoir critiqué les magistrats lors d'une conférence de presse.

Le député sénégalais Barthélémy Dias, un proche du maire de Dakar, Khalifa Sall, condamné vendredi à cinq ans de prison pour « escroquerie sur les deniers publics », a été arrêté par la gendarmerie, a-t-on appris samedi auprès de son avocat.

Barthélémy Dias a été arrêté vendredi soir par la section recherches de la gendarmerie et était toujours retenu samedi dans cette unité à Dakar, selon son avocat Me El Hadji Diouf. « Je ne sais pas ce qu’on lui reproche. Ils (les gendarmes) m’ont bloqué l’accès hier » à la gendarmerie, a-t-il indiqué.

Barthélémy Dias a été arrêté pour avoir tenu dans la presse des propos désobligeants envers les magistrats vendredi, après la condamnation du maire de Dakar, selon la presse locale samedi. Le député s’en était violemment pris aux juges après l’annonce de cette condamnation.

Publié dans JUSTICE

Sénégal Ouvert depuis le 14 décembre 2017, pour un démarrage effectif des audiences le 23 janvier dernier, le procès contre le maire de la ville de Dakar, Khalifa Sall et ses co-prévenus, dans l’affaire de la caisse d’avance, a pris sa dernière ligne droite. En attendant le verdict du tribunal correctionnel de Dakar, dirigé par le juge Malick Lamotte et ses assesseurs, prévu le 30 mars prochain, Sud quotidien revient sur un procès aux mille facettes, qui a tant soit peu tenu en haleine le pays, depuis près de 2 mois. DE L’INTERNATIONALISATION DU PROCES DE Khalifa Sall

Publié dans La Une de la Presse

Sénégal

 S’il y a une personne qui a été beaucoup citée hier, c’est bien le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye. En terminant son réquisitoire, il a fait allusion à un livre sur les techniques de la plaidoirie et selon lequel l’avocat ne cherche qu’à flatter le tribunal dans son argumentaire. Une comparaison qui n’a pas plu aux avocats qui, à chaque prise de parole, se sont attaqués à cette appréciation du maitre des poursuites. Ala fin presque de son réquisitoire, le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye, en référence à un livre sur les techniques de la plaidoirie, a trouvé que ceux qui sont émus à la suite de l’argumentaire d’un avocat doivent comprendre que l’avocat n’est que dans son rôle qui est d’essayer de flatter le tribunal. Un argumentaire fustigé par le bâtonnier Moussa Félix Sow qui, en réponse à Serigne Bassirou Guèye, a dit qu’il n’y a aucune mise en scène dans ce qu’ils font. « Chacun ici fait son travail sérieusement », a-t-il répondu. « La flatterie, un mot dont le procureur a fait référence dans son argumentaire, qualifie les avocats comme de metteurs en scène », en a déduit Me Khassimou Touré qui trouve que les avocats ne sont pas des scénaristes. 

Publié dans JUSTICE

Sénégal

 L’avant dernier jour du procès relatif à la caisse d’avance de la mairie de Dakar a eu lieu hier, jeudi 22 février, à la salle 4 du palais de justice de Dakar. Dans cette ultime phase de la procédure, les avocats de la défense, Borso Pouye et Me Doudou Ndoye, ont apporté les «preuves» qui disculpent leurs clients. Reprenant la parole pour la réplique, l’agent judiciaire de l’Etat, Antoine Félix Diome, et les avocats de l’Etat sont revenus à la charge pour étayer toutes les accusations portées contre les prévenus. 

Publié dans La Une de la Presse

Celui qui œuvre a droit à un salaire et le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye veut mériter son salaire à la fin du mois. Le travail qu'il accomplit dans le cadre du procès de Khalifa Sall n'est, dit-il, pas un service rendu, mais une obligation, un devoir. Et "quel que soit le verdict", les cartes sont déjà servies et le maître des poursuites affirme qu'il "recevra son salaire sans un centime de moins".

Publié dans JUSTICE

Sénégal

 Les avocats de la défense ont clôturé hier, mercredi 21 février leurs plaidoiries dans le cadre de l’affaire de la gestion de la caisse d’avance de la mairie de Dakar opposant l’Etat du Sénégal au député-maire de Dakar, Khalifa Ababacar Sall et ses co-prévenus. À la barre, Me François Sarr et ses confrères ont réfuté toutes les charges retenues contre leurs clients en plaidant la relaxe. Ouvrant le bal des plaidoiries de la défense hier, mercredi 21 février, Me Ndèye Fatou Sarr a demandé au tribunal de relâcher son client, Khalifa Ababcar Sall ainsi que tous ses co-prévenus. À la barre, la robe noire a indiqué qu’aucune des infractions n’est établie et que le député-maire de Dakar est simplement victime d’une «orchestration» d’une «machination».

Publié dans La Une de la Presse

Les avocats de la défense ont encore plaidé ce mercredi après-midi au tribunal correctionnel, devant lequel Khalifa Sall et ses co-prévenus comparaissent depuis 19 jours. La prestation de Me Khassimou Touré a éclipsé toutes les autres. En moins d’une heure et demie, le conseil a passé le dossier au peigne fin, réuni les éléments et balayé les précédentes objections de la partie civile.
Me Khassimou Touré a plaidé pour son petit frère Mbaye Touré, directeur administratif et financier (DAF) de la Mairie de Dakar.

Publié dans JUSTICE

 Dans la matinée du 17ième jour d’audience dans l’affaire de la caisse d’avance de la ville de Dakar, les avocats de la défense se sont tant soit peu entredéchirés. En effet, les conseils des co-prévenus, Mamadou Oumar Bocoum et Ibrahima Touré, tous receveurs-percepteurs à la municipalité de Dakar, se sont investis à démonter les griefs portés contre leurs clients par le gestionnaire de la caisse d’avance, Mbaye Touré. De leurs côtés, les avocats de la défense du député-maire, Khalifa Sall, de Mbaye Touré, etc, se sont évertués à leur tour à démontrer que les percepteurs-receveurs ont tous agi en connaissance de l’existence des fonds politiques et qu’il n’était pas question qu’ils bénéficient de la relaxe au détriment de leurs clients, comme le souhaite le procureur de la République, lors de son réquisitoire.

Publié dans La Une de la Presse

Le procès de Khalifa Sall et des sept co-accusés au Palais de justice, à Dakar, entre dans sa cinquième semaine ce lundi 19 février. L’heure est aux plaidoiries de la défense. Vendredi, le procureur a requis sept années de prison et 5,5 milliards de francs CFA d’amende à l’encontre du député, maire de la capitale, soupçonné notamment de détournement de deniers publics. Les nombreux avocats de Khalifa Sall auront jusqu’à mercredi pour tenter de convaincre le tribunal que leur client n’a rien détourné. A la barre lundi après-midi, ils se sont montrés très offensifs.

Affûtée, la défense a décortiqué crescendo tous les chefs d’inculpation. « Comment pouvez-vous parler de détournement de fonds à hauteur de 1,8 milliard ? Mon client travaille avec le maire Khalifa Sall. Il est locataire, paie 75 000 francs CFA de loyer, n’a pas de voiture et on me dit qu’il s’est enrichi », engage l’un des avocats.

Publié dans JUSTICE