«Taw fekh»…
Fatalité. A croire que les eaux ont décidé de pourrir la vie des sinistrés des inondations. Fatalité parce que ce qui était arrivé aux sinistrés recasés par «Wax waxeet Wade» au niveau des cités «Jaxaay» est en train d’arriver à ceux que SMS a relogés à la cité «Taw fekh» de Tivaouane Peulh. C'est-à-dire le drame d’être tirés des inondations pour retomber dans des inondations. A chaque fois que le ciel ouvre ses vannes, les cités «Jaxaay» de 3W n’ont rien à envier à Gounass ou Mousdalifa au grand malheur des sinistrés recasés ou de quelques veinards qui avaient profité de ce malheur pour s’y taper des maisons luxueuses. Vous savez quoi, les sinistrés relogés par SMS vivent la même situation.
Afficher les éléments par tag : inondation
Bénin : plus de 164 millions d’euros de la Banque africaine de développement pour lutter contre les inondations urbaines dues aux changements climatiques
Destiné à mettre en œuvre le Programme d’assainissement pluvial des villes secondaires (PAPVS), ce financement a obtenu le feu vert du Conseil d’administration de la Banque, mercredi 5 juillet 2023 à Abidjan
La Banque africaine de développement (www.AfDB.org) accorde 164,25 d’euros de prêts au Bénin, pour assainir le cadre de vie des populations et renforcer leur résilience face aux inondations qu’entraînent les changements climatiques.
Destiné à mettre en œuvre le Programme d’assainissement pluvial des villes secondaires (PAPVS), ce financement a obtenu le feu vert du Conseil d’administration de la Banque, mercredi 5 juillet 2023 à Abidjan. Il se décline en deux prêts, l’un de 118,75 millions d’euros de la Banque africaine de développement (www.AfDB.org) et l’autre de 45,50 millions d’euros de l’Africa growing together fund (https://apo-opa.info/3xiGeG0), un fonds spécial cofinancé avec la Chine. À charge pour le gouvernement béninois d’apporter un financement de 13,79 millions d’euros comme contrepartie.
La Une du Populaire – Ça galère dans la capitale sénégalaise - Dakar sans eau... Tawfekh sous les eaux
Findi : La banlieue craint que les militaires engrossent les jeunes filles
SETAL.NET-Dans le cadre du lancement de la grande offensive de lutte contre les inondations, le Premier ministre avait annoncé la présence de militaire dans les sites inondés.
Non encore présents dans les quartiers inondés, les militaires devant intervenir dans le cadre de la lutte contre les inondations (opération Findi) frisent la peur chez les populations. En effet, gardant encore les mauvais souvenirs d’un tel cas en 2005, l’Observateur est en mesure d’informer que les populations de la banlieue sont plongées dans une peur. Et pour cause, dit-on elles redoutent que les militaires engrossent leurs enfants, les jeunes filles en particulier comme se fut le cas en 2005 du fait de la proximité avec elles
Pape Diattao Badji
LUTTE CONTRE LES INONDATIONS Macky Sall lance l’opération « Fendi »
En réunion du conseil des ministres tenue exceptionnellement hier, mercredi 18 septembre, le Président Macky Sall a annoncé le lancement de l’opération «fendi » pour « faire évacuer les eaux stagnantes, sources de maladies diverses, dans toutes les zones concernées de la banlieue »
Le Chef de l’Etat, Macky Sall, a indiqué, hier, en réunion de Conseil des ministres, «avoir ordonné une opération d’envergure dénommée «fendi» tendant à faire évacuer les eaux stagnantes, sources de maladies diverses, dans toutes les zones concernées de la banlieue», souligne le communiqué du conseil des ministres en date du 18 septembre. En effet, l’opération «fendi»
Inondations dans la banlieue de DAKAR : Une opération « fendi » pour évacuer les eaux stagnantes
Le Conseil des ministres s’est réuni le mercredi 18 septembre 2013, au palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Macky SALL.
A l’entame de sa communication au Conseil, le président de la République a adressé, au nom du peuple sénégalais, ses sincères remerciements à sa Majesté Mohamed VI, Roi du Maroc, pour sa décision de régulariser tous les immigrants en situation irrégulière au Maroc. Le Chef de l’Etat a magnifié un tel geste empreint de générosité et d’humanisme.
Le message de Mbaye Ndiaye aux populations inondées de Yeumbeul et Thiaroye Kao : « Il est impossible de sortir l’eau d’ici…Partez… Méfiez-vous des radios, des télévisions de la presse en général, cela ne sert à rien »
Les populations qui n’ont pas été ratées par les fortes pluies enregistrées depuis début du mois d’août ne sont pas au bout de leurs peines. Déjà zappées par le président de la République Macky Sall lors de sa visite de vendredi dernier, « il est impossible de sortir l’eau d’ici. C’est dans une cuvette que vous êtes venus habiter. Prenez vos bagages et partez vous réfugier quelque part en attendant la fin des inondations »,
Korité 2013, la thèse de Imam Samb Sur les Pluies et inondations au Sénégal
NETTALI.NET - Toujours sur le chapitre prêche de la prière de la fête de fin de Ramadan, l’Imam Moussa Samb a eu une pensée pour les victimes des inondations.
Et même s’il compatit pour ces victimes, El Hadj Moussa Samb n’a pas fait dans la langue de bois pour indexer la responsabilité de ces victimes dans cette situation.
Infrastructures endommagées après les pluies : La quasi-totalité des routes de Thiès et Fatick réfectionnées
Le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Thierno Alassane Sall, accompagné du directeur général de l’Ageroute, Omar Sy, a effectué, hier, une visite dans les régions de Fatick et de Thiès. Il a constaté l’état d’avancement des travaux de remise en état des axes routiers endommagés lors des fortes pluies des 29 et 30 août derniers.
Hier, sur la route nationale 1 reliant Ndiosmone - Fimela - Ndangane - Ndangane Sambou, dans la région de Fatick, un intense trafic de véhicules gros porteurs et de transport en commun rythme la circulation.
4 jours après les inondations : L’Etat fait le mort à Matam Imprimer E-mail
Après avoir bu l’eau «jusqu’au lit», les sinistrés de Matam attendent toujours un signe de l’Etat qui fait le mort. Pourtant, un drame se dessine sous leurs yeux affligés de peine. Après les dégâts matériels, il y a aussi une tragédie humaine qui se noue dans l’indifférence totale des autorités.
A Matam, on cherche toujours l’ombre du bienfaiteur pour conjuguer le drame des inondations au passé. Plus de 4 jours après la tragédie, les populations restent figées dans la détresse en implorant que le Ciel n’ouvre pas ses vannes.
Pluies diluviennes dans la capitale Dakar sous les eaux
Les fortes pluies qui se sont abattues à Dakar dans la nuit du samedi 8 au dimanche 9 août ont engendré tristesse et désolation dans de nombreux quartiers déjà inondés. Des Parcelles Assainies, à Grand-Yoff en passant Castors ainsi que dans la banlieue le décor est le même: des populations pataugent, des véhicules et autres moyens de locomotion noyés, des rues et routes, tels de longs fleuves, sont devenues impraticables, entamant largement la mobilité des personnes.