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SENETOILE NEWS

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INSTALLATION DU FONDS DE GARANTIE DES INVESTISSEMENTS PRIORITAIRES (FONGIP) ET DE L’OFFICE NATIONALE DE LUTTE CONTRE LA FRAUDE ET LA CORRUPTION (OFNAC)

L'OBS - Macky Sall est revenu de Paris les poches pleines de milliards de promesses. Et après deux ans de règne, le Président s’est décidé à activer ses projets et programmes pour un Sénégal émergent. Hier, c’est donc deux outils de sa politique économique qui ont été mis en branle. Le Fonds de garantie des investissements prioritaires (Fongip) qui a reçu un fonds pour soutenir les Petites et moyennes entreprises (Pme) qui représentent 90% du tissu économique. Et l’Office nationale de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) qui a comme principale mission de traquer les délinquants à col blanc. La carotte et le bâton !

Un membre du Bureau politique de l’Urd a lancé hier un courant de pensée dénommé «Renaissance». Son animateur, Badara Pouye, accuse Djibo Kâ de vouloir rester à la tête du parti «tant qu’il restera en vie» et le compare à Moustapha Niasse.

C’est le premier coup subi par Djibo Leyti Kâ. C’est un courant de pensée dénommé «Renaissance», animé par Badara Pouye, qui dénonce les «choix politiques incompréhensibles» du secrétaire général. Ce journaliste de formation, qui se réclame «membre fondateur» du parti, dit avoir «la certitude que Djibo veut faire comme son grand frère Moustapha Niasse qui a indisposé son parti en affirmant qu’il restera toujours à la tête de son parti, tant qu’il sera en vie». M. Pouye soutient, en effet, avoir été «véritablement ulcéré» par la sortie récente du Rénovateur en chef, affirmant «être sûr qu’en se retirant, son parti allait être déstabilisé». L’animateur de Renaissance y voit une façon, pour le patron de l’Urd, de «nier aux braves hommes toute capacité de diriger» le parti. 

Communiqué de presse

A lire dans JEUNE AFRIQUE N° 2777 en kiosque le 30 mars 2014

 

•         En couverture - Algérie : jusqu’au bout de l’histoire…

 

Selon ses partisans, le président Abdelaziz Bouteflika brigue un quatrième mandat pour parachever son œuvre. Notamment pour faire de l’Algérie un pays émergent, doté d’une nouvelle constitution. Qu'est-ce à dire ? L’Algérie, malgré ses avancées économiques et sociales, sa diplomatie rayonnante et son statut de puissance militaire régionale, est si fragile qu’elle pourrait imploser en cas d’alternance ?

A lire aussi dans dossier de 32 pages Spécial Algérie : 
- Economie vers l’ouverture, oui ou non?
- Habitat, emploi, santé, niveau de vie… Le bilan

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ENRICHISSEMENT ILLICITE - Aida Ndiongue mise en demeure vendredi

L'OBS - L’ex-sénatrice libérale, Aïda Ndiongue, sera obligée de prouver l’origine licite des 47 milliards FCfa découverts dans ses comptes. La Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) est disposée à lui servir une mise en demeure vendredi prochain.

Il faudra beaucoup de chance à Aïda Ndiongue ou un retournement de situation extraordinaire pour qu’elle échappe à une mise en demeure de la de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) après demain vendredi. 

John Dramani Mahama electLe nouveau président de la Conférence des chefs d'Etat et de gouvernement de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cedeao), le Ghanéen John Dramani Mahama, a dégagé, samedi à Yamoussoukro, quelques minutes après son élection, trois grandes priorités sur lesquelles reposeront son mandat d'un an.

« Le président Alassane Ouattara (son prédécesseur) a traité toutes les questions de la sous-région. Cela me facilitera la tâche », a déclaré John Dramani Mahama en rendant un vibrant hommage au chef de l'Etat ivoirien.

« Le premier président de mon pays Kwamé Nkrumah était un visionnaire hors pair en estimant qu'en tant qu'africain, nous avons un destin commun et donc nous devrons nous unir (...) » a-t-il rappelé.

La sentence est tombée finalement hier, vendredi 28 mars 2014, pour Aida Ndiongue, détenue en prison depuis le 17 décembre dernier, dans le cadre de la traque des biens supposés mal acquis. La Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) a donné un mois, délai requis, à l’ex-sénatrice libérale pour justifier l’origine licite de ses biens estimés à 47 milliards de F Cfa.

 

L’étau se resserre une fois de plus autour de la responsable libérale, Aida Ndiongue, poursuivie dans le cadre de la traque des biens supposés mal acquis. La Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) a rendu sa sentence en donnant un mois (c’est le délai requis) à l’ex-sénatrice pour justifier l’origine licite de ses biens évalués à 47 milliards de FCfa. A cet effet, une mise en demeure sera délivrée aux avocats de la responsable libérale. Un exercice qui ne devrait pas poser de problème dans la mesure où les avocats de la défense admettent détenir tous les documents qui prouvent la licité des biens incriminés. Ainsi, ils soumettront tout à l’appréciation du Parquet spécial.

Le procureur spécial Alioune Ndao a finalement servi à Aïda Ndiongue une mise en demeure. La Libérale a un mois pour justifier un patrimoine de plus de 41 milliards à lui reproché.

Aïda Ndiongue est passée hier à la Cour de répression de l’enrichissement illicite pour «récupérer» sa mise en demeure. Alioune Ndao doute, en effet, de la licéité de l’origine des 41 milliards 140 millions 158 mille 846 F Cfa de l’ex-sénatrice libérale. Mme Ndiongue a donc un mois, comme le dispose la loi portant création de la Crei, pour justifier ce patrimoine. 

La machine des « blanchisseurs » semble s’être emballée et partant, celle de la Centif (Cellule de traitement de l’information financière) qui, au cours de l’exercice 2013, a enregistré au total 112 déclarations de soupçons de blanchiment d’argent. Le fait le plus remarquable dans l’activité de la Centif réside dans le nombre inédit de rapports relatifs à ces dossiers, qu’elle a transmis à l’autorité judiciaire.

 

En attendant la publication des rapports annuels 2012 et 2013 de la Centif (Cellule de traitement de l’information financière), il ressort de ses rapports trimestriels une évolution sensible autant dans les déclarations de soupçons (DS) de blanchiment que dans le nombre de rapports transmis par la Centif à l’autorité judiciaire en l’occurrence le Procureur de la République.
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Contrairement aux idées reçues, la population du Sénégal ne croît pas à un rythme incontrôlable. Cela ne signifie pas pour autant que le nombre actuel ne pose pas problème pour sa gestion. Les résultats du recensement général de la population que l’Ansd publie aujourd’hui, recèlent encore d’autres surprises.

Partant des projections effectuées à partir du dernier recensement de la population, on a pris l’habitude de penser et de considérer que, avec son taux de natalité, la Sénégal devrait avoir une population légèrement supérieure à 13 millions d’habitants. 

Le Conseil des ministres s’est réuni, hier, le jeudi 27 mars 2014 au palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Macky Sall.

A l’entame de sa communication au Conseil, le président de la République a rappelé que le 25 mars 2012, le peuple sénégalais en quête d’un autre devenir le portait à la magistrature suprême. Au-delà de l’aspect historique, qui confirme la vitalité démocratique de notre pays, cette élection révélait l’espoir que le peuple sénégalais avait placé en lui et en ceux qui partageaient ses convictions  pour un autre Sénégal ; un espoir soutenu en vue de mener les ruptures exigibles et urgentes pour la modernisation et l’émergence de notre pays.