SENETOILE NEWS
An 2 de Macky Sall: Les chemins de l'espoir
Le quatrième président sénégalais est un homme modeste qui s’emploie à replacer l’action étatique au centre des préoccupations citoyennes. Gouvernement réduit, avantages limités, coupes sombres dans les budgets de fonctionnement, gouvernance vertueuse… Bref, l’Etat modeste prôné par Macky Sall est aux antipodes de la flamboyance du régime précédent.
GOUVERNANCE SOBRE, VISION politique, TRANSPARENCE...: LE STYLE MACKY SALL AU RÉVÉLATEUR DU POUVOIR
« Avec moi, tout va changer. » Alors que la deuxième alternance sénégalaise apprend, difficilement, à poser un pied après l’autre, le quatrième président de la République ne se montre pas économe en peinture pour dessiner les contours de son action dans l’un des rares entretiens qu’il a accordés depuis son accession au pouvoir. Sur les colonnes de l’hebdomadaire parisien Jeune Afrique (n° 2685 du 24 au 30 juin 2012), Macky Sall, habitué à maîtriser son verbe, donne un gros coup de vent dans la fourmilière politique de son pays : « La rupture n’est pas qu’un slogan.
Assises de l’éducation et de la formation: Le cardinal prêche pour le renforcement de l’enseignement religieux
Le chef de l’Eglise catholique sénégalaise a invité le Comité national des assises de l’éducation et de la formation à renforcer l’enseignement religieux dans le futur système éducatif. Son éminence a exprimé ce vœu au cours d’une rencontre avec ledit comité.
Le Comité national des assises de l’éducation et de la formation continue ses consultations et auditions auprès des chefs religieux. Après les Khalifes généraux des Layènes et des mourides, le comité de pilotage a rendu visite au cardinal Théodore Adrien Sarr. Ici, comme à Yoff et à Touba, le président du Comité, le Pr. Abdou Salam Sall, a exposé les objectifs des assises au cardinal Sarr. Il s’agit d’abord d’informer le prélat sur les préparatifs de la tenue des assises de l’éducation. Par la suite, M. Sall a sollicité des recommandations, des conseils et des prières pour relever le défi de cette mission.
LE VIRUS EBOLA FAIT 60 MORTS EN GUINÉE Le Sénégal en alerte
Un dispositif de surveillance est en vigueur sur l'ensemble du territoire sénégalais depuis que les autorités sanitaires de la République de Guinée ont annoncé, samedi 22 mars 2014, que le virus Ebola a fait au moins plus de 60 morts dans le sud du pays. L'apparition de cette maladie virale violente et mortelle constitue une première dans ce pays d'Afrique de l'Ouest frontalier avec le Sénégal.
AFFAIRE HABRÉ - Révélations du procureur général : Une présumée victime menacée depuis Dakar
Dans le dossier Hissein Habré, les parties civiles affichent la crainte par rapport à certains de leurs membres, victimes supposées de l’ex-chef de l’Etat tchadien. Une présumée victime a indiqué, d’après le procureur général près les Chambres africaines extraordinaires (Cae), avoir reçu des appels d’intimidation de la part d’une personne qui appelait du Sénégal. Le procureur général Mbacké Fall compte saisir la Dic pour tirer cette affaire au clair et identifier éventuellement l’auteur de ces appels.
MALADIE VIRALE MORTELLE SÉVIT EN GUINÉE-CONAKRY - Le «monstre» Ebola est aux portes du Sénégal
L'OBS - L'épidémie de fièvre Ebola, qui a fait des dizaines de morts dans le sud de la Guinée, a atteint hier dimanche la capitale, Conakry. Les autorités sanitaires sénégalaises multiplient réunions et briefing pour prendre des dispositions préventives aptes à barrer la route à cette maladie mortelle à propagation très rapide.
Un monstre tueur rôde dans nos murs, il s’écrit en 5 lettres : Ebola. C’est le pire qui peut arriver aux pays africains par les temps qui courent. Car, ce monstre froid, tueur dénommé Ebola, ne négocie pas, il tue et propage la mort à vitesse grand V. Après avoir tué 59 personnes en un laps de temps dans les provinces du Sud à Macenta, Guéckédou et Kissidougou en Guinée-Conakry, la fièvre Ebola est entrée en force dimanche dans la capitale Conakry, enveloppée d’un manteau noir, mais munie d’une vilaine fourche qui fauche la vie des plus vénérables. Le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) a dû sortir un communiqué pour confirmer les chiffres alarmants entendus ça et là. «Au moins 59 des 80 personnes qui ont contracté (la fièvre) Ebola en Guinée Conakry sont mortes.
Le vol de bétail, un fléau qui tue l’élevage à petit feu
Le vol du bétail est un phénomène récurrent observé quotidiennement dans les quatorze régions du pays. Il est une des préoccupations des citoyens. Ceux-ci ont mal au cœur de voir leurs biens subtilisés par des gens connus, souvent des voisins, des parents, sans qu’il n’y ait une juste réparation à la hauteur du préjudice subi. Le vol du bétail accentue la pauvreté dans les campagnes et installe des milliers de propriétaires dans le désarroi.
RAZZIAS
L’élevage constitue, dans notre pays, un secteur très important et nourrit une filière où s’activent des dizaines de milliers de Sénégalais. Il connaît un développement qualitatif continu avec les techniques modernes comme l’insémination artificielle, la vaccination et la stabulation… de plus en plus adoptées par les éleveurs.
IL IMITAIT LA VOIX DE LA REINE DU DJOLOF BAND - Viviane fait coffrer son «double»
L'OBS - Viviane Chidid peut enfin dormir tranquille. Les gendarmes de Mbour ont mis la main sur la fameuse «voix au bout du fil», qui se faisait passer pour elle.
Elle avait pourtant attiré l’attention des Sénégalais via les médias. Mais son intervention a eu comme effet de faire tomber la foudre sur sa tête. D’aucuns l’accusaient de vouloir faire le buzz, de cristalliser tous les regards sur elle. «La carrière de Viviane est au plus bas, elle est dans la dèche, son producteur l’a lâchée», ses détracteurs n’ont pas été tendres avec elle. Certains sont allés jusqu’à faire une sournoise allusion, en affirmant que la chanteuse chercherait à détruire la côte de popularité de sa collègue Titi qui caracole au sommet des sondages.
A lire dans JEUNE AFRIQUE N° 2776 en kiosque le 23 mars 2014- Algérie : Ali Benflis « Moi président… »
Communiqué de presse
A lire dans JEUNE AFRIQUE N° 2776 en kiosque le 23 mars 2014
· Algérie : Ali Benflis « Moi président… »
Candidat à la présidentielle du 17 avril prochain, Ali Benflis préfère parler de ses ambitions et de sa vision de l’Algérie. Pour autant, il n’élude pas les questions sur ses relations passées avec le président Bouteflika, dont il était proche, sur leurs divergences, sur son limogeage en 2003, ou encore sur le silence qu’il s’est imposé dix ans durant. Si Benflis dit qu’il n’est pas dupe face aux risques de fraude, il n’en estime pas moins réelles ses chances de battre le président sortant, pour peu que les électeurs se mobilisent. Interview exclusive.
· Djibouti : Ismaïl Omar Guelleh « Encore deux ans et je m’en irai, mission accomplie »
DES LOCALES ET DESACCORD DANS LE MODE DE SCRUTIN - Macky Sall désavoue Benoît Sambou et Cie en faveur de l’opposition
L'OBS - Dans les travaux de la revue du Code électoral, l’opposition et la majorité ne s’étant pas entendues sur le mode du scrutin ont sollicité l’arbitrage de Macky Sall. Ce dernier a donné raison à l’opposition qui a proposé que les conseillers soient élus sur la base de deux listes : une liste proportionnelle avec 55% et la liste majoritaire avec 45% dans les cinq villes majeures que sont Dakar, Guédiawaye, Thiès, Pikine et Rufisque.
IMF defends Gambia’s new tax reform policy
The International Monetary Fund (IMF) through its resident representative has spoken positively about the Value Added Tax (VAT) introduced by the government in January 2013, saying the new tax reform has “the potential to create greater revenue for the country”.
Speaking Wednesday during a session with students of the University of The Gambia (UTG) at the UN House in Cape Point, Bakau, Gaston K. Mpatswe, who described The Gambia as a “hub for international trade within and beyond the sub-region”, dismissed claims suggesting that the introduction of VAT was behind the inflation experienced in the country last year.
The IMF diplomat maintained that the country in recent times has experienced progress and that it has potential for rapid economic growth. While admitting that the country had in 2013 experienced some difficulties with exchange rate, fiscal pressure and inflation up to 6%, he noted that the dalasi has been stable from the beginning of 2014.