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SENETOILE NEWS

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MACKY SALL CE LUNDI A ZIGUINCHOR - Le Mfdc FDC invite le Président à poser des actes concrets pour la paix

L'OBS - Le Mouvement des forces démocratiques de la Casamance a invité hier le président de la République à poser des actes concrets pour un retour définitif de la paix en Casamance. «Mieux, nous lui (Macky Sall) demandons de rencontrer, lors de son séjour à Ziguinchor, les véritables acteurs du processus de paix. Des acteurs du processus qui ont pour nom : le groupe de contact de notre mouvement, la plateforme des femmes pour la paix en Casamance, la société civile, l’église catholique et les imams et oulémas de la région», a dit  Youssouf Coly, membre de l’aile politique et du groupe de contact du mouvement séparatiste.

Le Sénégal vient de voter une nouvelle loi contre le tabagisme. C’est à l’unanimité que le projet de loi n°09/2013 relatif  à la fabrication, au conditionnement, à l’étiquetage, à la vente et à l’usage du tabac a été adopté.  Une nouvelle loi qui avait pourtant suscité beaucoup de controverses. Et même si  pour certains c’est un grand pas que le Sénégal a franchi pour juguler ce fléau,  pour d’autres appartenant à la société civile et même pour quelques parlementaires, c’est la déception suite à l’amendement du président du groupe parlementaire de Benno Bokk Yakar qui prône pour la mise en place de fumoirs dans certains lieux publics.

Le chef de l’Etat a annoncé le démarrage, cette année, de projets innovants à fort potentiel de main-d’œuvre tels le Prodac et le Papejf qui vont booster la création d’emplois.   Il a demandé aux jeunes de prendre les devants.

Le gouvernement compte mettre l’accent sur les secteurs à fort potentiel de création d’emplois, a indiqué, hier, Macky Sall à la clôture du Forum national sur l’emploi des jeunes. Les secteurs ciblés sont, entre autres, l’agriculture, l’artisanat, les technologies de l’information et de la communication. Le président de la République a annoncé le démarrage, cette année, du Projet d’appui à la promotion des jeunes et des femmes (Papejf) et du Programme des domaines agricoles communautaires (Prodac). 

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Les «candidats» à la Haute cour de justice peuvent commencer à rassembler leurs arguments. Les juges devant composer la juridiction seront rejoints dès jeudi prochain par les députés. Elle va juger, entre autres, certains députés de l’opposition, alors ministres sous le régime de Wade, dont l’immunité parlementaire a été levée il y a un an : Oumar Sarr, Abdoulaye Baldé et Ousmane Ngom. Mais aussi Samuel Sarr et Madické Niang qui étaient sur la liste.

Un communiqué de l’Assemblée nationale indique que les députés sont convoqués en séance plénière, jeudi à partir de 16h, pour élire les membres de la Haute cour de justice «conformément à la Constitution». Pas seulement. Puisque cette juridiction compétente pour juger d’anciens ministres de la République, à laquelle maintes fois nombre de gros calibres libéraux ont été annoncés, va entrer en scène pour élucider les dossiers qui moisissaient jusque là dans les bureaux du Tribunal régional de Dakar.

L'OBS - La France travaille minutieusement pour étoffer son image, écornée en matière de délivrance des visas. En faisant désormais recours à l’externalisation des dossiers de demandes de visa, l’Ambassade de France au Sénégal entend dissiper tous les malentendus sur la problématique des visas et ainsi rendre un service rapide et de qualité aux usagers.

Les problèmes souvent soulevés dans la délivrance des visas préoccupent fortement les autorités françaises au Sénégal. Désormais, Jean-Félix Paganon, Ambassadeur de France au Sénégal, entend y apporter des solutions. Car a-t-il révélé hier à l’inauguration du Centre de demande de visa pour la France, «l’objectif de la France est d’arriver à dissiper tous les malentendus autour de la question des visas». La France, qui a procédé depuis hier à l’externalisation des dossiers de demandes de visa, à travers la société indienne «VFS Global», choisie pour recueillir les dossiers des demandeurs de visa, entend améliorer davantage le service rendu à l’usager. Pour les frais de service, chaque demandeur de visa devra verser 11.800 FCfa à la société «VFS Global», en dehors des frais de visa (Visa court séjour 40.000 FCfa et long séjour 65.000 FCfa). Les délais pour l’obtention du rendez-vous et pour l’instruction de la demande de visa deviendront plus courts.

iGFM (Dakar) Les populations de Mbadate qui avaient refusé de quitter leur village situé sur le site de l’aéroport international Blaise Diagne ont hier été déportées de force par la gendarmerie de Pout vers leur site de recasement.

Les autorités de l’AIBD ont usé de la force comme dernier recours pour déguerpir les populations de Mbadate qui logeaient sur le site. Selon le Populaire les habitants des villages de  Kessoukate, Katiallite et Mbadate étaient appelés à quitter les lieux pour permettre un bon déroulement  des travaux de l’Aéroport.

Bureaux, hôpitaux, écoles, entreprises, peu de secteurs de la vie active nationale échappent à l’absentéisme des travailleurs. Les prétextes sont légion : certificat médical de complaisance, décès de proche, cérémonies familiale et religieuse. La liste est loin d’être exhaustive. Et pourtant, les chefs religieux, musulmans comme catholiques, lors des grands événements surtout, ne cessent d’appeler les Sénégalais au travail. Récemment, c’est le président de la République, Macky Sall, de retour de la Chine et de la réunion du Groupe consultatif de Paris, qui avait réitéré cette invite à ses compatriotes.

POUR UN RETOUR À LA VALEUR DU TRAVAIL
Les chiffres et faits sont formels. 15 jours chômés et payés (fêtes civiles et religieuses) et 15 jours de permissions exceptionnelles pour raisons familiales, soit 30 jours, sans compter les congés annuels, le salarié sénégalais se repose beaucoup.


iGFM (Dakar) Voici la réaction du député Farbé Ngom après son audition par les enquêteurs à Matam.

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Jugée suspecte, la sortie de Moustapha Niasse continue de soulever des vagues de réactions au sein de la classe politique. Si du côté du pouvoir, on applaudit des deux mains, certains militants de l’Alliance des forces de progrès (Afp) sont sur le pied de guerre. Des  partisans du numéro 2 de ce parti politique, El Hadji Malick Gakou, ont réitéré hier, à travers un communiqué, leur  soutien à ce dernier qui est considéré comme l’agneau  à sacrifier par le patron de l’Afp. «Le mouvement Malick Gakou Rèk (Mgr) ne fera pas de commentaire sur le contenu du communiqué (du Bureau politique de l’Afp). Face à cette situation, il opte pour la loi de l’omerta. Cependant, il reste suspendu à la réaction de son leader El Hadji Malick Gakou, qui incarne les valeurs et vertus républicaines», ont-ils relevé. Cette structure entend rester dans sa dynamique «de massification dans tout le territoire national» et  dans la «diaspora». Toutes nos tentatives de joindre le numéro 2 de l’Afp, El Hadji Malick Gakou,  ont été vaines.   

ARBITRAGE DANS LE PROCESSUS DE LA VUE DU CODE ELECTORAL - Macky entre en scène et abat ses cartes

L'OBS - Au moment où le coordonnateur du Collectif des organisations de la société civile pour les élections (Cosce), le professeur Babacar Guèye entame une médiation pour arriver à un consensus, le président de la République, Macky Sall, lui aussi, a décidé d’entrer en scène. Il n’a même pas attendu d’être saisi officiellement pour effectuer un arbitrage dans le processus de la revue du Code électoral. Depuis le samedi 8 mars dernier, le ministre de l’Intérieur a déposé un rapport sur son bureau et lundi dernier, il a tenu une réunion allant dans ce sens avec ses conseillers après avoir discuté avec son Premier ministre, Aminata Touré.