SENETOILE NEWS
Macky Sall sur les violences à l’Apr: « Je vais sévir sans états d’âme »
Le président de l’Alliance pour la République (Apr), a promis de prendre « sans états d’âme » toutes ses responsabilités après les actes de violences notés, ces derniers jours, au sein de son parti. Il a demandé l’activation de la Commission de discipline afin de prendre les mesures idoines.
Les actes de violences, invectives et échauffourées de ces derniers jours, entre membres de l’Alliance pour la République (Apr), dans le cadre de la préparation des élections locales du 29 juin prochain, agacent le président Macky Sall.
SORTIE - Précisions, démentis, contre-attaques, etc. : Mimi dans les brumes
Mimi Touré a parlé. Elle a été entendue, mais a-t-elle dissipé les nuages supposés entre elle et le président de la République ? Beaucoup de supputations, c’est vrai, autour de cette «dualité au sommet», mais les leçons du passé ont tout de même démontré que ce «débat (qui) n’est pas nouveau au Sénégal», comme elle le rappelle, n’est pas posé simplement parce que «ça fait fantasmer beaucoup, ça fait écrire beaucoup d’articles, ça fait vendre».
NDEYE SOKHNA MBOUP, MAMAN DU ROI DU «MBALAX» - «Le jour où Youssou s’est mis à pleurer au téléphone…»
L'OBS - Lorsqu’on franchi le parvis de sa demeure nichée dans le quartier résidentiel de Sacré-Cœur 3 (Dakar), on est happé par des effluves enivrants d’encens. Une fois à l’intérieur, c’est la chaleur humaine qui vous transcende. Maman Ndèye Sokhna Mboup est assise en compagnie d’une de ses filles, de son gendre et de deux de ses amies. Un petit garçon, haut comme trois pommes, son petit-fils, tout sourire, gambade dans la cour. La maîtresse des lieux accueille chaleureusement, avant d’introduire dans l’intimité de sa salle de séjour, où luxe et sobriété se mêlent. C’est parti pour une séance de confidences. Sa condition d’épouse, de mère, ses enfants, son époux et ses coépouses, la maman de la star internationale aborde tout, en bonne Gawlo. Mais, sans tambours ni trompettes…
Renvoi devant la Cour d’assises ou en Chambre correctionnelle : Béthio Thioune renvoyé au 13 mars
On devait savoir hier si Cheikh Béthio Thioune allait se retrouver en position… Assises ou allait-il comparaître devant la Chambre correctionnelle. Mais, la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Dakar a prolongé son délibéré jusqu’au 13 mars 2014.
En attendant, le guide des thiantacoune peut continuer à savourer sa liberté provisoire et mettre à profit son voyage hexagonal pour refaire sa santé. Il faut rappeler que Cheikh Béthio Thioune a été inculpé pour «complicité d’homicide volontaire, détention d’arme sans autorisation administrative, recel de cadavres et association de malfaiteurs» dans le cadre du double meurtre des thiantacoune Bara Sow et Ababacar Diagne
Affaire Karim Wade-Ablaye Mbaye Pekh propose une solution au PDS
iGFM (Dakar) Plus fidèle qu’Ablaye Mbaye Pekh tu meurs ! Ceux qui pensaient que ce griot allait tourner la page Abdoulaye Wade dès les premières heures de sa perte du pouvoir qu’ils se détrompent. Il reste plus que jamais scotché au Parti démocratique sénégalais (PDS). Abdoulaye Mbaye Pekh a pris la parole lors de la réunion du Comité directeur du Parti démocratique sénégalais (Pds), selon nos confrères de L’As en demandant aux responsables libéraux d’envoyer une délégation auprès des chefs religieux pour mieux les sensibiliser sur le cas Karim Wade.
Tapa TOUNKARA
A lire dans JEUNE AFRIQUE N°2773 en kiosque le 09 mars 2014 - Algérie : Bouteflika IV, les secrets d’une réélection annoncée
Communiqué de presse : A lire dans JEUNE AFRIQUE N°2773 en kiosque le 09 mars 2014
· Algérie : Bouteflika IV, les secrets d’une réélection annoncée
Culte du secret, opposition désabusée… Une étrange atmosphère de résignation flotte dans le pays. Un chef d’État affaibli par les séquelles d’un accident vasculaire cérébral, mais candidat à un quatrième mandat ; une opposition tiraillée entre boycott et envie d’en découdre; une armée, jadis omnipotente, elle aussi en apparence divisée, une absence totale de visibilité politique, un flot incessant de rumeurs… À quelques semaines seulement de la présidentielle, l’Algérie ressemble à un théâtre d’ombres où tout le monde pense deviner ce qu’il va advenir mais où personne, en fait, ne sait ce qui se trame en coulisses. Reportage exclusif.
· Afrique Centrale : La Cemac malade de la Centrafrique
Vingt ans après sa création, la zone Cemac -Communauté économique et monétaire de l’Afrique Centrale- n’en finit plus de stationner sur la piste de décollage. Ce projet qui a vu le jour à N’Djamena, est depuis le 10 janvier 2014, placé dans ce qu’on pourrait appeler « un coma artificiel ». Comment trois chefs d’États sur six, ont décrété la délocalisation du siège de la Communauté de Bangui à Libreville. L’enquête de Jeune Afrique.
· Ecobank : Par où la sortie de crise ?
Le 3 mars, au terme d’une assemblée générale extraordinaire houleuse, le groupe bancaire n’a toujours pas résolu la question de sa direction. Dernier rebondissement d’une saga débutée en juillet dernier : tensions entre un nouveau patron, Thierry Tanoh, et la vieille garde ; bataille d’actionnaires pour préparer une prise de contrôle ; mauvaises pratiques en termes de gouvernance … La messe est loin d’être dite, mais à Lomé au siège d’Ecobank, l’atmosphère devient pesante. JA raconte.
· CEO Forum : Comment rendre l’Afrique plus compétitive
Coupures d’électricité, coût exorbitant des transports, faible intégration régionale… Autant de freins que le continent doit débloquer pour parvenir à une croissance durable. Un enjeu phare débattu lors de la 2e édition du CEO Forum organisé par Jeune Afrique du 17 au 19 mars 2014 à Genève. Au programme, quatre conférences plénières sur les enjeux de la compétitivité, l’« africapitalisme », la place des grandes entreprises africaines dans les projets structurants et la révolution numérique. En complément, huit conférences thématiques seront consacrées à diverses tendances du capitalisme sur le continent : ressources naturelles, family business, intégration financière, agrobusiness, etc
Cheikh Tidiane Gadio, envoyé spécial de l’Oci pour la Centrafrique
ENQUETE SUR LE TRAFIC DE PASSAGERS CLANDESTINS VERS LES ETATS-UNIS - 29 personnes arrêtées entre Dakar, Accra et Jo’burg, la piste policière se dessine
L'OBS - Le Sénégal croise les doigts, en attendant les résultats de l’enquête du Fbi sur le trafic de clandestins de Dakar vers les Etats-Unis. L’affaire révèle des ramifications au Ghana et en Afrique du Sud, où des personnes sont arrêtées, en sus des trois écrouées à Dakar.
Les choses prennent de l’ampleur. Les ramifications sont plus importantes qu’on ne le pensait. L’arrestation des agents de Shs et d’un autre d’une compagnie aérienne à Dakar le 30 janvier 2014 pour trafic de passagers clandestins, de Dakar vers Washington (Voir l’Observateur n°3126 du 21 février 2014), n’est que la face visible de l’iceberg. Mamadou Diakhaté, Ibrahima Lô et Aly Edmond Koné, jugés et condamnés à Dakar, sont parmi les maillons les plus faibles d’un vaste réseau de trafic de clandestins organisé par une vieille mafia. D’ailleurs, en sus des trois individus appréhendés à Dakar, 29 personnes ont été arrêtées dans cette affaire : 7 personnes dans la capitale ghanéenne (Accra) et 22 à Johannesburg en Afrique du Sud.
SÉNÉGAL: PARITE ABSOLUE, AUTORITE PARENTALE… Le défi de l'effectivité des acquis des femmes
Les femmes sénégalaises gagnent de plus en plus du terrain dans leur combat de tous les jours pour l'effectivité de leur présence dans toutes les sphères de décision ou presque. En plus des nominations à des postes de responsabilité, la révision du Code de la famille qui consacre l'autorité parentale, l'adoption de la loi permettant à la femme de transmettre la nationalité à son mari et ses enfants et celle sur la parité constituent, entre autres, les dernières grandes conquêtes. Toutefois, pour l'effectivité de l'application de cette dernière, elles peinent encore à marquer entièrement leur territoire.
Journée Internationale - Droits des femmes au Sénégal: Conquêtes et résistances
Présentes dans les bureaux, champs, usines, marchés, entreprises, etc., la proportion des femmes dans les instances politiques et de décision au Sénégal, comme du reste dans beaucoup de pays dans le monde, est encore moindre. Bien qu’une loi sur la parité soit votée depuis 2010, l’égalité homme-femme reste un combat de tous les jours. Une bataille menée à tous les niveaux par les femmes sénégalaises…
ECLAIRAGE: IMPÉRATIF ÉCONOMIQUE
Le Secrétaire général de l’Onu, Ban-Ki Moon, l’a rappelé dans son message à l’occasion de la journée internationale de la femme. «Les pays dans lesquels les femmes sont traitées d’un pied d’égalité avec les hommes jouissent d’une meilleure croissance économique».