SENETOILE NEWS
AFRIQUE PLAQUE TOURANTE DU TRAFIC ET L’USAGE DE DROGUE Les Etats invités à s’investir dans la prévention
L’Organe international de contrôle des stupéfiants (Oics) a, dans son rapport annuel publié hier, mardi 4 mars 2014, invité les Etats à développer des méthodes préventives pour combattre les effets néfastes de la drogue.
L’Organe international de contrôle des stupéfiants (Oics) a recommandé aux Etats de développer des méthodes préventives pour faire face aux effets dévastatrices de la drogue. C’est à travers son apport annuel sur l’usage et le trafic des drogues et autres produits stupéfiants publié hier, mardi 4 mars 2014.
SENEGAL: USAGE DE DROGUE PAR INJECTION 9,2% des toxicomanes sont atteints du VIH/Sida
L’Organe international de contrôle des stupéfiants (Oics) a, dans son rapport annuel, indiqué que 9,2% des usagers de la drogue par injection au Sénégal sont atteint du VIH, un fait qui place notre pays parmi le cercle des pays où la drogue contribue à la propagation du Sida.
En dehors du Sénégal d’autres pays comme le Nigéria avec 9%, le Kenya qui est à 4,2% et le Ghana qui totalise 4% sont aussi concernés.
MISE EN OEUVRE DU PLAN SENEGAL EMERGENT - Macky Sall enfile son treillis de Général
L'OBS - De retour au bercail après la réunion du Groupe consultatif de Paris où il a engrangé plus de 3 729 milliards FCfa, montant largement supérieur à ce qu’il escomptait, le président de la République, Macky Sall, a invité ses compatriotes au travail et à rompre avec les tricheries, que certains ont érigées en mode de conduite.
«Que les Sénégalais sachent que la communauté internationale nous a lancé un défi en finançant sur 3729 milliards de FCFA le Plan Sénégal émergent. Nos partenaires ne sont pas des enfants de chœur, ils ont posé des conditions claires.
Youssou Diallo, conseiller technique n°1 du ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural: « L’Etat ne peut pas laisser tomber une entreprise comme la Suneor »
Interpellé sur les dysfonctionnements enregistrés durant cette campagne de commercialisation de la graine, Youssou Diallo, conseiller technique numéro 1 du ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural, souligne que le véritable problème réside au niveau de la Suneor qui a reçu beaucoup de dépôts à cause du manque de financement. Pour inverser la situation, l’Etat, a dit M. Diallo, est en train d’aider la Suneor à trouver encore un autre financement auprès des banques.
Le Conseil constitutionnel assène ses vérités à la plus haute juridiction : Suprême Cours des Sages
Le Conseil constitutionnel déclare constitutionnelle la loi portant création de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). Mais dans son arrêt publié hier, par Walfadjiri quotidien, les 5 «sages»- 4 ont siégé cette fois-ci- n’ont pas fait que statuer sur le renvoi de la requête des avocats de Karim par la Cour suprême. Ils se sont aussi penchés sur la décision de la Cour elle-même, qui a «empiété» sur leurs compétences.
Le Conseil constitutionnel a déclaré hier la loi sur le délit d’enrichissement illicite et celle portant création de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) «conformes». Les 5 «sages» ont en conséquence rejeté l’exception d’inconstitutionnalité relative à ces deux lois, objet de la requête des avocats de Karim Wade. Mais dans son arrêt publié hier, en exclusivité par le journal Walfadjiri, Cheikh Tidiane Diakhaté et Cie ont haussé le ton dans leurs «considérants». (Voir l’arrêt ci-contre)
Bouteflika, Mugabe, Ouattara... : ces Présidents soignés hors du continent
Absence de compétences ou d’infrastructures ? La quasi-totalité des Présidents africains sont obligés de se rendre en Europe ou en Asie pour se faire soigner de leur maladie, maligne comme bénigne. Le Président ivoirien Alassane Ouattara rentre de Paris en France, où il s’était rendu pour des raisons médicales. Le Zimbabwéen Robert Mugabe vient de rentrer de Singapour, au moment où l’Algérien Abdelaziz Bouteflika revient d’un bilan de santé au pays de... François Hollande.
Abdelaziz Bouteflika traité en France pour un AVC
L'OBS du 04/03/2014 - FRAUDE SIMBOX DANS LE RESEAU DE LA SONATEL - Des fraudeurs empochent plus de 10 milliards CFA par an
L'OBS - La nouvelle fraude Simbox commence à se faire sentir dans les caisses de la Sonatel. C’est au moins plus de 10 milliards de francs Cfa que des fraudeurs exploitant des failles ouvertes par l’ex-gestionnaire des appels entrants au Sénégal Global voice encaissent au détriment de la Sonatel.
C’est un secret de polichinelle. Il est maintenant fréquent de voir sur votre téléphone portable s’afficher un numéro d’un opérateur local (Orange, Expresso…) lors de la réception d’un appel en provenance de l’étranger. Au moment où l’émetteur de l’appel se trouve à Paris par exemple. C’est ce phénomène qu’on appelle la fraude Simbox. Et les auteurs de cette fraude qui coûte en moyenne une dizaine de milliards de francs Cfa sont des personnes établies à l’étranger avec des complices basés à Dakar.
Un an après l’incendie de la Médina : L’Etat invité à maudire la mendicité
Les journalistes et animateurs réunis autour d’un réseau pour la protection de l’enfant était hier dans la rue pour commémorer le premier triste anniversaire de l’incendie de la Médina, qui a fait 9 victimes, tous des enfants talibé. Le but de cette manifestation était de rappeler à l’Etat, son engagement de prendre des mesures pour interdire la mendicité comme moyen d’exploitation des enfants, mais aussi pour marquer les esprits, afin que cette tragédie soit un déclic pour la réussite de cette lutte pour la protection des enfants.
Pour commémorer le premier anniversaire de l’incendie de la Médina qui a coûté la vie à 9 enfants, le Réseau des journalistes et animateurs pour la protection de l’enfant (Rejape) s’est mobilisé hier, pour rappeler aux autorités leur engagement. Celui de prendre des mesures pour interdire la mendicité par l’exploitation des enfants. De la mairie de la commune d’arrondissement jusqu’à la rue 6 angle 19, lieu où le drame s’est produit, dans la nuit du 3 mars 2013, les journalistes membres du réseau ainsi que différentes personnalités animées par cette cause ont arpenté les rues pour dire «plus jamais ça».
Impacts négatifs d’un projet agro-industriel à Gninth : Une ONG brûle Sen Huile-Sen Ethanol
Un rapport d’Oakland Institute, assis sur une enquête de terrain, met à nu les impacts négatifs du projet Sen huile-Sen éthanol. Ce document de dix-sept pages, commis par un cercle de réflexion chargé de «promouvoir la participation citoyenne et un débat équitable sur les questions sociales, économiques et environnementales», s’attache à démontrer comment le projet Sen huile-Sen éthanol menace l’environnement et détruit les communautés locales de la réserve de Ndiaël. Avec une interface glauque et des conséquences désastreuses pour les populations, le projet Sen huile-Sen éthanol se présente sous un jour peu reluisant. Réalisé en février dernier, ce rapport corrobore les informations du journal Le Quotidien, dans son édition n°3281 du samedi 4 au dimanche 5 janvier 2014.
Conseil des ministres: Les Sénégalais invités à l’action et au travail
Le Conseil des ministres s’est réuni, hier lundi 03 mars 2014, au palais de la République sous la présidence du Chef de l’Etat, son Excellence, Monsieur Macky Sall.
Dans sa communication au Conseil, le président de la République est revenu sur sa visite d’Etat en Chine, sur la tenue du Groupe consultatif de Paris consacré à la recherche de financements pour le Plan Sénégal émergent (Pse), avant d’aborder sa visite de travail au Qatar et celle d’amitié effectuée au Nigéria.
Concernant les retombées de sa visite en Chine, le chef de l’Etat après avoir remercié son homologue chinois, a engagé le gouvernement à assurer un monitoring et un suivi rigoureux de l’ensemble des projets et des programmes en discussion.