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Jeu, Nov

Contribution- Naufrage du Joola : « J’ai (encore) mal » (Mamadou Guèye Junior)

le joola

iGFM- (Dakar) IGFM vous propose cette contribution de M. Mamadou Guèye Junior à l’occasion de la célébration des 12 ans du naufrage du bateau le Joola.

« Un instant de vie où il n’y a plus de vies ; rien que des Absences. Une nouvelle qui effiloche mon âme. Une réalité qui contredit mes certitudes sur le temps et bouleverse mes repères dans l’espace. Tout en moi n’est que confusion. Tout s’arrête, dégringole et  se dérobe sous mes appuis. Ma conscience m’a sûrement trahi.

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Evitons le faux débat entre « réforme des Institutions » et « changement de Constitution » !

A l’issu de la rencontre entre le Chef de l’Etat, Président de « Benno Book Yakaar » ( BBY), et ses alliés, le débat est encore enclenché à propos de la nature des propositions de réforme de la « Commission Nationale de Réforme des Institutions » ( CNRI), instituée par le Président de la République, Macky Sall, qu’il a confiée au Président des « Assises nationales », Amadou Makhtar MBow.

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IBRAHIMA BAKHOUM : «Etre au pouvoir et ne pas contrôler politiquement la capitale, ce n’est pas très commode»

L’OBS – «On se retrouve avec deux crocodiles qui veulent s’abreuver à la même mare» 

«Khalifa Sall appartient au Parti socialiste, un vieux parti très expérimenté et bien implanté dans le pays, et qui cherche légitimement à revenir au pouvoir. Macky Sall est avec un jeune parti, pas encore bien implanté en termes de structures.

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On nous tue, …… et on nous déshonore - Par Marvel

Si Faidherbe vivait encore et voyait comment nos compatriotes sont maltraités ou tués comme des mouches en terres étrangères, et l’absence totale de réaction des autorités sénégalaises pour préserver la dignité de l’Etat de celle de ses concitoyens, il ne dirait sûrement plus à l’intention des sénégalais, « ceux-là, on les tue on ne les déshonore pas », car les sénégalais sont déshonorés par leurs propres autorités.

Les meurtres de ressortissants sénégalais en terre marocaine se suivent et se ressemblent par leur caractère barbare, mais plus insupportable, par la quasi indifférence des autorités sénégalaises face à la récurrence de tels actes. 

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Le patriotisme en général et économique en particulier, à l’ordre du jour chez-nous

Le patriotisme en général et économique en particulier, à l’ordre du jour chez-nous.

« Le patriotisme est la plus puissante manifestation de l’âme d’une race. Il représente un instinct de conservation collectif qui, en cas de péril national, se substitue immédiatement à l’instinct de conservation individuelle. » De Gustave Le Bon

Extrait de Hier et Demain.

 

Le patriotisme économique est considéré comme un élément constitutif du  patriotisme en général. Il est défini comme étant : « le sentiment partagé par tout ou partie des acteurs d’un pays, tels que les administrations publiques centrales, les collectivités territoriales, les consommateurs ou les entreprises, d’appartenir à un système économique et/ou social national dont il convient d’assurer la pérennité. Ce sentiment d’appartenance à un espace économique et social commun peut entraîner l’apparition, chez nombre d’acteurs, de l’obligation morale de soutenir et de favoriser certaines activités nationales, parfois au détriment même de leurs propres intérêts. C’est à ce patriotisme économique que font appel les hommes politiques, lorsque les intérêts économiques fondamentaux de leurs pays leur paraissent menacés par les décisions d’acteurs étrangers, qu’il s’agisse de gouvernements, d’institutions internationales ou d’entreprises étrangères. »

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Sénégal - La «mort» politique

L’arme de la discrétion dont se pare Mohamed Dionne, actuel locataire de la primature, confirme la conclusion à laquelle nous étions parvenu, dans un commentaire intitulé « La voix de son  maître », à l’occasion de son  installation à la maison militaire. Nous disions que le discours qu’il a tenu le jour de sa nomination «semble tracer le portrait robot d’un collaborateur soumis et prêt à exécuter (peut-être sans se poser trop de questions) les tâches demandées par son maître». 

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Leadership politique et conduite du changement - Par Moubarack Lô

"Rien n’est durable si ce n’est le changement» (Héraclitus). Le 25 mars 2012, le peuple sénégalais était appelé à choisir entre le changement dans la continuité symbolisé par Abdoulaye Wade (qui voulait terminer ses chantiers) et le changement radical (« rupture ») proposé par le Macky Sall et ses alliés du « Benno Bokk Yakkaar » et des Assises nationales. Pour diverses raisons, le peuple a plébiscité l’option radicale, jugeant sans doute que celle-ci lui offrait plus d’espoir pour un futur meilleur.


Deux ans et demi après, il est difficile, au-delà de certains signes précurseurs, de faire une évaluation rigoureuse du bilan de cette seconde alternance (après celle de 2000). Cet exercice se fera en temps opportun, dans le cadre du jeu démocratique.

Toutefois, il demeure important de bien fixer les termes de référence et de s’entendre dès maintenant sur ce que recouvre le vocable de «changement», de manière à donner des repères permettant à terme, de comparer les attentes initiales des citoyens et les résultats effectivement atteints, ainsi que de fournir a posteriori une explication scientifique et non partisane du niveau de performances réalisées. 

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La nouvelle vie d’Idrissa Seck - Par Ibra Pouye

Qui est Idrissa Seck ? Ce nom on ne peut plus clair divise les Sénégalais férus de politique jusqu’à la moelle, disons tous les Sénégalais parce que dans ce bled tout est politique et tout se ramène à la politique. Il désarçonne et clive mettant toutes celles et tous ceux qui le soutiennent dans un embarras total et un suspens sans issue. Avec lui, une impression de se dire, « diantre, où va ce bonhomme ?» Ne sachant plus sur quel pied danser, il ne reste qu’à entonner une parade nuptiale. Finalement la politique a de beaux jours dans notre pays. 

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Guerre Contre L'État Islamique En Irak Et Au Levant-, Ali Baba Et Les 40 Voleurs

Une alliance de quelque 40 pays va se lancer dans une guerre contre les djihadistes de l'État islamique en Irak et au Levant, sous la férule des États-Unis. Tous ne s'accordent pas sur la cartographie des intervenants et les majors sont en difficulté avec leurs populations locales. 

Une coalition internationale menée par les États-Unis va aider l’Occident à corriger ses erreurs fatales dans ses relations avec le Proche, Moyen et Extrême Orient. En dehors des traditionnels croisés de l'Europe et de l’Amérique du Nord, la Ligue arabe est aussi entrée dans la danse pour faire front commun contre les jihadistes de l'État islamique en Irak et au Levant (Éiil).

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Le fait accompli ne peut être un acquis - Par Sidy Lamine Niass

La réduction du mandat présidentiel de sept à cinq ans continue de polariser l’attention. Pour la bonne et simple raison que le débat qu’elle a jusqu’ici suscité est loin d’avoir été suffisamment traité dans le fond. D’où le bond réflexe de Sud Quotidien de rebondir sur notre éditorial du lundi, dans son édition parue hier mardi 2 septembre. Pour dire qu’il est grand temps pour les «sachant» d’éclairer sur cette question la lanterne de la population qui a témoigné, à suffisance, de sa maturité et de sa grande responsabilité. Mais aussi de l’aider à économiser ses maigres ressources qui peuvent bien se passer de dépenses inutiles qu’occasionnerait un référendum. De même, au-delà des discussions byzantines qui versent dans le soufisme, nous pouvons aider les Sénégalais à mieux comprendre les fondements juridiques qui entourent la question du mandat présidentiel. Il est question de démocratie, d’équité et d’indépendance.

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ÉDITO DE MAMOUDOU WANE - Le fantôme du Général

L’ouvrage du colonel Abdoulaye Aziz Ndaw, ‘’Pour l’honneur de la Gendarmerie sénégalaise’’, telle cette comète venue d’univers lointains, a imprimé un point d’impact bien visible dans la Gendarmerie, jusque-là épargnée par les scandales récurrents au Sénégal. Mais au lieu de voir, après cette ‘’chute’’, s’il ne reste pas encore de la matière explosive dans l’appareil, si les informations qu’il transporte sont crédibles, on s’intéresse exclusivement au mécanisme qui a propulsé l’engin jusqu’à la planète Terre, aux arrière-pensées, lapsus et non-dits’’ du ‘’maudit cerveau extra-terrestre’’ qui l’a engagé dans l’orbite de Ndakaaru. La bonne vieille méthode de l’Autruche…

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Doutes sur l’évacuation sanitaire des riches détenus : Grave pathologie ou fine supercherie ?

Lorsqu’une personne riche ou influente est détenue dans une prison africaine, il arrive souvent que ses avocats brandissent la dégradation de son état de santé pour obtenir son évacuation sanitaire vers l’Europe. Avec la logorrhée alarmiste des avocats de Bibo Bourgi dans l’affaire Karim Wade, les juges doivent faire preuve de dextérité pour distinguer ce qui relève de la pathologie ou de la supercherie. Aucune discrimination carcérale entre riches et pauvres ne saurait être admise.

 

Et si les Bobos muaient  leurs bobos en maladie imaginaire ?

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L’injustice des justices spéciales : Hissène Habré face à un complot politico-judiciaire? (Acte 2)


L’Afrique a-t-elle accepté de faire le sale boulot que la Cour Pénale Internationale (CPI) n’a pas voulu faire : juger Hissène Habré en violation des principes du droit pénal international ? Le marchandage financier qui a précédé la création des Chambres Africaines Extraordinaires (CAE), l’incohérence et l’arbitraire du bricolage judiciaire qui a accouché des CAE, l’impartialité des promoteurs et sponsors du procès contre Habré, ternissent irrémédiablement la crédibilité du procès. Un regard neutre peut y entrevoir une farce internationale destinée à camoufler un complot politico-judiciaire ayant un seul objectif : la TÊTE de Habré à tout PRIX. 

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