Pour le chargé de communication du Parti socialiste, la candidate au poste de SG, au lieu de chercher à se victimiser, doit bien méditer sur le «sort de Djibo Kâ et Moustapha Niasse».
Au rythme des résultats partiels qui tombent et qui donnent Ousmane Tanor Dieng largement vainqueur devant Aïssata Tall Sall, l'élection du secrétaire général semble en voie d'être pliée ?
Chaque coordination choisit, on rassemble les résultats et on les proclame. Maintenant nous sommes dans un pays, comme dans une élection nationale. Lorsqu'un bureau dépouille, toute personne qui a accès aux résultats peut en parler à ses amis. Il n'y a pas de crime à cela. Mais comment voulez-vous qu'une élection soit liée à la défaite de quelqu'un, fût-elle du plus fort ?