Les deux Américains qui avaient contracté le virus Ebola au Liberia auraient été «vraisemblablement sauvés» grâce à un sérum secret qui leur a été envoyé des Etats-Unis la semaine dernière. C’est ce qu’affirme lundi la chaîne américaine CNN, en citant une «source familière» avec les détails de l’opération.
Ebola : l'Espagne rapatrie un prêtre malade, le premier Européen
Alors que l'épidémie de fièvre hémorragique Ebola a tué 932 personnes en Afrique de l'Ouestdepuis mars, l'Espagne va rapatrier un missionnaire espagnol âgé de 75 ans ayant contracté le virus d'Ebola au Liberia.
Un Airbus militaire médicalisé a décollé de la base de Torrejon (près de Madrid,Ndlr) pour le Liberia, ont annoncé les autorités espagnoles vers 13h30. L'appareil est «équipé avec les moyens nécessaires pour transporter en toute sécurité trois patients sans risque de contagion», a ajouté un porte-parole, sans préciser combien de personnes seront effectivement rapatriées. Il n'était pas en mesure de dire à quel moment l'appareil serait de retour en Espagne.
Un an après sa fermeture : L’hôpital de Ninefecha reprend vie
Après un an de fermeture, l’hôpital de Ninefecha rouvre ses portes. Au grand bonheur des populations.
Après un an de fermeture, l’Etat du Sénégal vient de rouvrir l’hôpital de Ninefecha. Au grand bonheur des populations de Ninefecha et environs. Le personnel soignant a été installé ce jour par le médecin-chef du district sanitaire de Kédougou. Il s’agit pour le moment d’une infirmière et d’une sage-femme avant l’arrivée d’un médecin annoncé pour les jours à venir. Ainsi, l’hôpital est placé sous l’autorité du médecin-chef du District sanitaire de Kédougou et a désormais le statut de centre de santé secondaire.
Fausse rumeur - Guinée/Ebola : le ressortissant sénégalais est « mort d’une mort naturelle » (Officiel)
iGFM – (Dakar) Ibrahima Niang, le ressortissant sénégalais décédé samedi à Siguiri, en Guinée, est mort d’une mort naturelle, indique l’ambassade du Sénégal à Conakry, rapporte, mercredi 06 Août, l’APS.
Des informations parues dans la presse indiquaient qu’il aurait succombé au virus Ebola.
Mais, citant des sources médicales, l’ambassade du Sénégal en Guinée se veut formelle : le ressortissant sénégalais « est mort de mort naturelle et non de contamination de la fièvre hémorragique à virus Ebola ».
Ebola : des responsables sanitaires estiment que des cas d'infection aux Etats-Unis sont inévitables
Ils ne craignent pas pour autant une épidémie étendue dans le pays.
"Il est tout à fait possible que des personnes aux Etats-Unis ayant été sur le terrain (en Afrique) développent Ebola ici après avoir été exposées au virus ailleurs". La phrase fait froid dans le dos et elle a été prononcée par Tom Frieden, le directeur des Centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies (CDC). Pour lui comme pour de hauts responsables sanitaires américains, il est inévitable que des personnes ayant voyagé dans les pays africains touchés par l'épidémie d'Ebola entrent infectées aux Etats-Unis.
"Nous vivons dans un monde où nous sommes tous connectés et, inévitablement, il y aura des voyageurs, des ressortissants américains et d'autres qui se rendront dans ces pays (...)lire la suite sur Atlantico
et reviendront ici avec des symptômes" a-t-il ajouté. Cependant, les spécialistes ne craignent pas pour autant une épidémie étendue dans le pays. "Nous sommes confiants qu'il n'y aura pas pour autant une épidémie étendue d'Ebola aux Etats-Unis car nous disposons des équipements pour mettre en quarantaine ces malades dans tous les grands hôpitaux".
Traitement contre le virus ébola : Le «ZMapp» expérimenté sur deux Américains infectés
S’il n’existe pour l’heure aucun traitement ni vaccin validé contre le virus ébola, de nombreux protocoles expérimentaux sont testés par les scientifiques du monde entier pour lutter contre cette fièvre hémorragique mortelle, qui a fait 887 victimes en Afrique de l’Ouest. C’est l’un de ces traitements expérimentaux qui a été administré aux deux Américains, Kent Brantly et Nancy Writebol, contaminés par le virus ébola lors d’une mission humanitaire au Liberia.
La vétusté du barrage de Diama inquiète
La vétusté du barrage de Diama inquiète les autorités de l’Omvs. Surtout la partie métallique qui doit être réhabilitée incessamment. L’ambassadeur du Japon, en visite sur le site, a dit que l’initiative sous-régionale est à encourager. Et le pays du Soleil levant, dit-il, est intéressé par le financement d’un tel ouvrage. Pour le directeur de la société de gestion, «on veut réhabiliter et restaurer pour que ce barrage puisse continuer à jouer ses fonctions de manière très durable.