Avec sa propagation fulgurante, le virus ébola sème la peur dans la communauté internationale et surtout en Afrique de l’Ouest où on compte les morts par centaines. Et le Sénégal se prépare au combat.
Avec sa gueule de monstre, Jean Marie Le Pen l’avait qualifié de «mon seigneur» pour sortir des imbécilités sur l’immigration. En réalité, ébola reste ce virus qui s’entête à porter les attributs de l’ange de la mort en Afrique de l’Ouest où on compte les décès par centaines avec l’accélération de la propagation dans plusieurs pays. L’épidémie de fièvre hémorragique a déjà fait 933 morts sur les 1 711 cas suspects, probables ou confirmés répertoriés, selon un bilan dressé le 7 août par l’Oms.
Alors que l'épidémie de fièvre hémorragique 
Ils ne craignent pas pour autant une épidémie étendue dans le pays.
La vétusté du barrage de Diama inquiète les autorités de l’Omvs. Surtout la partie métallique qui doit être réhabilitée incessamment. L’ambassadeur du Japon, en visite sur le site, a dit que l’initiative sous-régionale est à encourager. Et le pays du Soleil levant, dit-il, est intéressé par le financement d’un tel ouvrage. Pour le directeur de la société de gestion, «on veut réhabiliter et restaurer pour que ce barrage puisse continuer à jouer ses fonctions de manière très durable. 
Face à une recrudescence fulgurante du virus Ebola dans la sous région africaine, le Sénégal ne devrait-il pas reconduire la fermeture de ses frontières terrestres ? En tout cas même si le Dr Idrissa Talla, directeur de la lutte contre la Maladie au ministère de la Santé et de l'Action sociale reconnait que les frontières terrestres sont «poreuses». Il soutient toutefois qu'un dispositif de vigilance des entrées aériennes, portuaires et terrestres est mis en place pour contrer cette épidémie tant redoutée. 
Le virus Ebola qui se propage d’une manière inquiétante préoccupe vraiment nos autorités.
