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Ven, Nov

Affaire Aida Ndiongue et Co prévenus un dossier, mille péripéties

  La justice sénégalaise a tranché hier, jeudi 28 mai, en faveur des prévenus Aïda Ndiongue, ex-sénatrice libérale, Abdoul Aziz Diop (ex-coordonnateur du Plan Jaxaay), voire Amadou Ndiaye et Madou Sall. Ainsi, après un marathon judiciaire qui a duré plus de 18 mois, avec de multiples renvois et d’innombrables demandes de liberté provisoire refusées, le tribunal de Dakar vient de rejoindre les plaidoiries de la défense qui a toujours clamé haut et fort l’innocence des prévenus.  

Esclavage sexuel en Arabie Saoudite: Des femmes sénégalaises battues et abusées sexuellement (écoutez)

L’affaire des trafiquants de femmes qui convoient des candidates à l’immigration en Arabie Saoudite pour les vendre comme des esclaves avait défrayé la chronique en 2013 au Sénégal quand les médias l’avaient relayée. La Division des investigations criminelles (Dic) s’en était même saisie pour mettre la main sur les cerveaux. Après 2 ans d’accalmie, le réseau de trafiquants de Sénégalaises dans les pays arabes reprend du service. Le témoignage d’une femme domestique sénégalaise, qui vit ce calvaire en Arabie Saoudite, remet cette affaire au goût du jour 

5ème renvoi d'un procès pour enrichissement «Cadastrophique»: Qui protège l’ancien directeur Tahibou Ndiaye?

C’est le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Sidiki Kaba, qui en avait fait la promesse. C’était lors d’une visite de la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Thiès, le 4 juin 2014.  Tahibou Ndiaye sera finalement arrêté le 3 décembre 2013, par la Section de recherche de Colobane. Il est poursuivi par la Crei, pour enrichissement illicite portant sur 3,9 milliards de FCfa. Depuis lors, il n’a pas été jugé, comme si une main invisible l’extirpait à chaque fois des griffes de Dame justice.

A Messieurs les ministres de l’Emploi et du Travail, Au travail et arrêtez vos inepties sur les chiffres en terme de création d’emplois

Nous avons constaté la semaine dernière à l’image de beaucoup de nos compatriotes, les sorties du ministre de la Jeunesse et de l’Emploi d’une part, sur le plateau du 20h de la TFM du lundi 11 mai 2015, nous annonçant la création par l’Etat de 147 208 emplois entre le 1er janvier 2012 et le 31 décembre 2014, et d’autre part, celle plus détaillée du ministre du Travail, du Dialogue Social et Organisations Professionnelles dans la presse du weekend, attestant que le gouvernement a créé 165 555 emplois entre 2012 et maintenant. 

Rewmi sur la visite de Mansour Faye et Amadou Ba dans le Matam : «Il a fallu la venue de Idrissa Seck pour que l’Etat daigne réagir»

Pour Thierno Bocoum, la tournée de Idrissa Seck dans le Matam a au moins permis à l’Etat d’aller constaté sur place les difficultés des populations.

Rewmi réplique à Mansour Faye qui était à Matam mardi avec son collègue de l’Economie et des Finances, Amadou Ba. Et ce, une semaine après la tournée politique de Idrissa Seck et ses camarades. Dans un communiqué, les Rewmistes écrivent : «Le passage du ministre de l’Hydraulique envoyé sur les traces de Idrissa Seck dans les départements de Kanel et de Matam a révélé la réalité du terrain à un gouvernement emmuré dans un débat sur l’émergence qui ne recouvre aucune réalité.» 

Me Baboucar Cissé sur le recours en Cassation de Karim et autres : « Cet arrêt doit disparaître de l’ordonnancement juridique! »

L’arrêt rendu contre Karim Wade, Aliou Samba Diassé, Bibo Bourgi et Mamadou Pouye, les rendant coupables des faits qui leur sont reprochés, pourrait terriblement porter atteinte à l’ordonnancement juridique Sénégalais si la Cour suprême ne le cassait pas. C’est du moins, l’avis de Me Baboucar Cissé qui estime que le texte en question souffre de graves failles et faiblesses qui laissent apparentes de réelles violations des droits de la défense et de la loi elle-même. Ainsi, ses collègues et lui ont déposé, distinctement, des recours visant un recours à annuler intégralement l’arrêt en question. 

MFDC - Abdou Elinkine Diatta : "C’est avec l’argent que distribuait Wade dans le maquis que beaucoup se sont réarmés"

L’Etat doit changer de fusil d’épaule dans son approche pour ramener la paix en Casamance, en proie à plus de troiss décennies de conflit armé. Si on en croit à Abdou Elinkine Diatta, la distribution d’argent dans le maquis ne paye pas. Et pour cela, il pense que le président Macky doit rompre d’avec les pratiques de son prédécesseur.

 «Ce que l’Etat du Sénégal ignore, c’est que les chefs de guerre à qui l’on donne de l’argent l’utilisent pour s’armer davantage. C’est avec l’argent que distribuait Wade dans le maquis que beaucoup se sont réarmés », a révélé celui qui se présente comme le porte-parole du MFDC.

Pêche illégale : Le péché chinois - Sénégal Pêche et Sénégal Armement appartiennent à 100% à Beijing

Des rapports confidentiels de la Société nationale chinoise chargée des pêches indiquent que deux entreprises de pêche et de conditionnement de poisson appartiennent à 100% au gouvernement de Beijing. Or, ce sont les activités des bateaux de ces entreprises qui ont été condamnées par Greenpeace Afrique. Ce que les fonctionnaires de l’ambassade de Beijing à Dakar ont confirmé de manière involontaire.

Une nouvelle monnaie : l’euromigrant

L’avenir de nos pays, de notre Europe est décidé par une poignée de fonctionnaires et d’associations caritatives sans mandat pour le faire.
L’idée de répartir les naufragés d’Afrique dans les pays de la Communauté européenne n’est pas nouvelle. L’Italie et la Grèce, qui sont en première ligne, la réclament depuis longtemps. La Grande-Bretagne, la France, l’Allemagne et bien d’autres pays déjà submergés par le nombre de leurs immigrés et de leurs chômeurs se font tirer l’oreille. Alors Bruxelles s’en mêle. Le Parlement européen, les ONG tirent la sonnette d’alarme. Peut-on laisser périr en mer des milliers de malheureux ? Bien sûr que non.

 
 
Et les bonnes âmes d’assener leurs vérités : il faut joindre l’utile au charitable : l’Europe est vieillissante, elle a besoin de jeunes travailleurs pour assurer ses pensions, son système social et son développement économique. C’est une chance qu’il faut saisir. Sauf que ces malheureux n’ont, pour la plupart, aucune qualification. Qu’ils arrivent avec leur seule chemise et des dettes : l’argent qu’ils ont payé aux mafias pour venir en Europe. Qu’ils ne parlent pas nos langues et ne connaissent pas notre culture.
 
 
Prenez un manguier du Mali et vous verrez qu’il ne poussera pas sur nos terres. Il ne suffit pas de dire qu’on ne peut pas laisser mourir des êtres humains à notre porte ; encore faut-il proposer des solutions acceptables et acceptées. Or, ces bonnes âmes vivent toutes (députés au Parlement européen, employés humanitaires) de la charité publique. Sans nos impôts, sans notre participation, ils ne pourraient promouvoir leurs idées. Il y a là un problème démocratique majeur : peut-on faire la charité avec l’argent des autres au nom de grands et généreux principes ?
 
En Europe, voir débarquer sur son sol des milliers de migrants non européens a une dimension citoyenne totalement inédite. Beaucoup de pays n’ont aucune législation défensive.
Si on prend l’exemple français : à peine 1 % de ces immigrés sont renvoyés à leur destination d’origine, alors que la (très) grande majorité des migrants sont des migrants économiques et non politiques. Les aides, les regroupements familiaux, les naissances en feront des citoyens.
Pour les technocrates qui nous gouvernent, c’est sans importance. Le problème est administratif et la solution est arithmétique : comment répartir ceux qui ne repartiront jamais. Et comme certains pays seront récalcitrants (la Grande-Bretagne en tête), gageons que Bruxelles mettra une fois de plus la main à sa poche. C’est-à-dire à celle des contribuables européens. Ces migrants deviendront une nouvelle monnaie d’échange, un peu comme les droits à pollution. Les pays européens pauvres ou en faillite n’auront d’autre choix que d’accueillir ces immigrés inassimilables.
 
Et quid des citoyens européens dans tout cela ?L’avenir de nos pays, de notre Europe est décidé par une poignée de fonctionnaires et d’associations caritatives sans mandat pour le faire. Demander leur avis aux citoyens sur un sujet qui les engage ne leur vient même pas à l’idée. Ainsi sont les dérives de la démocratie par procuration.


Une nouvelle monnaie : l'Euromigrant
 source: http://lepeuple.be/une-nouvelle-monnaie-leuromigrant/47178?utm_source=wysija&utm_medium=email&utm_campaign=Le+Peuple

«C'est très dangereux de négocier avec Salif Sadio» (Porte-parole, Mfdc)

Porte-parole du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc), Abdou Elinkine Diatta et ses camarades ne se reconnaissent pas encore dans les actes posés par les autorités étatiques. Réitérant sa conviction selon laquelle la politique mise en branle pour un retour durable de la paix en Casamance est loin de convenir aux populations, aux combattants et surtout à l’Etat, il a invité Macky Sall et son gouvernement à changer de fusil d’épaule. Il a dénoncé les interlocuteurs que l’Etat s’est choisis, l’argent versé mais surtout l’absence de négociations en bonne et due forme.