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Ven, Nov

Sénégal - Macky offre 38 milliards aux layènes

Le Programme de modernisation des infrastructures de la communauté layène débutera après la célébration du135èmeAppel de Seydina Limamou Laye. L’assurance est du président de la République,  Macky Sall, qui faisait son ziar hier chez le khalife des layènes à Yoff.

C’est un ziar plein de promesses. A Yoff-Layène hier en vue de la commémoration du 135ème Appel de Seydina Limamou Laye  prévu les mardi et mercredi prochains, le président de la République, Macky Sall, a annoncé devant le khalife, Baye Abdoulaye Thiaw Laye, le démarrage du Programme de modernisation de la cité religieuse juste après l’évènement de cette année. «On voit que la mer menace certains sites.

"C’est un danger pour Khalifa Sall d'aller à des élections, tout en sachant qu'il n'aura pas plus de 2%"

Le maire de Dakar court le risque de briser sa carrière politique, au cas où il déciderait de briguer les suffrages des Sénégalais lors de la prochaine Présidentielle. C’est la conviction de Lat Diop, membre du Secrétariat exécutif national de la formation présidentielle. M. Diop se prononce aussi sur d’autres sujets d’actualité.


La guéguerre au sein de «Benno bokk yakaar», notamment entre l’Apr et deux de ses alliés, le Ps et la Ld, fait rage. Quel commentaire faites-vous de cette situation ? 

La vérité pour Sofiane Chourabi et Nadhir Guetari - Rassemblement Samedi 9 mai 2015 à Paris

 

La vérité pour Sofiane Chourabi et Nadhir Guetari

 

Rassemblement

 

Samedi 9 mai 2015 – 15H00

Place de la République - Paris


Suite aux déclarations contradictoires concernant l'assassinat présumé des deux journalistes tunisiens Sofiane Chourabi et Nadhir Guetari, notamment par le biais du communiqué officiel du ministère de la justice libyen du gouvernement de Tobrouk, notre inquiétude, ainsi que celle de leurs familles, ne cesse de grandir. Depuis leur disparition le 8 septembre 2014, les gouvernements tunisiens successifs n'ont pas manifesté une grande volonté politique et une importance nécessaire pour faire toute la lumière sur cette affaire et obtenir, le cas échéant, leur libération.

Sénégal - Les familles des victimes de la guerre du Golfe réclament toujours leur indemnisation

L’annonce de l’engagement du Sénégal offre une bonne opportunité. Car cela  fait 24 ans qu’elles courent après leur indemnisation. Les fa­milles des 93 disparus et 8 blessés de la guerre du Golfe appellent toujours l’Etat du Sénégal à les rétablir dans leurs droits.

Ce, au moment où le pays prend de nouveau la décision d’envoyer des soldats en Arabie Saoudite. Réunis autour du Regrou­pement des familles des diambars disparus en Arabie Saoudite, les plaignants ont déjà commis leur avocat, Me Assane Dioma Ndiaye, pour défendre leurs intérêts.

Sénégal - Scandale des fausses quittances et fraude de sucre : Pourquoi tous les transitaires et les commerçants arrêtés seront libérés ?

Un peu plus sur le scandale dans le cadre duquel le beau-fils du patron d’EMG Auto, Mbaye Gueye a été placé en garde-à-vue. Le nom du cerveau de cette arnaque est Pape Abdoulaye, une dizaine de transitaires ont même été arrêtés pour les besoins de l'enquête. Mais si aujourd'hui, l'enquête peine à avancer, c'est parce que les douaniers chargés d'escorter Pape Abdoulaye après son arrestation, l’ont vu leur filer entre les doigts. 

Sénégal - Tout ce qu'il faut savoir sur la traite des êtres humains (Mody Guirandou Ndiaye, Cnltp)

Le Secrétaire permanent de la Cellule nationale de lutte contre la traite des personnes en particulier des femmes et des enfants (Cnltp), Mody Guirandou Ndiaye, a annoncé que la traite des êtres humains est considérée par l’Organisation des Nations-Unies (Onu) comme la troisième forme de trafic la plus répandue dans le monde après le trafic de drogue et d’armes. A l’en croire, c’est une forme d’esclavage des temps modernes.

ENVOI DE 2 000 SOLDATS EN ARABIE SAOUDITE : Ce terrible antécédent qui fâche - crash de l’Avion C130.69, mort de 93 Diambars - Aucune indemnisation

Pour satisfaire une promesse d’Etat faite à un pays « frère », le Président de la République vient de décider de l’envoi de 2 000 soldats Sénégalais à la frontière du Yémen. Ainsi, nos compatriotes vont prendre part à une guerre qui oppose le gouvernement central de Sanaa et l'Arabie saoudite à la rébellion Houthie présentée comme un groupe soutenu par l'Iran. Une guerre qui a fait, dans un bilan rendu public en 2010, pas moins de 10 000 morts. Le 26 mars dernier, l’Etat Chérifien a déclenché une opération dite « tempête décisive » qui tarde (justement) à être décisive à cause de la qualité de la riposte proposée par l’ennemi. C’est pourquoi, beaucoup estiment que cette décision du Gouvernement Sénégalais d’envoyer un contingent dans ce conflit très ancien n’a point pris en compte cet antécédent terrible et fâcheux.  

Son discours repris par les bailleurs : Amadou Ba singe Abdoulaye Diop

La ressemblance du discours des envoyés du Fmi avec celui du ministre de l’Economie, des finances et du plan rappelle tant les vieilles ficelles qui ont si bien réussi à l’ancien ministre des Finances Abdoulaye Diop, que l’on se demande si l’on ne revit pas les anciennes méthodes.

Envoi de jambaar au Yémen : Coûts et coups d’un «hadj»

Une mobilisation de 2 100 soldats pour l’Arabie Saoudite ne sera pas sans conséquence dans la stratégie de présence des soldats sénégalais sur des théâtres d’opération comme la Casamance et le Mali. Toutefois, ce déploiement est une aubaine pour les jeunes soldats qui veulent faire carrière dans l’Armée.

Tounkara à Macky Sall: « Charlie » est plus important que nos morts

Monsieur le Président le Président de la République, 

Depuis le début du drame insupportable de l’immigration clandestine par la mer et le désert, des dizaines de milliers d’Africains sont morts. Rien que pour la mer, l’Union européenne a fait un macabre décompte de 22.400 morts dont 97% n’ont jamais été retrouvés, engloutis par les eaux, dévorés par les poissons. Parmi eux, d’innombrables Sénégalais. On ne vous a jamais entendu sur le sujet ni vu proposer des solutions définitives. Pourquoi ?