Account
Please wait, authorizing ...
Not a member? Sign up now
×

Sidebar

25
Lun, Nov
SENETOILE NEWS

SENETOILE NEWS

default

L'explosion de listes regrettée par le ministre de l'Intérieur eu égard au coût financier qu'elle engendre, mais saluée par d'autres acteurs au nom du principe qui dispose que la démocratie a un prix, ramène les feux de l'actualité sur les mouvements dits citoyens. Par l'ampleur de leur engagement, et peut-être eu égard aux risques qu'ils font courir aux partis politiques traditionnels, ces démembrements de la société civile sont l'objet de commentaires divers. Sur le terrain, nos reporters sont allés demander leurs avis aux citoyens électeurs sur ces «nouveaux» acteurs entrés en confrontations avec les «politiciens professionnels».

default

iGFM (Dakar) – Sud Quotidien rapporte que, le leader de Rewmi, Idrissa Seck se dit indigné par la gestion du Président Macky Sall. Il l’a fait savoir hier lundi,  lors d’une visite politique à Guédiawaye, aux  militants membres de la coalition  de l’opposition« Boolo Taxawu askan wi ».  «  Il ya une seule rupture que Macky Sall a réalisée, c’est sa rupture avec le peuple sénégalais. C’est clair qu’il a rompu le contrat qu’il avait signé avec le peuple sénégalais », dénonce Idrissa Seck. 

default

Cheikh Modou Kara Mbacké dans tous ses états - « Je serais ravi si j’avais passé au moins 48h en prison »

iGFM - L’interdiction du port de treillis à ses disciples et sa convocation par la police lui sont restées en travers de la gorge. Devant ses militants hier, Serigne Modou Kara Mbacké a qualifié d’insensée cette mesure du gouvernement. Après avoir réclamé un statut spécial pour Touba, il a indiqué sur un ton ironique qu’il serait ravi de séjourner 48 heures en prison.

Serigne Modou Kara Mbaké s’est montré ferme dans ses propos. Face à ses nombreux militants et aux journalistes, le marabout a appelé les autorités étatiques à la raison. Il faisait allusion à l’interdiction faite à sa sécurité de porter des tenues en treillis.

TRIBUNE LIBRE : Lettre ouverte à Boko Haram

 

Brothers,

 

Je me permets de vous écrire publiquement en français, parce que mon anglais est catastrophique. Je me permets de vous écrire parce qu’aucun intellectuel africain n’a osé le faire, comme d’habitude. Je me permets de le faire même si j’ai peur pour le Nigeria et les pays limitrophes et que la honte que j’ai de vos actes est immense. Je vous écris parce que je crois, je rêve, que vous prendrez conscience de l’énormité de votre cruauté et deviendrez des personnes qui respectent les valeurs humaines.

 Etre rebelle ou se rebeller, je croyais que cela se joignait quelques fois avec le fait d’être militant. Est-on toujours militant quand on bascule dans l’extrême ? Souligne-t-on toujours les injustices dans la société en prenant des positions extrêmes ? Pensez-vous que vos dirigeants écouteront vos revendications, en continuant dans l’extrémisme ? Je pensais, et peut-être que je me trompe, que le dialogue justement était le meilleur moyen de se faire entendre, même si en Afrique le droit de manifester publiquement n’est pas encore entré dans les mœurs. Je pensais qu’on défendait mieux les causes en restant pacifique. N’avez-vous pas un peu de compassion pour la malheureuse population qui se retrouve aujourd’hui terrorisée par vos actes ?

Le Congrès national du Parti socialiste (Ps) arrêté pour les 6 et 7 juin prochains est parti pour être celui de tous les dangers pour la formation politique héritée de Léopold Sédar Senghor et Abdou Diouf (les premier et deuxième présidents du Sénégal). Pour cause, programmé au forceps alors même que les opérations de renouvellement à la base sont loin d'être terminées, et surtout contre l'avis de certains pontes du parti, à l'instar d'Aïssata Tall Sall, mairesse de Podor et porte-parole du parti, voire de Khalifa Sall, secrétaire général national chargé de la vie politique du parti, par l'interposition de son fidèle partisan Youssou Mbow, le prochain congrès du Ps risque de déboucher sur une sorte d'implosion interne d'un parti dont l'électorat ne cesse de s'effriter depuis la perte du pouvoir en 2000.

default

Les caporaux-chefs des sapeurs-pompiers Lat Ndoye et Baye Thiaw, suspectés d’être à l’origine du traitement dégradant ayant entraîné la mort du soldat du feu Chérif Ndao, ne sont pas encore à la disposition de la justice. Pourtant, les ordres de poursuite les concernant ont été signés par le ministre de l’Intérieur.

L’affaire du sapeur-pompier Chérif Ndao, qui a succombé à ses blessures consécutives à des sévices qu’il avait subis lors de son stage à Thiès, connaît de nouveaux développements. Il nous revient, en effet, que le ministre de l’In­térieur a signé les ordres de poursuite contre deux caporaux-chefs de la Brigade nationale des sapeurs-pompiers (Bnsp) suspectés d’être à l’origine du traitement dégradant que Chérif Ndao a subi jusqu’à ce que mort s’en suive.

default

Cent ans déjà que la ville de la Médina a été créée (arrêté n° 1467 du 19 Septembre 1914 signé par le Gouverneur William Ponty). L’objectif était de déplacer une partie de la population autochtone du Plateau vers les environs immédiats. Zone de choix, la Médina suscitait alors beaucoup d’envies. Cette convoitise s’explique par deux raisons : d’une part la proximité immédiate avec le centre-ville, d’autre part une architecture de choix qui sortait de l’ordinaire, avec des bâtiments souvent construits sur le modèle typiquement colonial.
Vue d’en haut, la Médina offre un plan d’urbanisation qui sort de l’ordinaire et capte l’attention voire même l’admiration.  La cité, équitablement répartie du Nord au Sud, de l’Est en passant par l’Ouest, dresse un paysage sous forme de damier. Les rues sont construites dans une perspective de droiture et s’érigent de la Rue 1 à 45. Tel est le paysage tracé à la Médina et qui devait, dans le temps, s’inscrire dans une perspective d’amélioration du cadre de vie.

default

Dans la famille de Cheikh Guèye, le métier semble se transmettre de père en fils. C’est son père, Baba Guèye, artisan-concepteur, qui est son vrai maître. Ce natif de Thiès, auteur de plusieurs inventions, a reçu plusieurs distinctions. Ces travaux ont pour dénominateur commun l’économie d’énergie avec des retombées économiques pour les ménages et l’environnement. 
Cheikh Guèye n’est pas un prophète chez lui. Ce Sénégalais né le 22 février 1957 à Thiès est auteur de plusieurs inventions primées par les organismes internationaux. C’est auprès de son père qu’il a appris les ficelles. Très vite en 1978, une Sénégalaise du nom de Rokhayatou Tall qui revenait du Kenya avec des fourneaux améliorés appelés « Djikko » lui confia la mission de sensibiliser les artisans sénégalais pour qu’ils s’approprient les technologies propres. Mais la dame est décédée un an après. 

default

Aminata Touré poursuit sa campagne de charme dans la lutte pour la mairie de Grand-Yoff. Lors de son meeting, organisé ce samedi, à la cité Arafat de Grand-Yoff, elle accuse le maire actuel d’être à l’origine des maux dont souffre cette localité. Et clame fort sa légitimité à convoiter la mairie de ce quartier, un des plus populeux de Dakar...

La bataille pour la mairie de Grand-Yoff entre Khalifa Sall et Aminata Touré se corse. En visite samedi dernier à la cité Arafat de ladite commune, Aminata Touré en a profité pour mettre fin aux rumeurs qui disent qu'elle n'habite pas ce quartier qu'il convoite. ''Je suis de Grand-Yoff. Car, j’ai un titre foncier dans cette localité depuis 23 ans. Donc, personne n’est plus que moi un riverain de cette zone'', assène-t-elle, en réponse à ses détracteurs politiques qui estiment que rien ne la lie à cette zone ; une des plus populaires de Dakar. 

C’est une première en Arabie Saoudite, et c’est le ministère saoudien de la Justice qui le révèle dans la presse locale. Ces deux dernières années à Jeddah et Riyad, 382 femmes ont osé porter plainte contre leurs parents qui les empêchent de se marier avec l’homme de leur choix. Cela semble peu mais au regard d’une société conservatrice comme l’Arabie Saoudite, c’est le signe que les Saoudiennes sont désormais prêtes à défier l’ordre moral dans les familles, et à ne plus accepter la décision du père de famille ou le poids des traditions. Un petit vent de rébellion soufflerait-il en Arabie Saoudite ?

Avec notre correspondante à Riyad, Clarence Rodriguez