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Sam, Nov
SENETOILE NEWS

SENETOILE NEWS

L'ancien ministre français de la Culture Jack Lang ne mâche pas ses mots pour dénoncer les propos de Donald Trump sur les "pays de merde", qualifiant en retour le président américain de "président de merde".

L'ancien ministre de François Mitterrand a utilisé cette expression samedi sur son compte Twitter et sur Facebook.

Comme un cri de ralliement

Après le communiqué de presse, le Collectif des cadres de la Casamance a tenu une conférence de presse hier pour condamner à nouveau l’attaque de Boffa Bayottes. Devant les journalistes, Pierre Goudiaby Atépa, président de cette structure a accusé l’une des factions du mouvement séparatiste de la Casamance, d’être derrière le massacre de samedi dernier. Abdou Elinkine Diatta, l’ancien porte-parole du maquis, n’a pas passée sous silence cette sortie. 

mardi, 09 janvier 2018 20:37

Tuerie de Bofa : Karfa Diallo charge You

Karfa Sira Diallo ne décolère pas contre Youssou Ndour. Le fondateur de l’association Mémoires et partages ne comprend pas l’attitude du chanteur, qui a maintenu son concert à Cices alors que 13 personnes étaient tuées en Casamance. « Si ce massacre avait eu lieu à Dakar, Youssou Ndour aurait-il maintenu son concert », se demande-t-il cité par Le Quotidien. Pour Diallo, la fonction étatique qu’occupe le chanteur la lui imposait.

Contribution

 Informé de l’attaque armée contre des civiles dans la forêt de Brofaye, le Chef de l'Etat, Macky Sall, Chef suprême des Armées, a immédiatement convoqué le Conseil national de sécurité qui s’est réuni avant-hier, samedi 6 janvier 2018, au Palais de la République, informe un communiqué du gouvernement. Selon la source, «le Chef de l'Etat a déjà instruit les Forces de défense et de sécurité, activement engagées dans cette partie de la Basse Casamance, pour que force reste à la Loi. Il a également ordonné que les auteurs de cet acte criminel soient recherchés et traduits en justice.»

Sénégal

 13 morts et 7 blesses, tous des exploitants forestiers, coupeurs de bois; c’est le triste bilan d’un «carnage» survenu, avant-hier samedi, dans la forêt de «Bayotte» et perpétré par une quinzaine d’individus lourdement armés. A la recherche de bois dans cette forêt, ces coupeurs de bois ont été arrêtés, rassemblés puis froidement abattus par des hommes armés qui se sont fondu dans la nature. L’armée, fortement déployée sur les lieux, a aussitôt enclenché la traque aux auteurs encore non identifiés de ce carnage qui a fini par plonger la région dans la tristesse et la consternation. Le seul journaliste-reporté présent sur les lieux, Ignace Ndeye de Sud Fm, (Groupe Sud Communication) retrace le film horrible de ce drame. C’est un véritable carnage qui est survenu avant-hier, samedi 6 janvier dans la  forêt de «Bayotte», vers Bofa, lorsque des individus lourdement armés ont froidement exécuté des exploitants forestiers, tuant 13 personnes et blessant 7 autres qui seront évacués à l’hôpital régional de Ziguinchor. Images insoutenables de l’évacuation des corps à bord de charrettes jusqu’à Brofaye Baïnouk. Des corps criblés de balles, des corps calcinés de ces coupeurs de bois dont certains ont été égorgés, ont été d’abord acheminé à Brofaye Baïnouk, à quelques encablures de Mpack, village frontalier avec la Guinée-Bissau.

Si le tribunal correctionnel de Dakar suit la demande du Parquet, l'ancien président de la Jeanne d'Arc de Dakar et son ex-comptable, Abdou Dieng, risquent d'écoper 3 et 2 ans de prison ferme.
10 ans après cette fameuse transaction, le monstre noir rôde toujours. De ses longues dents pointues, il menace de dévorer goulûment Momar Ndiaye et Abdou Dieng. Anciens dirigeants du club de la Jean d'Arc de Dakar, Ndiaye et son ex-comptable risquent de retourner en prison.

Sénégal

 En route vers le palais de la République en 2019, Idrissa Seck ne devrait pas seulement se confronter à Macky Sall, l’actuel chef de l’Etat, ou autre candidat du Pds. Celui qui tend de plus en plus à s’emparer de la coalition Mankoo Taxawu Senegaal, avec les déboires de Khalifa Sall devant dame justice, semble être aussi appelé à franchir l’écueil Malick Gakou. Un leader de parti dont les cadres se sont empressés hier, jeudi, de renouveler leur engagement à sa candidature pour 2019, en finançant la caution nécessaire de 65 millions à l’élection présidentielle.

Le magazine hebdomadaire Nouvel Horizon, édité par la société Panafrican System Production (PSP), édite son «ultime publication», ce vendredi 5 janvier 2018, après 21 ans d’existence et 1053 éditions.  A travers un communiqué, PSP «fait part aux abonnés, lecteurs, annonceurs, aux confrères et amis de la décision de suspension de ses activités à partir de ce 2 janvier 2018. Le magazine Nouvel Horizon, produit phare de l’entreprise cesse conséquemment ses parutions après une ultime publication qui paraît ce 5 janvier 2018».

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Sénégal

 Le maire de Dakar, Khalifa Ababacar Sall, devra encore patienter pour son procès. En effet, juste après la réouverture de l’audience hier, mercredi 3 janvier, ses conseils ont fait état de failles dans la procédure qu’ils ont exploité à fond. Ces robes noires ont souligné le non respect de l'article 174 du Code de procédure pénale qui dispose que les avis doivent être mis à la disposition de toutes les parties, ce qui n'a pas été le cas, obligeant le président du tribunal, Malick Lamotte, à renvoyer l’audience jusqu’au 23 janvier prochain. Le procès en audience spéciale du maire de Dakar, suspendu après la première audience le jeudi 14 décembre dernier, est à nouveau renvoyé jusqu’au 23 janvier prochain par la Chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar. Ce report est survenu après une demande de la défense qui, pour plusieurs raisons a demandé hier, mercredi 3 janvier, le renvoi du procès à une date ultérieure.

Tout n'est pas rose à Diourbel. La commune fait partie des localités les plus en retard du Sénégal. Voilà qui est l'avis du Moddel. Le Moddel ou '' Mouvement Diourbellois pour le Développement Local '' accuse les dirigeants qui se sont succédé à la tête de la commune et du département et les traite de '' leaders fantômes ''. À en croire Abdou Aziz Bassel, le Président de la structure, le taux de pauvreté a fini d'atteindre des proportions inquiétantes dans l'agglomération. '' Ce qui nécessite, dit-il, une prise en charge efficace et urgente des préoccupations des populations ''.