Une délégation du PDS a été reçue vendredi à Touba par le khalife des mourides, Serigne Mountakha Mbacké. Les responsables libéraux, avec à leur tête Lamine Thiam, président de leur groupe parlementaire, ont transmis au religieux les salutations et le ziar de leur secrétaire général, Abdoulaye Wade, et de leur candidat pour la prochaine présidentielle, Karim Wade.
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Me Abdoulaye Wade préside à l'instant, dans un hôtel de la place, la réunion du Comité directeur. Le pape du Sopi qui est arrivé un peu après 18 heures au chapiteau réservé pour la tenue de cette rencontre politique ouverte à la presse, s'en est déjà pris à celle-ci. L'ancien président du Sénégal a tenu à corriger les journalistes pour leurs innombrables fautes d'orthographe. Cette douche froide encaissée, les reporters se sont ensuite vu consoler par le Pape du Sopi qui est aussitôt entré dans le vif du sujet. C'est pour dire à qui veut l'entendre que le Pds tient toujours. "Le PDS est toujours là malgré les tentatives de liquidation", requinque-t-il ses troupes.
Face à la presse dans sa résidence à Fann, Me Abdoulaye Wade s'est violemment attaqué au président de la République Macky Sall. Parlant du Chef de l'Etat, il déclare : "c'est un descendant d'esclaves. Les villageois l'ont sorti de là-bas. Il n'était pas sorcier, mais ses parents étaient anthropophages (pratique qui consiste à consommer de la chair humaine. Il s'agit d'une forme de cannibalisme mais qui concerne exclusivement l'espèce humaine). Ses parents mangeaient des bébés et on les a chassés du village.
C'est hélas l'image de notre pays qui s'en trouve écornée car les sénégalais sont appréciés dans le monde entier pour notre sens de la modération et de la courtoisie. Une telle violence verbale de la part de l'ancien premier magistrat du pays est tout simplement aux antipodes de ce que notre culture et religion nous enseignent dès le bas âge. Il est dommage qu'il choisisse de tourner le dos à la tradition républicaine dignement incarnée par les Présidents Senghor et Abdou Diouf qui ont porté leur statut d'anciens Chefs d'Etat avec élégance et retenue. Les circonstances de la politique, de la vie tout court aussi éprouvantes qu'elles puissent être ne sauraient autoriser une telle trivialité. Il est plutôt triste pour le Président Wade, pour tout ce qu'il a eu à représenter dans notre pays, d'en arriver là.
Il y’a une certaine dose d’arnaque politique chez certains leaders de la coalition Benno Book Yakaar. Cette position est défendue par Mamadou Ngom Niang, président du comité de soutien à l’action du président Macky SALL. Ce dernier estime qu’il n’est pas normal à pareil moment qu’on puisse parler de mise à niveau pour les leaders de la coalition sur les actions du Gouvernement. C’est pourquoi il souhaite que le chef de l’Etat puisse rendre opérationnelle l’Alliance pour la Majorité présidentielle pour parer à toute éventualité. Tout en écartant toute idée d’une retrouvaille entre le PDS et l’APR qui est incompréhensible, il dénonce les écarts de langage de Wade. Pour lui ce dernier se trompe d’époque.
Victor Kantoussan ne sera pas en tout cas celui qui chargera l’ancien ministre. Au deuxième jour de son audition, l’ancien garde du corps de M. Wade dit aux juges : «Karim est tout pour moi. Je suis très heureux d’être aux côtés de la famille Wade, ma place est aux côtés des opprimés, des faibles.
Les Wade ne sont pas des faibles mais je resterai à leur côté jusqu’à l’extinction du soleil.» Il avait pourtant un peu perdu de son audace de la veille qui mettait Henri Grégoire Diop et Cie dans tous leurs états. Mais M. Kantoussan a renoué avec sa verve vers la fin de son audition. «Si Abdoulaye fait appel à moi pour un service, quel qu’il soit, je me transformerai en vent, si je le peux, pour être plus rapide», ajoute-il. A propos de Karim Wade, il est formel : «Plus légaliste que (lui), il en existe rarement au Sénégal. Bien que je sois à ses ordres, il termine toujours ses demandes par ‘’s’il vous plaît’’. Et moi, je ne peux rien lui refuser.»
L’affaire Karim Wade ne laisse personne indifférent. Même pas Tiken Jah Facoly. L’artiste Ivoirien qui vit au Mali, a donné son point de vue sur le procès de Karim Wade au micro de la Rfm. Selon lui le sort actuel de l’ex ministre d’Etat est la résultante de la dévolution monarchique du pouvoir sous le régime libéral. Il dit « n’avoir pas été écouté par l’ancien régime ».
C’est le site Actusen.com qui le file l'info! Dans sa cour, Gorgui ne compte plus de neveu qui s’appelle Lamine Faye. Au motif qu’entre l’ancien Président de la République, Abdoulaye Wade, et son garde du corps qui était devenu, depuis plus d’une décennie, sa seconde silhouette, c’en est fini.
A l’origine de cette déchirure gardée secrète depuis plusieurs semaines et qu’Actusen.com a éventrée, un coup de froid entre les deux hommes, qu’aucun proche du secrétaire général national du Parti démocratique sénégalais n’a su réchauffer.
Mais selon des sources concordantes, le schisme entre l’oncle et son ci-devant “ex-neveu” est à rechercher dans le fameux chèque de 2,5 milliards F Cfa découvert par devers Alioune Aïdara Sylla, patron de la Société de promotion touristique, par ailleurs responsable libéral dans le département de Tivaouane, qui traîne une farouche réputation dans le business souterrain.
La taupe de Macky, entre autres chefs d’inculpation retenus par Gorgui contre son ex-neveu
iGFM- (Dakar) Les avocats de Karim Wade ont salué le verdict rendu par le juge Henry Grégoire Diop sur la constitution des avocats. Une requête déposée par les avocats de l’État le jeudi dernier. « Ce problème est réglé par la Constitution du Senegal en son article 54″ a soutenu Me Madicke Niang.
L’avocat nous a accordé un entretien concernant le très attendu procès de Karim Wade.
Les récits du colonel Ndao
« Un Officier de renseignement est un homme d’honneur, intelligent et disponible pour sa communauté. Son métier exclut l’apprentissage et l’amateurisme.
L’amateurisme est grave en termes de renseignement et l’exemple qui suit en démontre le caractère pernicieux et dangereux pour un Etat.
En l’absence du Général FALL, Haut Commandant de la Gendarmerie, en mission au Congo, j’ai participé à un fait grave et inimaginable pour la Sécurité nationale. Je me suis trouvé réveillé et convoqué à trois heures du matin par le président de la République, lui-même, pour participer à une réunion urgente de Sécurité nationale.
SETAL.NET-Le procès de Karim Wade attendu le 31 juillet prochain est parti pour être le plus retentissant des procès vu le nombre de témoins.
C’est la Cour de répression de l’Enrichissement illicite(Crei) qui a donné cette assurance de la tenue du procès de l’ex ministre, Karim Wade. Les audiences auront lieu à la salle des Assises du Palais de justice de Dakar.
Ils…Ce sont les apéristes qui, à chaque fois que l’occasion se présente, abreuve Wade d’injures, d’expression du genre « va te reposer » etc…
La dernière sortie d’un apriste est celle El Hadj Kassé sur les ondes de la RTS. Face au présentateur du journal qui n’avait aucunement fait allusion à Wade, celui qui se dit « cadre de l’APR », El Hadj Hamidou Kassé s’arroge le droit de se poser lui-même une question et d’y répondre. Et cette question c’était l’interprétation des résultats du PDS malgré la présence de Wade et ses sorties à travers rues et campagnes.
Au dernier tournant vers son procès, Karim Wade demande sa libération provisoire, dénonce sa «détention arbitraire» ainsi que la «violation» de ses droits par l’Etat et la Crei.
Selon nos confrères du Quotidien, Karim Wade tente le coup de force, une pirouette juridique qui vise en plein dans le mille l’engrenage dans lequel il est pris. Des sources proches de l’affaire révèlent que l’ancien ministre d’Etat, ministre de la Coopération internationale, de l’Aménagement du territoire, des Transports aériens et des Infrastructures a introduit une demande de liberté provisoire. Mieux, Karim Wade réclame tout bonnement sa «libération d’office». Pour lui, il est victime d’une «détention arbitraire». Convoquant les textes régissant la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), le fils du prédécesseur de Macky Sall estime qu’il ne devait pas être détenu au-delà de six mois.
Le Pr de Maths, Mary Teuw Niane, était bien maigre du temps de Abdou Diouf. On ne dit pas que Abdou Diouf était avare. Si vous le dites, le géant francophone pourrait s’en prendre à vous. A xibaaru, on dit qu’il n’a pas les mains d’un Talibé. Mais on peut dire que jusqu’en 2000, il mangeait le « Ndambé » (mets aux haricots) du Gorgoolu (débrouillard) sénégalais.
Comment Mary Teuw Niane a trahi son bienfaiteur Wade…
Mais dès que Wade arrive en mars 2000, les décrets pleuvent sur sa tête. Le président Wade, amoureux des Maths, le nomme Président du Jury du Grand Prix du président de la République du Sénégal pour les Sciences, session 2002.