Pierre Goudiaby Atepa et Adama Lam, respectivement président du Club des investisseurs sénégalais (Cis) et de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (Cnes) vont se rendre auprès du Khalife général des mourides et du chef de l’église catholique du Sénégal, Monseigneur Benjamin Ndiaye. Leur objectif, convaincre le président Macky Sall de s’asseoir avec son principal opposant Ousmane Sonko, afin de sortir le pays de cette situation de tension vive.
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Après Toussaint MANGA, Djamil SANÉ, c’est au tour du maire de Patte d’Oie de se retrouver dans l’œil du cyclone. En effet, interpellée hier, Maimouna DIEYE est accusée d’« appel à l’insurrection, actes de manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique ».
Ainsi, elle a été placée en garde à vue et détenue dans les locaux de la Division des Investigations Criminelles (DIC) en attendant son déferrement devant le parquet.
Le président de la République Macky Sall lors de la clôture de la cérémonie de lancement du dialogue national, a remercié les organisations participantes. Selon le chef de l’État, il y’a une situation dans ce pays qui interpelle tous les acteurs. « Il y’a une situation nouvelle dans notre pays où certains acteurs ont choisi de détruire la République. C’est leur choix. Et face à ce choix, je suis obligé de défendre cette République et quoi que cela puisse coûter. Nous ne pouvons pas accepter dans ce pays, des gens qui au quotidien, menacent des juges et recherchent leurs domiciles et d’y mettre le feu », avertit le président Macky Sall d’un ton ferme.
Pour réélire Macky Sall, toute la famille s’investit. Ibrahima Sall, discret jusque-là, a sillonné les rues de Dakar dans le cadre de la campagne. Découvrez le en pleine séance de charme à Sandaga
La réaction spontanée du Président de la République aux propos maladroits de son homologue américain, Donald Trump, traitant certains pays africains de "pays de merde", a été très appréciée par les internautes notamment sénégalais.
Cela dit, si ce Tweet de Macky qui a reçu hier soir plus de 7000 "Like" et plus de 5000 "Retweet", a affolé la toile, c'est parce que les internautes ont tous remarqué la faute du Chef de l'État sénégalais, visiblement trop pressé de réagir.
NON À LA DICTATURE CONSTITUTIONNELLE!NON AU MASSACRE DE LA VERTU!
Napoléon inventeur de la légion d'honneur disait:«C’est avec ces hochets qu’on mène les hommes… ».
Le cercle appelle les Sénégalais de tous bords, à sanctionner «la
dictature constitutionnelle» et à laisser par-dessus bords «ce
référendum de reniement » qui donne un goût très amer de « wax waxeet».
Face à la presse dans sa résidence à Fann, Me Abdoulaye Wade s'est violemment attaqué au président de la République Macky Sall. Parlant du Chef de l'Etat, il déclare : "c'est un descendant d'esclaves. Les villageois l'ont sorti de là-bas. Il n'était pas sorcier, mais ses parents étaient anthropophages (pratique qui consiste à consommer de la chair humaine. Il s'agit d'une forme de cannibalisme mais qui concerne exclusivement l'espèce humaine). Ses parents mangeaient des bébés et on les a chassés du village.
C'est hélas l'image de notre pays qui s'en trouve écornée car les sénégalais sont appréciés dans le monde entier pour notre sens de la modération et de la courtoisie. Une telle violence verbale de la part de l'ancien premier magistrat du pays est tout simplement aux antipodes de ce que notre culture et religion nous enseignent dès le bas âge. Il est dommage qu'il choisisse de tourner le dos à la tradition républicaine dignement incarnée par les Présidents Senghor et Abdou Diouf qui ont porté leur statut d'anciens Chefs d'Etat avec élégance et retenue. Les circonstances de la politique, de la vie tout court aussi éprouvantes qu'elles puissent être ne sauraient autoriser une telle trivialité. Il est plutôt triste pour le Président Wade, pour tout ce qu'il a eu à représenter dans notre pays, d'en arriver là.
Le développement d’un pays repose d’abord sur la paix et à la stabilité. Or, la seule chose qui menace notre stabilité, c’est le terrorisme. Le terrorisme n’est pas l ‘Islam. Cela n’a rien à voir.
Dernièrement je suis parti à Paris et cela a suscité une polémique. Comme je l’ai dis pendant mon séjour au Burkina Faso, le Sénégal est un pays de paix. Nous voulons la paix et Dieu merci nous l’avons. Nous souhaitons que cette paix perdure.
L’OBS – Devant les leaders de «Macky2012» qu’il avait conviés hier à un déjeuner au Palais, le Président Macky Sall a fait savoir que c’est un faux débat de dire qu’on ne peut pas être chef de l’Etat et chef de parti, et qu’il va toujours diriger son parti.
Macky Sall est catégorique. Pour rien au monde, il ne va quitter la direction de son parti, l’Alliance pour la République (Apr). Le chef de l’Etat l’a fait savoir hier aux leaders de la coalition «Macky2012» qu’il avait conviés à un déjeuner de travail au Palais de la République. Pour Macky Sall, c’est un faux débat de dire qu’on ne doit pas être à la fois chef de l’Etat et chef de parti. «Il est hors de question que je quitte la direction de mon parti, je resterai toujours chef de mon parti», affirme le Président Macky Sall. Qui récuse ainsi la proposition de la Commission nationale de réformes des institutions (Cnri) consistant à interdire dans notre arsenal juridique le cumul de la fonction de chef de l’Etat à celle de chef de parti. Mais pour Macky Sall, il n’est pas question de quitter la tête du parti qui l’a porté au pouvoir.
iGFM – Arrivera-t-il un jour où sécheront ces larmes de crocodile ? Arrivera-t-il un jour où s’estomperont ces paroles de circonstance faussement émues, faussement sincères et démagogiques ? Oubliera-t-on, huit jours après le lâche assassinat de Bassirou Faye, mort à un âge où l’on ne devrait pas mourir de la sorte ? Fera-t-on nôtre, cette assertion de Saint-Augustin : «A force de tout voir on finit par tout supporter…A force de tout supporter on finit par tout tolérer…A force de tout tolérer on finit par tout accepter…A force de tout accepter on finit par tout approuver.» Comme on a oublié les autres, tous les autres crimes jamais élucidés puisque sans criminels.
L'ancien Premier ministre poursuit de plus belle ses attaques contre le Président de la République. Hier, encore, au domicile d'Abdoulaye Baldé, Idrissa Seck a comparé Macky Sall au virus Ebola, cela au regard de la "carence" de ce dernier dans la gestion du pouvoir. "Dernièrement, quelqu'un m'a dit que c'était heureux que l'Ebola ne soit pas entré au Sénégal, mais ce qu'il ne savait pas, c'est que c'était Macky Sall, le grand Ebola" a déclaré Idrissa Seck aux journalistes.
L’OBS – Le groupe Keur-Gui a sorti cette semaine un single intitulé «Diogoufi !» (Album Encyclopédie, Chapitre 1). Une véritable bombe contre le régime en place. Prétexte ne pouvait être mieux trouvé pour se pencher sur le mouvement «Y en a marre» qui compte en son sein les rappeurs Thiat et Kilifeu du groupe Keur-Gui. Radioscopie d’un mouvement contestataire né d’une coupure d’électricité.
L’OBS – «Ils l’ont fait pour des raisons commerciales, mais ils ne sont pas inspirés par les mêmes principes républicains qui les avaient amenés à soutenir le Président Macky Sall»
«Dire que rien n’a changé dépend de celui ou ceux qui parlent. Mais on peut leur répondre sur plusieurs plans. Sur le plan de la gouvernance, dans le cadre de la gestion des deniers publics, ils (Groupe Keur Gui) devaient demander à ceux qui détenaient des lignes téléphoniques et qui ne travaillaient sur aucun service, aucune administration, s’il n’y a pas un changement.
Je me suis réveillée ce mardi matin avec un pli de quotidiens aux titres rivalisant de fougue pour qualifier ce qu’ils assimilent à une bourde.
La veille en effet, le ministre Mbagnick Ndiaye a eu la “maladresse” ou la “galanterie”, de rendre un hommage national à la Première Dame du Sénégal, Mme Marième Faye Sall, pour un supposé coup de pouce que cette dernière lui aurait donné dans son ascension à la “dignité” ministérielle.
Vu le lieu d’où le message est parti, l’effet médiatisation est tout garanti. Au Sénégal, la passation de service n’est pas seulement un acte administratif de transmission de témoin et de dossiers.
« Il est temps que le Sénégal rende un hommage national à sa première dame. Nous devons oser le faire, car en plus d’être accueillante et avenante, Marième s’est faite la voix de tous ces malheureux « qui n’ont point de bouche » et le relais de leurs misères ; qui plus est, la fondation qu’elle manage de main de maître ne cesse d’encourager les sénégalais à devenir de véritables acteurs de l’émergence, mais aussi de leur propre réussite ». Lorsque je publiais ces lignes dans un article paru dans la presse du vendredi 28 juin 2013 (il y a plus d’un an), je ne m’attendais pas à ce que ce vœu profond et sincère fasse son chemin dans l’esprit de certains piliers de la République.
Jamais dans l'histoire de la République du Sénégal, une Première Dame n'avait soulevé autant de polémique. Les trois précédentes premières dames, toutes plus coquettes, n'avaient jamais été aussi présentes dans l'exercice du pouvoir de leurs époux.
Colette Senghor était l'intellectuelle parfaite dans le décor. On entendait son nom lors des visites officielles et on la voyait dans les photos officielles. Mais sa voix était rarement perceptible. Du moins on ne l'entendait jamais. Et pourtant, elle était d'une beauté et d'une classe digne d'une première dame.
L’OBS – Anta Sarr Diacko brise le silence. L’ex-ministre de la Femme parle de son limogeage de la tête de ce département.
Tête de liste proportionnelle de la coalition Benno Bokk Yaakaar (Bby) à Sicap Liberté, Anta Sarr Diacko, qui avec Alioune Mara comme tête de liste majoritaire, n’a pas pu gagner dans sa commune n’a pas échappé au sabre du chef de l’Etat. Hier, elle a convié ses militants à une rencontre dans son fief, pour leur faire part de ses sentiments après son limogeage du gouvernement. L’ex-ministre de la Femme dit avoir accompli sa mission. «J’ai rempli ma mission à la tête de ce département, c’est-à-dire, aller au contact des femmes, voir leurs difficultés et éventuellement les accompagner, comme l’a voulu le président de la République», avoue-t-elle.
SETAL.NET-Le procès de Karim Wade attendu le 31 juillet prochain est parti pour être le plus retentissant des procès vu le nombre de témoins.
C’est la Cour de répression de l’Enrichissement illicite(Crei) qui a donné cette assurance de la tenue du procès de l’ex ministre, Karim Wade. Les audiences auront lieu à la salle des Assises du Palais de justice de Dakar.
L’OBS – «J’ai l’impression que le Président Macky Sall n’a pas tiré les bons enseignements de ces élections locales, j’ai le sentiment qu’il fait tout dans la colère. Pour gagner une élection, il a besoin d’une base solide. Il doit aussi avoir un ancrage solide dans la coalition Bby, c’est là que réside son salut. Au Sénégal, les partis politiques ne gagnent plus les élections seuls, ce sont les coalitions qui gagnent. Donc si Macky veut avoir ses chances intactes pour 2017, il a intérêt à s’ancrer dans Bby.
L’OBS – L’homme est réputé esprit libre, il n’est pas du genre à se muer en laudateur très facilement. Adama Gaye, journaliste-consultant, représente encore une certaine idée du Sénégal qui refuse de se plier à la connivence intéressée, ou à la flagornerie béate. A l’heure où les laudateurs se sont défilés pour saluer l’arrivée de Mahammed Dionne comme Premier ministre du Sénégal, lui pense que l’ère des messies en politique est révolue.
Un torrent d’éloges s’est abattu sur le nouveau Premier ministre Mahammed Dionne. Pensez-vous qu’il soit l’homme de la situation?
Souriante, digne, ultra-sénégalaise dans son accoutrement d’hier à la passation de services avec son successeur, Aminata Touré n’a rien laissé paraître des sentiments qui peuvent l’habiter en ce moment. Comme si, depuis son départ acté de la Primature, elle avait passé une partie de son temps à s’entraîner aux techniques de maîtrise des émotions qui font la force des grands endurants devant l’éternel, dit-on.