La Colombie remporte un succès crucial (3:0) sur la Pologne, qui lui permet de rester maîtresse de son destin à la veille de l’ultime journée. En revanche, pour les Polonais, l’aventure en Coupe du Monde de la FIFA 2018™ n’ira pas au-delà de la phase de groupes.
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- Le Japon a réalisé un grand numéro contre la Colombie
- Revanche de 2014 et première victoire face aux Cafeteros
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Non content de surprendre la Colombie à la Mordovia Arena, le Japon a fait d’une pierre trois coups : il a remporté sa première victoire face aux Cafeteros, vengé sa lourde défaite (4:1) face à ce même adversaire en 2014 et engrangé trois points précieux dans le Groupe H.
La Colombien n'avait rien à perdre, tout le contraire du Brésil lors de ce deuxième quart de finale de Brésil 2014. Grâce à deux buts signés de ses défenseurs centraux, le pays hôte s'est offert le droit d'affronter l'Allemagne en demi-finale, ce sera le 8 juillet à Porto Alegre.
Face à une équipe joueuse et rapide, les Auriverde ont eu la bonne idée d'ouvrir le score rapidement par le genou de son capitaine Thiago Silva suite à un corner (1:0, 7'). La Colombie tentait de revenir par Cuadrado (11'), mais c'est bel et bien la Seleçao qui est la plus mordante, et il faut un David Ospina vigilant pour empêcher Hulk (20', 28') de doubler la mise.
Radamel qui ? Où sont passées les interrogations sur le niveau de la Colombie depuis qu’elle est privée de Radamel Falcao ? Disparues à mesure que le talent de James Rodriguez éclate au grand jour. Auteur d’un doublé, le milieu de terrain a battu presque à lui seul l’Uruguay en huitième de finale de Brésil 2014.
Et si l’absence du Tigre passe inaperçue, celle de Luis Suarez dans les rangs uruguayens est flagrante, Edinson Cavani manquant de soutien. Pas sûr cependant que le Pistolero aurait empêché Rodriguez de contrôler de la poitrine à 20 mètres du but, et d’enchaîner en pivot une volée du gauche sous la barre de Fernando Muslera (1:0, 28’) ! Encore une fois : Radamel qui ? La réaction charrua vient de Cavani, qui dévie à bout portant une frappe de Maximiliano Pereira pour faire briller David Ospina (39’).
Une victoire ternie par des incidents. Les Colombiens ont célébré la première qualification en quart de finale d’un Mondial de leur équipe de football, victorieuse 2-0 samedi de l’Uruguay. Mais ces festivités ont été ternies par des incidents.
Les habitants de Bogota, la capitale, ont dans un premier temps bravé la pluie pour danser dans les rues sur un air de salsa. Plusieurs milliers de personnes se sont ainsi rassemblées après le coup de sifflet final sur la place Bolivar, la plus grande de la ville, aux cris de «Colombie, Colombie». Mais des violences ont éclaté. Un premier bilan fait état de 274 rixes, de cinq personnes blessées et d’un mort pour la seule Bogota.
Quand la Colombie aligne ses coiffeurs, cela donne une équipe avec le meilleur buteur du championnat portugais Jackson Martinez, le deuxième meilleur artilleur de celui d’Allemagne Adrian Ramos, l’un des plus grands espoirs du football mondial Juan Quintero, et un milieu titulaire à l’Inter Milan, Fredy Guarin. Rien que ça… En face, le Japon aligne son meilleur onze, avec notamment un trident offensif Shinji Kagawa – Keisuke Honda - Shinji Okazaki.
La Colombie a pris place dans le fauteuil de leader du Groupe C en venant à bout de la Côte d'Ivoire. Un match nul entrela Grèce et le Japon dans l'autre match serait synonyme de second tour pour les Cafeteros.
Le premier acte est équilibré, mais assez pauvre en occasions franches. Les deux équipes déroulent tour à tour leur jeu inventif et offensif, mais les lignes arrière ont le dernier mot, bien aidées par la maladresse des finisseurs, tel Teofilo Gutierrez qui laisse un caviar de James Rodriguez sur le coin de l'assiette (28').
La Colombie a fait forte impression, samedi, en passant trois buts à la Grèce (3-0) lors du premier match du groupe C. Les Sud-américains, séduisants et efficaces, seront à surveiller durant cette Coupe du monde.
Il ne faisait pas bon être supporter grec, samedi après-midi, du côté de l’Estádio Mineirão de Belo Horizonte. Non pas que les abords du stade fussent dangereux. Non, le problème était plutôt sonore. Pas sûr en effet que les joueurs hellènes aient pu entendre le moindre encouragement de la rencontre, tant le peuple colombien a occupé l’espace, qu’il soit sonore ou visuel. Forcément, le Brésil n’est pas très loin me direz-vous. Reste que les "Cafeteros" peuvent compter sur un public fidèle, sans doute l’un des plus fervents de la compétition.