« Il est temps que le Sénégal rende un hommage national à sa première dame. Nous devons oser le faire, car en plus d’être accueillante et avenante, Marième s’est faite la voix de tous ces malheureux « qui n’ont point de bouche » et le relais de leurs misères ; qui plus est, la fondation qu’elle manage de main de maître ne cesse d’encourager les sénégalais à devenir de véritables acteurs de l’émergence, mais aussi de leur propre réussite ». Lorsque je publiais ces lignes dans un article paru dans la presse du vendredi 28 juin 2013 (il y a plus d’un an), je ne m’attendais pas à ce que ce vœu profond et sincère fasse son chemin dans l’esprit de certains piliers de la République.