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Ven, Nov

La section Saes et les étudiants de la Faseg de l’Ucad ont tenu un sit-in hier pour dénoncer la transformation de leur faculté en dépotoir d’ordures et garage à ciel ouvert.

Le décor de l’arrière-cour de la Faculté des sciences économiques et de gestion (Faseg) de l’Uni­versité Cheikh Anta Diop de Dakar ressemble à un capharnaüm : Des camions en panne, des gravats et des ordures souillent le sol. Las de supporter cette situation, les enseignants de cette faculté attirent l’attention des autorités universitaires sur la nécessité de faire en sorte que cet espace soit digne d’un lieu où se déroulent des cours.

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Face aux menaces des techniques de fracking sur les habitants, l’eau et l’environnement, les associations et personnes réunies à Bizerte les 8 et 9 mai 2015, ont décidé de créer UN FORUM MEDITERRANEEN CONTRE LE FRACKING ET LES GAZ DE SCHSITE. Elles ont adopté une charte de fonctionnement et un programme d’action ainsi que deux motions en faveur des habitants de Ain Salah en Algérie et à ceux d’EL Faouar en Tunisie.

le forum méditerranéen contre le fracking et les gaz de schsite a adopté la charte suivante :

Le Forum Méditerranéen Contre le Fracking et le Gaz de Schiste adopte la charte suivante :

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C’est un secret de polichinelle que de dire que les médecins sont tenus par le serment d’Hippocrate. Malheureusement, certains médecins l’ont appris à leurs dépens. C’est le cas de ce médecin gynécologue sénégalais qui a eu l’indélicatesse de partager sur Facebook l’intimité d’une patiente, relate le site Afrique360. Ce qui n’a pas manqué de provoquer l’ire de certains internautes.

Il s’agit d’une histoire de touché vaginal à propos duquel il a posté  ceci sur son mur Facebook : « Patiente de 35 ans, VG, IVG, dont un avortement. Reçue pour douleurs abdominales, leucorrhées, brûlures mictionnelles. Première partie de l’examen physique sans particularité mais en voulant faire le TV, elle refuse. Motif : j’ai de très gros doigts ? C’est décidé soit je fais spé paraclinique ou pédiatrie », ironise-t-il.

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La lutte contre les faux médicaments mérite d’être inscrite au rang des priorités, en Afrique qui en subit un lourd préjudice. Une recommandation, parmi d’autres, qui émane du séminaire sur la problématique des faux médicaments qui s’est tenu les 27 et 28 avril à Dakar. Selon le professeur Marc Gentilni, délégué de la fondation Chirac, le trafic des médicaments est plus développé et plus vicieux que le trafic de drogue.
Environ 15% des médicaments dans le monde sont des contrefaçons et dans certaines régions, ce taux peut dépasser 60%. 

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Dr. Mehenou Amouzou était en Afrique quand il rencontra deux employés de la Croix Rouge Togolaise. Ces messieurs allaient de quartier en quartier en sensibilisant la population sur les moyens d’éviter le Choléra. Ils conseillaient entre autres de se laver les mains après les besoins, de laver les fruits, de couvrir les toilettes, etc.

 

Dr Amouzou eu un entretien de 20 minutes avec ces représentants. Après s’être présentés, ils lui servirent d’abord leur discours habituel sur le Choléra, c’est-à-dire, sa définition, ses voies de contaminations et les conseils pour l’éviter en insistant sur l’importance de mettre de la javel pour désinfecter l’eau de consommation.

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A l’occasion de Planet 21 Day, la journée mondiale de mobilisation des collaborateurs Accor en faveur du développement durable, le Groupe a mis en partage ses réalisations et ses avancées tant environnementales que sociales. L’occasion également de valoriser les initiatives des hôtels du Continent africain.

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Le Comité de rénovation de Pout-Diender organise, en collaboration avec la mairie de Pout, la 14ème journée médicale feu Alioune Badara Diagne, premier maire de Pout et ancien président de la Fédération sénégalaise de Basket, le samedi 16 mai prochain à Pout.

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La route tue environ 186 000 enfants chaque année à travers le monde, selon l’Organisation mondiale de la santé. Au même moment,  10 millions d’enfants souffrent de traumatismes non mortels, selon L’Unicef. Au Sénégal où 350 accidents se produisent chaque année, les jeunes représentent 20% des victimes.

La route est un mouroir pour les enfants : Chaque année, 186 000 meurent dans des accidents de la circulation à travers le monde. Soit 500 morts par jour, selon l’Organisation mondiale de la santé (Oms) dont les statistiques ont été dévoilées hier par Makhtar Faye, directeur exécutif de la Nouvelle prévention routière lors de la 13 éme Semaine nationale de la prévention routière. 

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La semaine mondiale de la vaccination a pour objectif de « combler les lacunes en matière de vaccination » et de présenter « un cadeau pour la vie » en Afrique

 

Le cancer du col de l'utérus est le cancer le plus fréquent en Afrique

 

JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 29 avril 2015-- La Semaine mondiale de la vaccination (SMV) de l'Organisation mondiale de la Santé, qui se déroule cette année du 24 au 30 avril, vise à sensibiliser la population à l'importance de la vaccination pour les personnes de tous âges et à augmenter les taux de vaccination contre les maladies pouvant être évitées par la vaccination dans le monde entier. 

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  L’urbanisation et les transformations rurales ont beaucoup influé sur la consommation alimentaire dans les grandes villes Africaines. Ce qui a beaucoup influé sur les habitudes alimentaires des populations. Nicolas Bricas, Chercheur au CIRAD, estime qu’il y a un problème de dérèglement alimentaire dans les villes d’Afrique de l’Ouest où les gens consomment trop de sucres et trop de matières grasses. Il s’exprimait hier, lundi 4 mai, à Dakar, à l’occasion d’un atelier sur la consommation alimentaire organisé par l’Initiative Prospective Agricole et Rurale (IPAR), en partenariat avec l’Institut international pour l’environnement et le développement (IIED).  

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Grand de près d’un million d’hectares de superficie, (913 000 ha), le Parc national du Niokolo Koba traversait de grosses difficultés, liées à l’assèchement de ses mares. Toutes les mares, qui se trouvent dans le parc, ont tari, du fait d’un déficit pluviométrique noté lors de la dernière saison des pluies. Selon le Colonel Souleye Ndiaye, directeur des Parcs nationaux, habituellement, le parc enregistrait entre 1 200 voire 1 500 mm de pluie. Ce qui faisait que durant toute la saison sèche, les animaux pouvaient s’abreuver dans les mares dont la plus célèbre est celle de Simenti. 

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