Un vaccin expérimental contre le virus Ebola est en cours d’études aux Etats-Unis et pourrait être disponible en novembre pour une utilisation prioritaire sur les personnels de santé, annonce un communiqué parvenu au journal Le Quotidien.
Un vaccin expérimental contre le virus Ebola est en cours d’études aux Etats-Unis et pourrait être disponible en novembre pour une utilisation prioritaire sur les personnels de santé, annonce un communiqué parvenu au journal Le Quotidien.
Le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Awa Marie Coll Seck, a déclaré mercredi que le Sénégal n'envisage pas à l'heure actuelle de revenir sur la fermeture de ses frontières avec les pays touchés par le virus Ebola.
‘’A l’heure où je vous parle, le Sénégal n’a pas encore remis en question la fermeture de ses frontières’’, a-t-elle dit au cours d’une conférence de presse.
Le Sénégal a décidé depuis le 21 août dernier de fermer à nouveau ses frontières terrestres avec la Guinée, "compte tenu de l’évolution de la fièvre hémorragique à virus Ebola, qui pose un problème de santé publique de portée mondiale".
Cette mesure est étendue aux frontières aériennes et maritimes pour les aéronefs et navires en provenance de la République de Guinée, de la Sierra Leone et du Liberia.
La mort d’un jeune homme dans un car de transport en commun a créé la psychose ce lundi à Touba. L’homme a vomi du sang avant avant de rendre l’âme créant ainsi une débandade sans pareille chez les autres passagers du véhicule. Selon une correspondance particulière de votre site de référence senego.com, le jeune homme venait du Nord du pays précisément de Ourossogui.
Le sous-préfet de Ndame et les autorités de la ville sainte ont câblé les responsables du district sanitaire qui ont rappliqué dare dare avec les sapeurs. Ces derniers après avoir déposé le corps de la victime à la morgue de l’hôpital Matlaboul Fawzeyni, ont désinfecté le car et les alentours du lieu de l’incident.
Le Sénégal n’a pas encore trouvé un traitement contre Ebola, mais son système de santé est en mesure de "faire le traitement des symptômes" de la fièvre causée par ce virus, a déclaré, mercredi à Dakar, la ministre sénégalaise de la Santé et de l’Action sociale, Awa Marie Coll Seck.
"Aujourd’hui, il n’y a pas de traitement. Le Sénégal n’a pas de traitement. Par contre, il a la capacité de faire le traitement des symptômes", a-t-elle dit lors d’une conférence de presse.
Mme Seck affirme qu’il n’existe actuellement pas de maladie à virus Ebola au Sénégal, le seul "cas importé" étant en état de convalescence au centre hospitalier universitaire de Fann, à Dakar.
Une dizaine de Guinéens attendent leur expulsion dans un poste de la police sénégalaise, près de la frontière, fermée en raison d’Ebola. Ils ont été arrêtés avec le concours de villageois intraitables: « Nous ne voulons pas qu’ils amènent la maladie dans notre pays », dit l’un d’eux.
Le Sénégal est devenu fin août le cinquième pays touché par l’épidémie de fièvre hémorragique en Afrique de l’Ouest, avec la découverte d’un premier cas, un étudiant guinéen entré dans le pays juste avant la fermeture des frontières avec la Guinée le 21 août.
L'organisation mondiale de la Santé a rendu public hier, vendredi 5 septembre 2014, son premier rapport sur la prévention du suicide. Si plus de 800 000 personnes meurent chaque année de suicide dont 75% sont commis dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. En atteste la région de l'Asie du sud-est où le taux de suicide est le plus élevé. A la considération de cette situation, l'Oms recommande aux pays touchés d'adopter une politique de réduction de l'accès aux moyens de se suicider.
iGFM- (Dakar) Face à la presse cet après-midi, le ministre de la santé et de l’action sociale a déclaré que les résultats des dernières analyses effectuées sur le « cas importé » de fièvre à virus Ebola son négatifs. Ces résultats attestent la guérison du patient qui n’est plus contagieux. Il est actuellement en convalescence dans le Service des Maladies infectieuses de l’Hôpital de Fann, avant de rentrer dans son pays d’origine.
Cependant les 67 personnes ayant été en contact avec ce malade continuent d’être suivies selon les procédures et aucune d’elles n’a jusqu’à présent développé de signes de la fièvre à virus Ebola.
La plupart des compagnies aériennes ont interrompu leurs vols vers les trois pays les plus touchés par Ebola, ce qui complique la tâche de ceux qui luttent contre l’épidémie. Alors que des experts soulignent l’importance d’une bonne prise en charge des patients sur le terrain – complément indispensable à la recherche de traitements et vaccins –, la communauté humanitaire basée à Dakar a en effet besoin d’un corridor pour acheminer son aide.
Depuis trois semaines, le Sénégal a fermé ses frontières terrestres, maritimes et aériennes aux trois pays les plus touchés par la fièvre Ebola. Si les humanitaires engagés dans la lutte comprennent ces mesures, celles-ci posent en retour d’autres problèmes particulièrement graves.
Tandis que l’épidémie d’ébola ne cesse de s’étendre en Afrique de l’Ouest, l’Organisation Mondiale de la Santé (Oms) a proposé huit traitements ainsi que deux vaccins expérimentaux à développer au plus vite, à l’occasion d’une réunion organisée jeudi et vendredi à Genève.
La Communauté internationale tente d’accélérer sa riposte contre ébola. Quelque 200 experts se sont réunis, jeudi 4 septembre, à Genève pour analyser les «possibilités de production et d’utilisation» des différents traitements et vaccins proposés par l’Oms.
L’étudiant guinéen, infecté par le virus d’Ebola chez lui et hospitalisé à la Clinique des maladies infectieuses de Fann, depuis près de deux semaines, est sauvé. Il a en effet fait l’objet de prélèvements dimanche et lundi derniers, lesquels sont revenus négatifs. Maintenant que sa vie est hors de danger, les autorités sénégalaises étudient les conditions dans lesquelles, il va être ramené dans son pays.
Le Sénégal a réussi à tirer d’affaire, le malade guinéen, hospitalisé depuis près de deux semaines à la Clinique des maladies infectieuses de l’hôpital de Fann.
Le risque est encore très élevé pour le Sénégal concernant la menace ébola. C’est l’avis du ministre de la Santé et de l’Action sociale, Awa Marie Coll Seck qui faisait hier le point avec les membres de la Commission santé et social de l’Assemblée nationale sur l’épidémiologie, les actions de ripostes et la gestion des cas de l’épidémie à virus ébola.
Le Sénégal n’a pas encore fini avec le jeune étudiant guinéen qui a importé le virus ébola à Dakar. Les services du ministère de la Santé et de l’Action sociale ont dénombré 67 personnes contact dont 34 membres de sa famille vivant toutes dans la maison où il a séjourné aux Parcelles assainies. Et aussi 33 autres personnes contact issues du personnel soignant. Ce chiffre a été annoncé par le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Awa Marie Coll Seck, au cours d’une séance d’informations avec les députés, organisée par la Commission santé et social de l’Assemblée nationale.
Les Comités départementaux de gestion et d’évaluation de l’épidémie d’Ebola dans la région de Matam vont entreprendre un travail de sensibilisation pour amener les talibés guinéens à ne pas se rendre dans leur pays pour la célébration de la Tabaski, prévue début octobre, a appris l'APS.
Cette initiative a été prise, jeudi, lors d’une réunion présidée par le gouverneur de la région de Matam, Cheikh Kane Niane.
Dans le cadre de cette sensibilisation, les marabouts seront mis à contribution, a dit Doudou Sène, Médecin-chef de région, expliquant que l'initiative vise à leur éviter toute contamination une fois en Guinée où l'épidémie d'Ebola sévit depuis le début de l'année.