L’OBS – Le rapport sur les élections municipales et départementales du 29 juin dernier a été remis au chef de l’Etat. Doudou Ndir et ses collègues ont fait des propositions et ont surtout donné des pistes de solutions pour régler le cas de Touba Mosquée
Selon Me Assane Dioma Ndiaye, président de la Ligue sénégalaise des droits de l’homme (Lsdh), l’Afrique cherche à faire échec à la Cour pénale internationale en créant sa propre justice pénale. Il s’exprimait ainsi hier, mardi 30 septembre, lors d’une journée de réflexion et d’échange sur la justice pénale internationale.
L'affaire Bassirou Faye du nom de l'étudiant tué le 14 aout dernier, à L'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, suite à une manifestation violence contre le retard des bourses s'est invitée ce samedi, à la réunion de l'Alliance pour la République (Apr), présidée par Macky Sall.
Poursuivant ses investigations, derniereminute.sn revient avec le procès-verbal d'audition de Bibo Bourgi à la CREI. Celui qui reconnait être un ami de Karim Wade est revenu en long et en large sur toutes ses sociétés dont il détient au Sénégal et en France dont la plupart est attribué à Karim Wade. Bibo qui dit ne pas ne pas reconnaître les faits qui lui sont reprochés a été très clair devant le juge d'instruction de la CREI.S.I.R : je conteste les faits qui me sont reprochés. Je n’ai, ni d’une façon directe ni indirecte, contribué à l’enrichissement présumé de Monsieur Karim Meïssa Wade.
L’Afrique doit investir dans la formation de ses juges en matière de Droit pénal international pour s’affranchir de la Cour pénale internationale. Pour le premier président de la Cour d’appel de Dakar, Demba Kandji, ni ses juges, ni ses avocats encore moins ses officiers de police judiciaire ne sont dotés de compétence pour ce genre de procès.
QUESTION : Quelle est votre profession, votre parcours professionnel et quelles sont vos fonctions actuelles ?
REPONSE : Je suis comptable de formation et à ma sortie, j’ai travaillé pendant 6 mois à l’ONCAD, puis j’ai été recruté par les pétroles BP. Trois ans après, j’ai décidé de travailler pour mon compte personnel et j’ai demandé à gérer une station hors-bord. Cela m’a permis de me familiariser avec le secteur de la pêche où j’ai constaté qu’il n’y avait pas de pièces détachées pour les moteurs hors-bord. J’ai alors décidé de m’investir en important des pièces détachées de ces machines jusqu’en 1984, date à laquelle je me suis associé avec un belge dont je ne me souviens plus du nom pour importer des machines hors bord de marque MARINAIR destinés au marché local. Parallèlement, je continuais les activités de vente des pièces détachées de moteurs de marque YAMAHA.
Le combat pour que le flux irresponsable d’armes cesse d’occasionner des souffrances prend un nouveau tournant. Le Traité sur le commerce des armes (TCA) entre en vigueur, les 50 ratifications nécessaires étant dépassées. Cet instrument juridique consacrera une avancée notoire dans la réglementation du commerce de ces engins qui tuent au moins un demi-million de personnes chaque année, en moyenne. S’y ajoutent plusieurs millions d’autres blessées, violées et forcées de partir de chez elles du fait de la faible réglementation du commerce mondial des armes.
La fondation de la première dame Marième Faye Sall passe désomais à l’attaque. En effet, après les piques acerbes de membres de l’ordre des architectes du Sénégal et du Bureau National de l’Association des Jeunes Marabouts Citoyens dirigé par Serigne Assane M'BACKE ibn Serigne Atékh Falilou qui la menace d’une plainte, à son tour, la Fondation via ses avocats avec à leur tête Me El Hadj Diouf, va leur servir des citations pour diffusion de fausses nouvelles.
La réciprocité du visa instauré depuis quelques mois avait suscité un espoir fou pour les Sénégalais qui y voyaient un désir de souveraineté de nos autorités. Mais la montagne semble accoucher d'une souris tant l'inorganisation est érigée en mode de gestion.
Selon un diplomate qui a requis l'anonymat, "dans les pays souverains, la question est gérée par les ministères des Affaires Étrangères et de l'Intérieur, mais au Sénégal, elle est confiée à un privé ôtant ainsi au pays un levier important."
Des infos glanées dans le milieu, il ressort que "le plus dramatique dans cette affaire est que les Services de Police, comme la DST et la DPAF qui des années auparavant s'occupaient de la délivrance du visa, n'ont pas été conviés lors des discussions et cela se répercute actuellement sur tout le processus, au grand regret des demandeurs, nous confie une source au Ministère de l'intérieur".
A la suite de la remise du rapport du Cese, le Président a informé que toutes les mesures seront prises pour que tous ceux qui redevables de la déclaration de patrimoine procèdent à cette déclaration à partir de la fin du mois d’octobre.