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Sam, Nov
La Une de la Presse

La Une de la Presse (1514)

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Le Bureau politique de l’Alliance des forces de progrès (Afp) va barrer la route à tout responsable «progressiste » qui ose afficher ses ambitions de succéder à Moustapha Niasse, actuel patron du parti. En réunion hier, il a pris la décision «d’ériger des garde-fous afin d’éviter que des stratégies isolées ne l’emportent sur la ligne du Parti ». Pour l’heure, souligne le communiqué dudit bureau, « la succession de Monsieur Moustapha Niasse n’est pas à l’ordre du jour». Comme quoi, le choc des ambitions a été différé.

MOUSTAPHA NIASSE, LEADER DE L’ALLIANCE DES FORCES DE PROGRES - «Je ne cautionnerai aucune candidature de l’Afp face à Macky Sall»

L'OBS - Moustapha Niasse a été on ne peut plus clair, lors du Bureau politique de son parti, hier. Le patron des progressistes n’entend pas se présenter devant Macky Sall et ne cautionnera aucune candidature qui visera à défier Macky Sall.

Il a enfilé ses habits de chef. Hier, lors d’un long face-à-face avec les membres du Bureau politique (Bp) de son parti, à leur permanence sise à Sacré-Cœur (Dakar), Moustapha Niasse, leader de l’Alliance des forces de progrès (Afp), a montré qu’il était toujours d’attaque et que son compagnonnage avec Macky Sall ne saurait souffrir d’aucune contestation. Le président de l’Assemblée nationale est au cœur du…Macky. «L’Afp est dans Bennoo Bokk Yaakaar. 

Le procureur de Matam a confié hier à la presse, avoir fait l’objet de menaces de sa hiérarchie. Cheikh Diakhoumpa, qui a entendu Mamadou Mory Diaw et Mody Sy, attend encore que Farba Ngom défère à sa convocation jeudi prochain.

Ce qui est devenu l’affaire Farba Ngom prend d’autres tournures. Hier, alors que les personnes impliquées dans les violences inter-apéristes de Matam devaient défiler devant les policiers, le procureur Cheikh Diakhoumpa a confié avoir reçu des «menaces venant de la hiérarchie», selon la Rfm.

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«C'est inacceptable et impardonnable», dixit Macky Sall. Le président de la République qui présidait le directoire politique de son parti, l'Alliance pour la République, samedi dernier au Terrou-Bi, a promis de sévir contre les fauteurs de trouble qui ont semé le désordre ces derniers jours dans différentes villes du Sénégal. Non sans rappeler à ses camarades de parti ce que les Sénégalais attendent d'eux. 

 

Inacceptable et impardonnable ! Ce sont les deux adjectifs que le président de la République, Macky Sall, a utilisé pour condamner le comportement de certains responsables de l’Alliance pour la République (Apr) qui se sont livrés à des scènes de violences dans différentes villes du Sénégal.  Dans une déclaration dont nous avons obtenu copie, le président l’APR qui présidait la réunion du directoire politique de son parti relève d’emblée que «depuis quelques semaines, les titres des journaux se succèdent et se ressemblent. Ils  étalent au grand jour les échauffourées, la violence et même l’usage d’armes à feux (le cas de Matam avec Farba Ngom, Ndlr), en somme les bagarres fratricides entre membres d’un même parti, à l’occasion des réunions départementales organisées dans le cadre de la préparation des élections locales du 29 juin 2014».

Le président de l’Alliance pour la République (Apr), a promis de prendre « sans états d’âme » toutes ses responsabilités après les actes de violences notés, ces derniers jours, au sein de son parti. Il a demandé l’activation de la Commission de discipline afin de prendre les mesures idoines.

Les actes de violences, invectives et échauffourées de ces derniers jours, entre membres de l’Alliance pour la République (Apr), dans le cadre de la préparation des élections locales du 29 juin prochain, agacent le président Macky Sall. 

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Mimi Touré a parlé. Elle a été entendue, mais a-t-elle dissipé les nuages supposés entre elle et le président de la République ? Beaucoup de supputations, c’est vrai, autour de cette «dualité au sommet», mais les leçons du passé ont tout de même démontré que ce «débat (qui) n’est pas nouveau au Sénégal», comme elle le rappelle, n’est pas posé simplement parce que «ça fait fantasmer beaucoup, ça fait écrire beaucoup d’articles, ça fait vendre». 

NDEYE SOKHNA MBOUP, MAMAN DU ROI DU «MBALAX» - «Le jour où Youssou s’est mis à pleurer au téléphone…»

L'OBS - Lorsqu’on franchi le parvis de sa demeure nichée dans le quartier résidentiel de Sacré-Cœur 3 (Dakar), on est happé par des effluves enivrants d’encens. Une fois à l’intérieur, c’est la chaleur humaine qui vous transcende. Maman Ndèye Sokhna Mboup est assise en compagnie d’une de ses filles, de son gendre et de deux de ses amies. Un petit garçon, haut comme trois pommes, son petit-fils, tout sourire, gambade dans la cour. La maîtresse des lieux accueille chaleureusement, avant d’introduire dans l’intimité de sa salle de séjour, où luxe et sobriété se mêlent. C’est parti pour une séance de confidences. Sa condition d’épouse, de mère, ses enfants, son époux et ses coépouses, la maman de la star internationale aborde tout, en bonne Gawlo. Mais, sans tambours ni trompettes…

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Communiqué de presse : A lire dans JEUNE AFRIQUE N°2773 en kiosque le 09 mars 2014

 

·         Algérie : Bouteflika IV, les secrets d’une réélection annoncée

Culte du secret, opposition désabusée… Une étrange atmosphère de résignation flotte dans le pays. Un chef d’État affaibli par les séquelles d’un accident vasculaire cérébral, mais candidat à un quatrième mandat ; une opposition tiraillée entre boycott et envie d’en découdre; une armée, jadis omnipotente, elle aussi en apparence divisée, une absence totale de visibilité politique, un flot incessant de rumeurs… À quelques semaines seulement de la présidentielle, l’Algérie ressemble à un théâtre d’ombres où tout le monde pense deviner ce qu’il va advenir mais où personne, en fait, ne sait ce qui se trame en coulisses. Reportage exclusif.

 

·         Afrique Centrale : La Cemac malade de la Centrafrique

Vingt ans après sa création, la zone Cemac -Communauté économique et monétaire de l’Afrique Centrale- n’en finit plus de stationner sur la piste de décollage. Ce projet qui a vu le jour à N’Djamena, est depuis le 10 janvier 2014, placé dans ce qu’on pourrait appeler « un coma artificiel ». Comment trois chefs d’États sur six, ont décrété la délocalisation du siège de la Communauté de Bangui à Libreville. L’enquête de Jeune Afrique.

·         Ecobank : Par où la sortie de crise ?

Le 3 mars, au terme d’une assemblée générale extraordinaire houleuse, le groupe bancaire n’a toujours pas résolu la question de sa direction. Dernier rebondissement d’une saga débutée en juillet dernier : tensions entre un nouveau patron, Thierry Tanoh, et la vieille garde ; bataille d’actionnaires pour préparer une prise de contrôle ; mauvaises pratiques en termes de gouvernance … La messe est loin d’être dite, mais à Lomé au siège d’Ecobank, l’atmosphère devient pesante. JA raconte.

·         CEO Forum : Comment rendre l’Afrique plus compétitive

Coupures d’électricité, coût exorbitant des transports, faible intégration régionale… Autant de freins que le continent doit débloquer pour parvenir à une croissance durable. Un enjeu phare débattu lors de la 2e édition du CEO Forum organisé par Jeune Afrique du 17 au 19 mars 2014 à Genève. Au programme, quatre conférences plénières sur les enjeux de la compétitivité, l’« africapitalisme », la place des grandes entreprises africaines dans les projets structurants et la révolution numérique. En complément, huit conférences thématiques seront consacrées à diverses tendances du capitalisme sur le continent : ressources naturelles, family business, intégration financière, agrobusiness, etc

www.jeuneafrique.com

 
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 ENQUETE SUR LE TRAFIC DE PASSAGERS CLANDESTINS VERS LES ETATS-UNIS - 29 personnes arrêtées entre Dakar, Accra et Jo’burg, la piste policière se dessine

L'OBS - Le Sénégal croise les doigts, en attendant les résultats de l’enquête du Fbi sur le trafic de clandestins de Dakar vers les Etats-Unis. L’affaire révèle des ramifications au Ghana et en Afrique du Sud, où des personnes sont arrêtées, en sus des trois écrouées à Dakar.

Les choses prennent de l’ampleur. Les ramifications sont plus importantes qu’on ne le pensait. L’arrestation des agents de Shs et d’un autre d’une compagnie aérienne à Dakar le 30 janvier 2014 pour trafic de passagers clandestins, de Dakar vers Washington (Voir l’Observateur n°3126 du 21 février 2014), n’est que la face visible de l’iceberg. Mamadou Diakhaté, Ibrahima Lô et Aly Edmond Koné, jugés et condamnés à Dakar, sont parmi les maillons les plus faibles d’un vaste réseau de trafic de clandestins organisé par une vieille mafia. D’ailleurs, en sus des trois individus appréhendés à Dakar, 29 personnes ont été arrêtées dans cette affaire : 7 personnes dans la capitale ghanéenne (Accra) et 22 à Johannesburg en Afrique du Sud. 

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Les femmes sénégalaises gagnent de plus en plus du terrain dans leur combat de tous les jours pour l'effectivité de leur présence dans toutes les sphères de décision ou presque. En plus des nominations à des postes de responsabilité, la révision du Code de la famille qui consacre l'autorité parentale, l'adoption de la loi permettant à la femme de transmettre la nationalité à son mari et ses enfants et celle sur la parité constituent, entre autres, les dernières grandes conquêtes. Toutefois, pour l'effectivité de l'application de cette dernière, elles peinent encore à marquer entièrement leur territoire.