La Une de la Presse (1514)
Thienaba Seck, Maimounatou ,Medina Gounass, Bogal… Ces villages sénégalais où la charia est appliquée .
Écrit par SENETOILE NEWS
L'OBS - Visite
Les Chinois veulent faire du Sénégal leur porte d’entrée en Afrique, la marque de leurs ambitions dans ce continent longtemps abandonné à ses anciens colons. Le Président Sall série un à un les projets qu’il voudrait réaliser. Notre pays souhaiterait bien que la Chine soutienne son ambitieux Plan Sénégal émergent, et ce devrait être avec les entrepreneurs chinois, associés à des Sénégalais, pour des projets majeurs, financés par des institutions financières chinoises. C’est le Président Wade qui, dès 2005, a senti la nécessité de reprendre avec ce grand pays au potentiel gigantesque et Macky Sall, alors Premier ministre, avait effectué une visite en Chine pour la revue de notre coopération. Depuis, la Chine a grandi et le Sénégal aussi.
Retombées de la visite de Macky Sall en Chine : Des parcs industriels seront aménagés pour les entreprises chinoises
Écrit par SENETOILE NEWS
BEIJING (Chine) - Le Sénégal va aménager des parcs industriels pour des entreprises chinoises qui veulent délocaliser ou développer leurs activités dans notre pays. La révélation a été faite, hier matin, par le président Macky Sall à l’ouverture de la rencontre économique sino-sénégalaise organisée par l’ambassade du Sénégal à Beijing en marge de sa visite d’Etat de trois jours.
Une rencontre économique sino-sénégalaise a été ouverte, hier à 10 h (2 h Gmt), par le président Macky Sall. Il y a révélé que des parcs industriels seront aménagés au Sénégal pour des entreprises chinoises qui souhaitent délocaliser ou développer leurs activités dans notre pays. La rencontre s’est déroulée à l’hôtel Shangri-La de Beijing devant un parterre de potentiels investisseurs et partenaires chinois et sénégalais. L’objectif de cette journée de contacts et d’échanges, organisée par l’ambassade du Sénégal en Chine, est de présenter aux hommes d’affaires du privé et du public des deux pays les opportunités d’investissement au Sénégal tout en favorisant le développement des relations économiques de part et d’autre.
Visite du président de la République en Chine : Premier entretien entre Macky Sall et Xi Jinping aujourd’hui à Beijing
Écrit par SENETOILE NEWSLa visite d’Etat du président Macky Sall à Beijing a démarré hier soir par une rencontre avec les Sénégalais de Chine. Aujourd’hui, il va s’entretenir avec son homologue Xi Jinping, ainsi qu’avec le Premier ministre, Li Keqiang, et le président du Congrès national populaire (Parlement), Zhang Djiang. Les présidents Sall et Xi vont signer des accords de coopération qui vont renforcer les échanges économiques entre les deux pays, nous a signalé, hier, une source officielle chinoise.
L'OBS du 20/02/2014 -Magib Ndiaye, Membre de la CNRI réplique à Macky Sall: «On a fait le travail qu'on nous a demandé de faire, c’est tout»
Écrit par SENETOILE NEWSiGFM (Dakar) Après la sortie hier depuis la Chine du président de la république, Macky Sall sur le rapport de la Commission nationale des réformes institutionnelles (CNRI) déclarant qu’il ne prendra que ce qu’il jugera bon, Magib Ndiaye, membre de ladite commission, dirigée par Amadou Makhtar Mbow, a réagi ce matin sur les ondes de la Radio Futurs Médias(RFM) : « C’est son droit le plus absolu de dire cela. Le travail est conforme à ce qu’il a demandé, des institutions indépendantes et inclusives. On a fait un travail qu’on nous a demandé de faire. C’est tout » a répliqué M. Ndiaye au chef de l’Etat.
MACKY SALL SUR LE RAPPORT DE LA CNRI « Je prendrai dans son contenu ce que je jugerai bon »
Écrit par SENETOILE NEWS
La Commission nationale de réforme des institutions (Cnri) sait désormais à quoi s’en tenir : le Président Macky Sall prendra, dans le rapport du Pr Amadou Mactar Mbow et de son équipe, ce qu’il «jugera bon». Il a fait cette déclaration face à la communauté sénégalaise vivant en Chine où le Chef de l’Etat effectue une visite officielle de quatre jours. Le président de la République de préciser que : «Dans tous les pays, c’est de cette façon que les choses marchent ». Et « qu’il n’y a aucune contrainte, aucun délai, je prendrai le temps nécessaire ». Il demande à ses camarades «Apéristes » de ne pas se lancer dans une vaine polémique.
Suivi de la Déclaration de politique générale : Mimi passe l'oral des bailleurs
Écrit par SENETOILE NEWS
Face aux bailleurs de fonds hier, le Premier ministre Aminata Touré a décliné, avec l’apport de certains de ses ministres, les grands axes des objectifs qui lui ont été assignés par son chef. Un exercice facilité par la matrice de suivi-évaluation établie par son gouvernement.
Le régime de Macky Sall s’est donné pour priorité de satisfaire aussi vite que possible les besoins sociaux des Sénégalais. Le gouvernement du Premier ministre Aminata Touré va appuyer sur la réalisation de 25 actions phares ciblées lors de la Déclaration de politique générale (Dpg).
Extraite de force, sermonnée par le juge : Aïda, une dame humiliée
Écrit par SENETOILE NEWS
La responsable du Parti démocratique sénégalais (Pds), Aïda Ndiongue, a connu hier une matinée très mouvementée. Après son refus de déférer à la convocation du Tribunal, l’ex-sénatrice libérale a été cueillie de force par des agents de l’Administration pénitentiaire sur ordre du procureur de la République. Finalement, le procès de l’ex-sénatrice, poursuivie pour voies de fait, injures, menaces de mort a été renvoyé au 1er avril.
Elle est défigurée : Maxillaires serrés, pâle, poignardée par un sentiment d’injustice. Elle est frappée non plus au cœur, mais dans son orgueil et sa dignité. Aïda Ndiongue est donc face à elle-même, étreinte par cette main glacée du destin qui succède aux chaudes illusions du succès. C’est l’heure de vérité. Grandeur et décadence ! Sertie dans du diamant, l’ex-sénatrice libérale a vécu hier une matinée très mouvementée au Tribunal de Dakar.
Aminata Touré sur la lutte contre les armes légères : « C’est une question de droits de l’Homme et de développement »
Écrit par SENETOILE NEWSEn procédant à l’ouverture de l’atelier de la Commission nationale de lutte contre la prolifération et la circulation illicite des armes légères et de petit calibre (Comnat/Alpc), le Premier ministre, Aminata Touré, a rappelé l’importance que notre pays attache à la paix et à la sécurité, et en conséquence à l’éradication de la prolifération et de la circulation illicite des Alpc. Pour Mme Touré, lutter contre le phénomène est une question de droits de l’homme et de développement.
Le Sénégal, a indiqué le Premier ministre Mme Aminata Touré, accorde une importance capitale à la paix et à la sécurité, mais surtout à l’éradication de la prolifération et de la circulation illicite des Alpc. Ces armes classiques, a rappelé Aminata Touré, ont un impact négatif indéniable et incommensurable aux plans humanitaire, social, économique voire politique sur les nations. Elle a indiqué que l’ex-secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan, n’avait pas hésité à les assimiler à des « armes de destruction massive ». Le thème était : « Agir pour la sécurité au Sénégal. Quid de la lutte contre la prolifération des Alpc ? »
L'OBS du 19/02/2014 - Macky Sall sur le rapport de la CNRI «Je ne prendrai que ce que je jugerai bon »
Écrit par SENETOILE NEWSiGFM (Dakar) Le président de la république, Macky Sall a rompu le silence sur le rapport de la commission nationale des réformes institutionnelles (CNRI) déposé la semaine dernière par Amadou Makhtar Mbow et Cie. Depuis la Chine où il se trouve, le président Sall a indiqué qu’il ne prendra que ce qu’il jugera bon. Et par conséquent : « il n’y a lieu de polémiquer ». Avant d’ajouter : « On ne peut pas me mettre la pression » a dit le président Macky Sall.
ÉVALUATION DE LA DÉCLARATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE Mimi mesure sa cadence
Écrit par SENETOILE NEWS
Mme le Premier ministre Aminata Touré préside ce mercredi une réunion technique avec les bailleurs, consacrée au suivi et à l’évaluation notamment de sa Déclaration de politique générale. Le président de la République avait, il y a quelques mois, fixé des échéances au gouvernement pour la finalisation de certains dossiers, notamment celui de la création de l’emploi des jeunes. Ce dossier a-t-il réellement avancé ?
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COUR SUPRÊME - Rebondissement dans l’affaire Karim Wade : Le Parquet général va introduire un recours
Écrit par SENETOILE NEWS
La bataille de la Cour suprême est loin d’être terminée. La décision rendue par la Chambre de cassation sur demande des avocats de Karim Wade sera réexaminée car l’Etat, à travers le Parquet général près la juridiction suprême, a décidé de déposer une demande de rabat d’arrêt qui obligera les juges de la Cour de statuer sur l’arrêt de renvoi de l’affaire au Conseil constitutionnel.
La décision de soumettre à l’appréciation des «Cinq sages», la requête des avocats de Karim Wade portant sur l’illégalité des actes de la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) par la Cour suprême est loin de laisser les autorités étatiques indifférentes. Décision a été prise d’introduire une demande de rabat d’arrêt devant la Cour suprême. De sources judiciaires, le ministre de la Justice a tenu une réunion de coordination en ce sens, la semaine dernière, avec tous les chefs de Parquet, à l’issue de laquelle instruction a été donnée au procureur général près de la Cour suprême de déposer une requête de rabat d’arrêt auprès de la Chambre de cassation. Le but visé est d’obtenir l’annulation de la décision prise par la même chambre de renvoyer l’inconstitutionnalité de la Crei soulevée par les conseillers de Karim Wade devant le Conseil constitutionnel. La Cour suprême voit donc le dossier demeurer entre ses mains. Une fois le rabat d’arrêt sollicité, tous les juges de la juridiction suprême vont statuer à l’exception des magistrats qui ont rendu l’arrêt renvoyant l’affaire au Conseil constitutionnel.
Il faut relever que toutes les poursuites enclenchées dans le cadre de la lutte contre l’enrichissement illicite seront remises en cause, si jamais le Conseil constitutionnel déclarerait anticonstitutionnelle la Crei et, en conséquence, les actes prises par sa Commission d’instruction. D’aucuns pensent que le renvoi décidé par la Cour suprême n’entre pas dans son domaine de compétences pour ne pas dire qu’elle a outrepassé ses prérogatives. Elle devrait tout simplement se déclarer incompétente.
Cependant, des défenseurs des droits de l’Homme et de Karim Wade ont salué une décision «révolutionnaire» en ce sens qu’un des principes généraux qui gouverne la justice et reconnu par la Constitution en vigueur fait de la possibilité de déposer un recours un droit inaliénable. Aucune juridiction ou loi ne devrait primer sur ce principe. Or, la loi portant création de la Crei dispose que les décisions prises par ladite juridiction ne sont susceptibles d’aucun recours.
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SOURCE: http://www.lequotidien.sn/index.php/la-une2/6571-cour-supreme-rebondissement-dans-laffaire-karim-wade--le-parquet-general-va-introduire-un-recours
Reportage à Tambacounda et Kolda : Sur les traces de la mafia du bois
Écrit par SENETOILE NEWS
Dans les villages situés le long de la frontière entre le Sénégal et la Gambie essaiment des trafiquants de tout poil. Ils détruisent les dernières grandes forêts sénégalaises avec la complicité d’autorités gambiennes qui délivrent des autorisations de commercialisation alors que l’exploitation forestière y est formellement interdite.
Saré Bodji. Le nom n’évoque pas grand-chose pour le commun des Sénégalais. C’est un village situé à la frontière entre le Sénégal et la Gambie. Ici, des milliers et des milliers de bions de venne sont entassés sur de vastes étendues. La découverte fait frémir et renseigne sur le rythme des coupes. Celles-ci se sont accélérées quand des Chinois, installés en Gambie, se sont mis à exporter du bois. Pourtant, l’exploitation forestière est interdite dans ce pays, et les forêts sont directement gérées par le chef de l’Etat. Aussi, les populations gambiennes utilisent le bois d’œuvre (meuble), le bois de service (charpente, sculpture) et le charbon de bois.
L'OBS - Farba Senghor
Le face-à-face entre l’ancien ministre Farba Senghor et le Doyen des juges d’instruction n’a pas eu lieu. Prévue hier à 15 heures, l’audition du chargé de la Propagande du Parti démocratique sénégalais a été reportée sine die. Farba Senghor qui était déterminé à se rendre au redouté cabinet de Mahawa Sémou Diouf a été ralenti par une note que lui aurait envoyé celui-ci pour déprogrammer la rencontre. Des sources proches du Cabinet ont soulevé un empêchement du magistrat instructeur. Mais ce faux bond ne signifie nullement que la rencontre est renvoyée aux calendes grecques. L’ancien ministre sous le régime libéral fera bien face au Doyen des juges Mahawa Sémou Diouf même si aucune autre date n’a encore été retenue. Ainsi, c’est toujours l’omerta sur les motifs de la convocation, puisque le concerné lui-même dit ignorer la raison pour laquelle il a reçu cette invitation de Mahawa Sémou Diouf.
Obus
Un obus, usé par le temps, mais non endommagé. C’est cet engin de guerre d’une grande capacité de nuisance, qui a été découvert vendredi dernier, au populeux quartier de Sam Notaire. A l’origine de cette trouvaille, un groupe de jeunes gens qui, s’adonnant à une partie de jeux, ont par inadvertance, creusé et mis la main sur cette bombe. Inconscient du caractère destructeur de cet engin, ils se sont mis à la scruter dans une ambiance bon enfant. C’est alors, renseignent nos sources, que des personnes bien au fait de la faculté nuisible de l’engin, s’en sont saisi et l’ont isolé.
RÉFORME DE LA CONSTITUTION Macky, à l’épreuve de l’Apr
Écrit par SENETOILE NEWS
Les réformes institutionnelles, censées refonder la République au Sénégal, ne risquent-elles pas de se transformer en un énorme calembour ou simplement d’être passées à pertes et profits ? En tout cas, force est de noter que, moins de quatre jours après sa présentation au chef de l’Etat, l’avant projet de Constitution d’Amadou Makhtar Mbow et de la Cnri est assailli de toutes parts par les tirs groupés du parti au pouvoir (Apr) et de la galaxie présidentielle contre ses principales recommandations, et surtout contre la proposition de dissociation des charges de chef d’Etat et de chef de parti. Au bout du compte, l’atmosphère des changements institutionnels initiés par Macky Sall lui-même se retrouve polluée par des logiques partisanes qui risquent d’entraver la marche du Sénégal vers encore plus de démocratie participative. A moins que le maître du jeu ne fasse abstraction de la posture de… parti pour réfréner les ardeurs internes de l’Apr et promouvoir…sa quête de patrie !