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Sam, Nov
La Une de la Presse

La Une de la Presse (1514)

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AEROPORT LEOPOLD SEDAR SENGHOR- PLACE HORS DE CONTRÔLE - Le Salon d’honneur, la faille du système de sécurité

L'OBS - Tant que les passagers qui embarquent par le Salon d’honneur de l’aéroport international Léopold Sedar Senghor seront hors du système de contrôle, Dakar restera dans la zone d’insécurité. L’alerte est pourtant sonnée par les experts.

Au début, le choix porté sur Dakar pour abriter la conférence régionale sur la sûreté de l’aviation civile à partir de demain mardi 8 avril n’était pas calculé. Finalement, le contexte va placer la capitale sénégalaise au cœur des débats sur la rencontre autour du thème : «La sûreté et les solutions intelligentes mises en œuvre à l’heure actuelle pour faire face à la menace.» La sûreté et la sécurité de l’aéroport international Léopold Sédar Senghor ont souffert, ces dernières semaines, de l’embarquement de clandestins à destination de New-York. 

Déjà excellentes, les relations entre le Sénégal et la Namibie vont s’étendre à des domaines comme la pêche, l’exploitation des ressources marines, l’environnement, les mines, l’agriculture et la gestion foncière. Les présidents Sall et Pohamba ont appelé les secteurs privés des deux pays à renforcer leurs relations. 
Macky Sall a dit sa satisfaction  de la visite d’Etat de trois jours au Sénégal de son homologue Hifikepunye Pohamba. Le président namibien était l’invité d’honneur de la célébration du 54e anniversaire de l’accession du Sénégal à la souveraineté internationale, célébré vendredi dernier. « Je suis très satisfait de cette visite d’Etat », a déclaré le président Sall, au cours d’une conférence de presse conjointe, avec son hôte, au palais de la République. « Nous sommes très honorés de recevoir le combattant de la liberté, un grand leader africain et un démocrate qui a décidé de quitter le pouvoir en mars prochain au terme de deux mandats. Et seuls les vrais démocrates font cela », a ajouté le président Sall.  

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C’est encore une grosse perte pour Idrissa Seck. Celle qui fut sa directrice de campagne lors de la Présidentielle de 2012 a décidé de quitter Rewmi et la vie politique. Mais Lena Sène précise qu’elle n’a aucune intention de rejoin­dre le parti présidentiel, l’Apr, et qu’elle veut plutôt se consacrer à ses «activités professionnelles».

Cela fait longtemps que nous n’avons pas entendu parler de vous, pouvez-vous nous dire à quoi cela est-il dû ?

Karim Wade aux juges de la Crei-«Je ne réponds à aucune de vos questions»

iGFM (Dakar) «Je ne réponds à aucune de vos questions, et ne peux participer à une parodie de justice», a dit Karim Wade vaux juges de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), si l’on en croit une déclaration publiée par ses proches. Et c’est le journal quotidien qui rapporte l’information. Le fils du Président Wade et ancien ministre se considère comme «un otage politique des nouvelles autorités sénégalaises» qui, selon lui, souhaitent l’empêcher de se présenter à la prochaine élection présidentielle.

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Pour son premier défilé, en grandeur nature, le président de la République, accompagné de son invité d’honneur, le président namibien, Hifikepunye Pohamba, a assisté à un grand cérémonial militaire. Les Forces de défense et de sécurité (Fds) n’ont pas lésiné sur les moyens pour sortir la grande artillerie sur le boulevard du général De Gaulle.

DEFILE MILITAIRE: AU NOM DE LA NATION ET DU DÉVELOPPEMENT
D’une allure fière, le colonel Alioune Guèye ouvre le chemin au détachement de la garde présidentielle. Ses éléments, en tenue d’apparat d’un rouge vif, marquent la cadence et relèvent la tête. Comme pour montrer au chef suprême des Armées qu’ils sont tout dédiés à son unique sécurité. Ils frappent très fort sur le basalte et se subdivisent en deux groupes une fois à la hauteur de la tribune officielle, l’un prenant la droite, l’autre la gauche. Le tout sous les applaudissements du chef de l’Etat et de son invité, le président de la Namibie. Il y avait, aux côtés du président de la République, le Chef d’état-major général des armées et le Haut-commandant de la gendarmerie et directeur de la justice militaire.

Le ministre du Travail, Mansour Sy, qui a annoncé 60 mille emplois en 2013 n’emballe pas le Président Macky Sall dans son élan euphorique. Dans son adresse à la Nation du 3 avril, c’est un Macky Sall encore préoccupé par la question de l’emploi des jeunes, qui a égrené un certain nombre de recrutements et de programmes en ce sens.

C’est l’indomptable sphinx. La bête noire de tous les régimes qui se sont succédé depuis 54 ans au Sénégal. L’emploi des jeunes tient tête encore à l’actuel régime qui, pourtant, voulait en faire un mauvais souvenir en une claque de doigts. A l’instar de Abdoulaye Wade, qui demandait à tous les chômeurs de lever juste le petit doigt pour être casé, le candidat Macky Sall avait à son tour promis 100 mille emplois par an. Entre la promesse et la réalité, il y a un monde… même si le ministre du Travail, Mansour Sy, soutient le contraire.

 

Ceux qui s’attendaient à une exploitation du rapport de l’équipe du Pr Ahmadou Macktar Mbow sur la Réforme des institutions doivent encore attendre. Le président de la République Macky Sall vient de décider que  rien ne peut se faire avant les élections locales du 29 juin prochain. C’était à l’occasion du message à la nation du 3 avril du Premier des Sénégalais.  Il a ainsi fixé les prochaines étapes de la Réforme des institutions après ledit scrutin. Et l’exploitation du document, dit-il, se fera autour de trois exigences : la consolidation de notre expérience  démocratique,   le renforcement de l’Etat de droit,  la stabilité et la modernisation de nos Institutions.

 

 

Le président de la République, Macky Sall a décidé de fixer les prochaines étapes de la Réforme de nos institutions après les prochaines élections locales du 29 juin. Et cela, dit-il, autour de trois exigences que sont : la consolidation de notre expérience  démocratique,   le renforcement de l’Etat de droit,  la stabilité et la modernisation de nos Institutions.

Communiqué de presse

A lire dans JEUNE AFRIQUE N° 2778 en kiosque le 6 avril 2014

 

 

·         Jean-Yves Le Drian : « IBK doit négocier, Samba-Panza aussi »

«En Centrafrique, nous avons sous-estimé l’ampleur des haines interreligieuses » 
« Au Mali, la réconciliation n’avance pas assez vite. Je le dis clairement : l’heure est venue»

Quand ils ont appris l’imminence d’un remaniement gouvernemental, certains, de l’autre côté de la Méditerranée, se sont inquiétés de perdre leur principal interlocuteur en France : Jean-Yves Le Drian. Depuis le déclenchement des opérations Serval au Mali et Sangaris en Centrafrique, ce Breton de 66 ans, proche de François Hollande joue en effet un rôle majeur sur le continent. Mali, Centrafrique, Libye… Le ministre français de la Défense a accordé sa première interview de ministre « reconduit » à Jeune Afrique. Entretien avec un Breton sans états d’âme.

Les commissions rogatoires envoyées au Luxem­bourg et à Monaco ont ramené une belle moisson qui a permis de confondre l’homme d’affaires Ibrahi­ma Khalil dit Bibo Bourgi et son compère Papa Amadou Pouye. Leurs dénégations n’ont pas résisté à la force des preuves matérielles, et Bibo a néanmoins essayé de préserver Karim Wade qui passe, lui, aujourd’hui de­vant la même commission.

Les rapports des commissions rogatoires de Monaco et du Luxembourg ont été terribles pour Ibrahim Khalil dit Bibo Bourgi, avant-hier devant les juges de la commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei).

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ENVOI DE 2 000 SAGES-FEMMES AU QATAR - Parfum de népotisme au Palais

L'OBS - L’envoi de 2 000 sages-femmes au Qatar dans le cadre d’un partenariat Sénégal/Qatar commence à susciter bien des convoitises au sein de la classe politique en général et de la coalition Benno Bokk Yaakaar en particulier. A tel point que certains y décèlent un «fonds de commerce» pour caser une clientèle politique en mal de poste. Mais passé l’engouement, la face cachée du partenariat n’augure rien de bon pour nos compatriotes qui y seront envoyés

C’est le genre d’information qui crée une ruée des politiques en mal de case pour leur clientèle vers les hautes institutions du pays.