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Ven, Nov
La Une de la Presse

La Une de la Presse (1514)

Le ministre-conseiller juridique du chef de l’Etat estime que la Commission nationale de réforme des institutions (Cnri) a «outrepassé ses attributions». Dans cette première partie de l’entretien, Pr Ismaïla Madior Fall «réforme» la… réforme de la Commission Mbow.

La Cnri vient de déposer son rapport accompagné d’un avant projet de Constitution. Quelle appréciation en faites-vous ?
L’appréciation doit se faire avant tout au regard du décret portant création de la Cnri. Il convient de rappeler à cet égard le décret n° 2013-730 du 28 mai 2013 portant création de la Cnri, seul texte de référence définissant la mission de la Commission. 

LE CHEF DE L’ETAT NE PEUT PLUS ETRE CHEF DE PARTI - Thierno Alassane Sall rejette à cause «du contexte actuel»

L'OBS - Certaines dispositions de l’avant projet de Constitution de la Commission nationale des réformes institutionnelles (Cnri) risquent de se heurter à la vision des responsables républicains. Le président de la Coordination des cadres républicains (Ccr) Thierno Alassane Sall, a annoncé la couleur. Sur la disposition qui interdit le chef de l’Etat de cumuler sa fonction avec celle de chef de parti, le ministre des Infrastructures et des Transports terrestres est défavorable, du moins dans le contexte actuel

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Le chef de l’Etat a reçu, samedi, Mo Ibrahim, président de la Fondation éponyme. Ce dernier a salué le leadership du président de la République, les actions de bonne gouvernance qu’il ne cesse de poser et l’ambition qu’il nourrit pour faire du Sénégal un pays émergent.

Le président de la Fondation a été élevé par le président Macky Sall au grade de Commandeur. Une première reçue sur le continent africain selon Mo Ibrahim. A la sortie d’une audience que le chef de l’Etat lui a accordée samedi, le président de la Fondation Mo Ibrahim a salué les actes posés par Macky Sall, lesquels, selon lui, renforcent la démocratie, la bonne gouvernance et la transparence au Sénégal. Il a ajouté que le leadership du président Sall en Afrique est un signal fort pour la consolidation d’un Etat de droit et un exemple pour les leaders africains. « On s’est entretenu avec le président autour de problématiques de bonne gouvernance en Afrique et de sa vision pour un Sénégal émergent.

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La recommandation formulée par Amadou Makhtar Mbow et la Cnri de dissocier les charges de chef de l'Etat et de chef de parti politique ne  cesse encore de soulever une véritable levée de boucliers au sein de l'Apr. La dernière réaction en date est celle de Me Omar Youm, le ministre de l'Aménagement du territoire et des collectivités locales. Invité de l'émission politique Objection de Sud Fm, le responsable « apériste » a marqué en effet sa franche opposition contre une telle disposition qui n'a « jamais perturbé la démocratie, depuis 1960 ». Avant de saluer la pertinence des réformes envisagées aussi bien pour la Constitution que pour la réorganisation des territoires et pour lesquelles il a  plaidé la construction de « convergences fortes ». 

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Communiqué de presse

A lire dans JEUNE AFRIQUE N°2771 en kiosque le 16 février 2014

 

 

·         Maroc : Mohammed VI entre dans la danse

 

A travers le Mali, son nouveau terrain d’action, la diplomatie marocaine fait un retour remarqué sur la scène internationale. A la veille de la visite d'Etat de Mohammed VI à Bamako et à Conakry, la diplomatie marocaine s'active pour placer le royaume au centre de l'échiquier sahélien. Par souci de prestige, mais aussi au nom  d'impératifs sécuritaires. Analyse de Jeune Afrique.

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L'OBS du 15/02/2014

RÉFORME DES INSTITUTIONS Le «référendum politique» rejette la Constitution de Mbow

Le constat est amer, mais c’est la triste réalité. Les 17 mois de dur labeur de la Commission nationale de réforme des institutions (Crni) présidée par Amadou Mahtar Mbow risquent d’être vains. Le rejet des textes est presque unanime. Les réformes proposées par les membres de la commission dessinent les contours d’une nouvelle République. Une République moderne, juste et qui garantit les mêmes droits à tous les citoyens. 

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L’Avant-projet de Constitution de la Commission nationale de réforme des institutions (Cnri) présente de nouveaux éléments à même de renforcer la démocratie sénégalaise. Amadou Makhtar Mbow et son équipe ont proposé du neuf et remis du vieux. Un produit né donc de la mayonnaise entre le programme Yoonu yokkuté du Président Macky Sall et la Charte de gouvernance démocratique des Assises nationales dont M. Mbow était le président. Ce que lui avait demandé le chef de l’Etat. Le débat sur les travaux de la Cnri se prolongera sans doute dans les prochains jours, car nombre de questions touchent à des intérêts politiques, personnels et remettent en cause des carrières. Cumul de mandats du président de la République et d’autres hauts dirigeants, déclarations de patrimoine strictement contrôlées, mandats réduits et limités, etc. Macky a son projet, reste à savoir quel sort lui réservera-t-il.

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A quelques jours du voyage du chef de l’Etat en Chine, l’ambassadeur de l’empire du milieu au Sénégal soutient que les relations entre les deux pays sont basées sur une logique de projets et non sur des montants. Il souligne que les financements chinois se font en fonction des demandes et des besoins de la partie sénégalaise.   

La visite du chef de l’Etat sénégalais à Beijing sera « hautement politique », a déclaré, hier, Xia Huang au cours d’un point de presse à l’ambassade de l’Empire du Milieu à Dakar. Le président Macky Sall entame, à partir de mercredi, une visite d’Etat en Chine. Le diplomate a précisé que les relations entre les deux pays sont au beau fixe et sont basées sur « une confiance qui ne cesse de s’approfondir et de s’intensifier ». M. Huang a indiqué que le chef de l’Etat aura des échanges avec son homologue chinois sur un large éventail de sujets. « Il y aura un échange de vues sur les questions bilatérales, sur des sujets régionaux et internationaux », a affirmé M. Huang. 

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Pour redresser le secteur touristique, un nouveau plan stratégique de développement a été élaboré. Il  s’est fixé comme objectif de parvenir au cap de 1 million 500 mille touristes en 2016, 2 millions en 2018 et 3 millions en 2023. Les grandes lignes de cette nouvelle stratégie ont été déclinées par Oumar Gueye, ministre du Tourisme et des Transports aériens hier, vendredi,  au sortir d’un conseil interministériel présidé par le Premier ministre.

 

 

Parvenir au cap de 1 million 500 mille touristes en 2016, 2 millions de touristes en 2018 et 3 millions de touristes en 2023, c’est l’objectif de la nouvelle stratégie de développement du tourisme au Sénégal. L’annonce a été faite par Oumar Gueye, ministre du Tourisme et des Transports aériens hier, vendredi 14 février, au sortir d’un conseil interministériel sur le tourisme.
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Néée en France, dans la ville de Nice, une famille d’origine sénégalaise vient d’être secouée par une histoire de Jihadisme. Epargnée par le fléau qui a gagné une bonne partie de la communauté européenne, cette dernière a vu ses enfants enrôlés «de force» par des sectes avec comme destination, la Syrie, pour mener le Jihad. Dans cette affaire, le présumé agent recruteur serait un… Sénégalais du nom de Diaby.

L’affaire a fini de secouer la ville paisible de Beau Soleil Alpes Maritime située à 25 kilomètres de Nice, dans le sud de la France. Si jusque là, on ne parlait que de jeunes européens ou d’arabes, le cercle a fini par gagner la communauté sénégalaise.