Alors que les hommes politiques sont obsédés par tout ce qui touche aux élections [durée et nombre de mandats, modernisation des partis politiques], les Sénégalais - qui ont mûri et qui sont suffisamment éclairés sur leur religion - sont surtout préoccupés par ce qui touche aux moeurs et tiennent à ce que leurs convictions religieuses soient prises en compte dans la gouvernance de l’État ; hélas, ceci est actuellement irréalisable, du fait de la laïcité de l’Etat et des pressions intolérables des lobbies franc-maçonniques et homosexuels conditionnant leur collaboration (investissements financiers) à la conformité avec les ‘’droits humains’’, englobant ceux des homosexuels et d’autres ‘‘nouveaux droits’’.